Violence et monothéisme
Sous-titre :
Des chrétiens interrogent leur tradition
ISBN :
9782354794149
Editeur :
Auteur :
Olivier ABEL (sous la direction), Christophe SINGER (sous la direction)
Info :
110
pages -
Broché -
2019
-
Prix 14,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
La question des liens entre violence et religion s’impose aujourd’hui à tout un chacun, habitué des cercles théologiques ou non, familier d’une Église ou athée militant.
Il est facile d’accuser une ‘autre religion’ de favoriser la violence, mais Jésus a recommandé d’enlever la poutre qui est dans notre œil avant de chercher à enlever la paille qui est dans l’œil du voisin.
C’est pourquoi les contributions proposées dans cet ouvrage cherchent à comprendre le rapport à la violence dans la Bible (Ancien et Nouveau Testament), dans théologie et dans la pratique chrétienne.
Elles le font en suivant trois lignes directrices :
- Le premier constat est que la violence, loin d’être un fait ‘religieux’ au sens habituel de ce mot, est une caractéristique structurante de l’existence humaine.
- Le second, c’est que le religieux, y compris dans ses manifestations les plus ‘laïques’, est intimement lié à la question de la violence.
- La troisième conviction est que cette question ne se résout pas par l’exhortation morale… si tant est qu’elle puisse être résolue : peut-être est-ce aussi vivre en humain que d’y être confronté à nouveau à chaque génération !
Il est facile d’accuser une ‘autre religion’ de favoriser la violence, mais Jésus a recommandé d’enlever la poutre qui est dans notre œil avant de chercher à enlever la paille qui est dans l’œil du voisin.
C’est pourquoi les contributions proposées dans cet ouvrage cherchent à comprendre le rapport à la violence dans la Bible (Ancien et Nouveau Testament), dans théologie et dans la pratique chrétienne.
Elles le font en suivant trois lignes directrices :
- Le premier constat est que la violence, loin d’être un fait ‘religieux’ au sens habituel de ce mot, est une caractéristique structurante de l’existence humaine.
- Le second, c’est que le religieux, y compris dans ses manifestations les plus ‘laïques’, est intimement lié à la question de la violence.
- La troisième conviction est que cette question ne se résout pas par l’exhortation morale… si tant est qu’elle puisse être résolue : peut-être est-ce aussi vivre en humain que d’y être confronté à nouveau à chaque génération !
La question des liens entre violence et religion s’impose aujourd’hui à tout un chacun, habitué des cercles théologiques ou non, familier d’une Église ou athée militant.
Il est facile d’accuser une ‘autre religion’ de favoriser la violence, mais Jésus a recommandé d’enlever la poutre qui est dans notre œil avant de chercher à enlever la paille qui est dans l’œil du voisin.
C’est pourquoi les contributions proposées dans cet ouvrage cherchent à comprendre le rapport à la violence dans la Bible (Ancien et Nouveau Testament), dans théologie et dans la pratique chrétienne.
Elles le font en suivant trois lignes directrices :
- Le premier constat est que la violence, loin d’être un fait ‘religieux’ au sens habituel de ce mot, est une caractéristique structurante de l’existence humaine.
- Le second, c’est que le religieux, y compris dans ses manifestations les plus ‘laïques’, est intimement lié à la question de la violence.
- La troisième conviction est que cette question ne se résout pas par l’exhortation morale… si tant est qu’elle puisse être résolue : peut-être est-ce aussi vivre en humain que d’y être confronté à nouveau à chaque génération !
Il est facile d’accuser une ‘autre religion’ de favoriser la violence, mais Jésus a recommandé d’enlever la poutre qui est dans notre œil avant de chercher à enlever la paille qui est dans l’œil du voisin.
C’est pourquoi les contributions proposées dans cet ouvrage cherchent à comprendre le rapport à la violence dans la Bible (Ancien et Nouveau Testament), dans théologie et dans la pratique chrétienne.
Elles le font en suivant trois lignes directrices :
- Le premier constat est que la violence, loin d’être un fait ‘religieux’ au sens habituel de ce mot, est une caractéristique structurante de l’existence humaine.
- Le second, c’est que le religieux, y compris dans ses manifestations les plus ‘laïques’, est intimement lié à la question de la violence.
- La troisième conviction est que cette question ne se résout pas par l’exhortation morale… si tant est qu’elle puisse être résolue : peut-être est-ce aussi vivre en humain que d’y être confronté à nouveau à chaque génération !