Peut-être mieux connu pour son best-seller, Un berger Regarde Psaume 23, Phillip Keller (1920-1997) a passé sa vie à voyager dans le monde, s'émerveillant de la création de Dieu, et l'écriture plus de trente-cinq livres sur des sujets chrétiens. qu'il travaille comme photographe de la faune, l'élevage d'animaux sur son ranch, écrire des livres, ramasser les feuilles, ou laver la vaisselle, sa vie semblait rayonner la joie du Seigneur. Mais dans l'autobiographie spirituelle de Keller (écrit à l'âge de 70), il a expliqué que cette joie abondante n'était pas quelque chose qu'il est né avec, c'était quelque chose qu'il a appris au cours d'une vie avec le Christ, son meilleur ami et sauveur.

Né au Kenya de parents missionnaires, Keller a passé les premières années de son enfance à vivement profiter de ce qu'il appelle "le peu rude, difficile frontière monde de l'Afrique de l'Est." Puis, à l'âge de 8 ans, il a été brutalement renvoyé au strict, internat religieux école - 250 miles loin de sa famille. Au cours de ces années scolaires solitaires et difficiles, il a entendu (dans le cadre d'un credo quotidien) le but principal de cet homme était de "connaître et jouir de Dieu, pour lui faire plaisir et lui obéir pour toujours." Mais c'était peu de réconfort à Phillip, qui a estimé qu'il ne connaissait pas Dieu du tout.

Il y avait trois personnes dans le monde de Keller qui semblaient connaître Dieu et non pas seulement comme un concept religieux, mais comme un réel, vivant, ami de changement de vie. Le premier était le père de Keller, un homme qu'il décrit comme "pleine de bonne humeur et d'humour délicieux." La deuxième a été Miss Perrot, la directrice de l'école de Keller. "Malgré son corps déformé," écrit-il, "difforme par la maladie ; malgré son teint marbré, ruiné par les tropiques ;... Elle a été parmi nous comme un ange de miséricorde. Elle était une dame magnifique brillant dans la foi.... Dieu." Le troisième était Achul… [lire +]

Peut-être mieux connu pour son best-seller, Un berger Regarde Psaume 23, Phillip Keller (1920-1997) a passé sa vie à voyager dans le monde, s'émerveillant de la création de Dieu, et l'écriture plus de trente-cinq livres sur des sujets chrétiens. qu'il travaille comme photographe de la faune, l'élevage d'animaux sur son ranch, écrire des livres, ramasser les feuilles, ou laver la vaisselle, sa vie semblait rayonner la joie du Seigneur. Mais dans l'autobiographie spirituelle de Keller (écrit à l'âge de 70), il a expliqué que cette joie abondante n'était pas quelque chose qu'il est né avec, c'était quelque chose qu'il a appris au cours d'une vie avec le Christ, son meilleur ami et sauveur.

Né au Kenya de parents missionnaires, Keller a passé les premières années de son enfance à vivement profiter de ce qu'il appelle "le peu rude, difficile frontière monde de l'Afrique de l'Est." Puis, à l'âge de 8 ans, il a été brutalement renvoyé au strict, internat religieux école - 250 miles loin de sa famille. Au cours de ces années scolaires solitaires et difficiles, il a entendu (dans le cadre d'un credo quotidien) le but principal de cet homme était de "connaître et jouir de Dieu, pour lui faire plaisir et lui obéir pour toujours." Mais c'était peu de réconfort à Phillip, qui a estimé qu'il ne connaissait pas Dieu du tout.

Il y avait trois personnes dans le monde de Keller qui semblaient connaître Dieu et non pas seulement comme un concept religieux, mais comme un réel, vivant, ami de changement de vie. Le premier était le père de Keller, un homme qu'il décrit comme "pleine de bonne humeur et d'humour délicieux." La deuxième a été Miss Perrot, la directrice de l'école de Keller. "Malgré son corps déformé," écrit-il, "difforme par la maladie ; malgré son teint marbré, ruiné par les tropiques ;... Elle a été parmi nous comme un ange de miséricorde. Elle était une dame magnifique brillant dans la foi.... Dieu." Le troisième était Achulia, le jardinier en chef sur la succession de ses parents. Un Kenyan d'origine, Achulia était "un homme en paix avec lui-même et les autres (et)... Profondément en paix avec Dieu." De Achulia, Phillip "a beaucoup appris sur les arbres et arbustes, les plantes et herbes. Mais beaucoup plus important, je voyais en lui un homme qui connaissait Dieu et se délectait de la compagnie de Christ. Et c'est ce que je désirais profondément dans mon âme. "

Phillip a finalement trouvé la compagnie divine qu'il cherchait, mais ce n'est pas arrivé tout de suite. Quand son père est mort, Phillip (encore un adolescent) a été dévasté. En grandissant, il se retira loin en lui-même. En tant qu'adulte, il quitta l'Afrique et erra loin de Dieu que son père et sa mère avaient servi. La belle histoire inspirante de la façon dont il retourne est tissé dans ses nombreux livres autobiographiques et de dévotion bien-aimés, y compris Merci, Père, Wonder O 'the Wind, et Dieu est mon plaisir.

Citoyen canadien, Phillip vécu en Colombie-Britannique, où lui et son épouse bien-aimée, Ursula, ont fidèlement servi Dieu jusqu'à ce que Phillip soit allé rejoindre le Seigneur en 1997.

(Citations sont extraites de l'autobiographie spirituelle de Keller, Dieu est mon plaisir .)