Vialas, de la Cévenne au Mont Lozère
Sous-titre :
2 tomes inséparables
ISBN :
9782956312918
Editeur :
Auteur :
Collectif, Marie-Lucy DUMAS (sous la direction)
Info :
845
pages -
Broché -
2019
-
Prix 44,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
La commune de Vialas a connu, depuis ses origines à la fin du XIXe siècle, une histoire doublement évocatrice. Une histoire religieuse douloureuse, comme paroisse protestante ayant vécu toutes les péripéties de la révocation de l'Édit de Nantes et de la guerre des camisards et une histoire industrielle avec les mines de plomb argentifère, qui en faisait la deuxième ville du département de la Lozère. Depuis les années 1970, en pleine désertification, elle a connu un renouveau de son histoire avec l'arrivée des "néos" ruraux.
À ce tableau, presque classique des communes cévenoles, il faut ajouter les fondements du peuplement de la protohistoire au Moyen Âge. Cette vallée du Luech, affluent de la Cèze, place de la paroisse de Vialas dans le diocèse d'Uzès. Cette vaste commune est un lieu déjà fortement peuplé au Moyen Âge avec de nombreux hameaux dispersés, reliés par la toile des chemins des drailles : une terre pauvre travaillée par un labeur millénaire pour retenir la terre par des murailles qui permettait une autosuffisance précaire. Un lieu que seigneurs et ordres religieux contrôlaient, se disputaient et pressurisaient.
Éloigné des grands chemins qui parcourent les crêtes du Ventalon, du Lozère et la vallée de la Cèze, faiblement estimé des autorités, Vialas est devenu par la force des choses, au cours des cinq derniers siècles, lieu de départ des huguenots persécutés, lieu de résistance au roi, à l'envahisseur nazi, lieu de refuge des juifs, lieu de villégiature protégé, lieu de tourisme-nature et du renouveau des activités cévenoles. Les nouveaux Vialassains ont vite fait de s'imprégner de l'atmosphère de ces lieux emplis d'histoire(s).
À ce tableau, presque classique des communes cévenoles, il faut ajouter les fondements du peuplement de la protohistoire au Moyen Âge. Cette vallée du Luech, affluent de la Cèze, place de la paroisse de Vialas dans le diocèse d'Uzès. Cette vaste commune est un lieu déjà fortement peuplé au Moyen Âge avec de nombreux hameaux dispersés, reliés par la toile des chemins des drailles : une terre pauvre travaillée par un labeur millénaire pour retenir la terre par des murailles qui permettait une autosuffisance précaire. Un lieu que seigneurs et ordres religieux contrôlaient, se disputaient et pressurisaient.
Éloigné des grands chemins qui parcourent les crêtes du Ventalon, du Lozère et la vallée de la Cèze, faiblement estimé des autorités, Vialas est devenu par la force des choses, au cours des cinq derniers siècles, lieu de départ des huguenots persécutés, lieu de résistance au roi, à l'envahisseur nazi, lieu de refuge des juifs, lieu de villégiature protégé, lieu de tourisme-nature et du renouveau des activités cévenoles. Les nouveaux Vialassains ont vite fait de s'imprégner de l'atmosphère de ces lieux emplis d'histoire(s).
La commune de Vialas a connu, depuis ses origines à la fin du XIXe siècle, une histoire doublement évocatrice. Une histoire religieuse douloureuse, comme paroisse protestante ayant vécu toutes les péripéties de la révocation de l'Édit de Nantes et de la guerre des camisards et une histoire industrielle avec les mines de plomb argentifère, qui en faisait la deuxième ville du département de la Lozère. Depuis les années 1970, en pleine désertification, elle a connu un renouveau de son histoire avec l'arrivée des "néos" ruraux.
À ce tableau, presque classique des communes cévenoles, il faut ajouter les fondements du peuplement de la protohistoire au Moyen Âge. Cette vallée du Luech, affluent de la Cèze, place de la paroisse de Vialas dans le diocèse d'Uzès. Cette vaste commune est un lieu déjà fortement peuplé au Moyen Âge avec de nombreux hameaux dispersés, reliés par la toile des chemins des drailles : une terre pauvre travaillée par un labeur millénaire pour retenir la terre par des murailles qui permettait une autosuffisance précaire. Un lieu que seigneurs et ordres religieux contrôlaient, se disputaient et pressurisaient.
Éloigné des grands chemins qui parcourent les crêtes du Ventalon, du Lozère et la vallée de la Cèze, faiblement estimé des autorités, Vialas est devenu par la force des choses, au cours des cinq derniers siècles, lieu de départ des huguenots persécutés, lieu de résistance au roi, à l'envahisseur nazi, lieu de refuge des juifs, lieu de villégiature protégé, lieu de tourisme-nature et du renouveau des activités cévenoles. Les nouveaux Vialassains ont vite fait de s'imprégner de l'atmosphère de ces lieux emplis d'histoire(s).
À ce tableau, presque classique des communes cévenoles, il faut ajouter les fondements du peuplement de la protohistoire au Moyen Âge. Cette vallée du Luech, affluent de la Cèze, place de la paroisse de Vialas dans le diocèse d'Uzès. Cette vaste commune est un lieu déjà fortement peuplé au Moyen Âge avec de nombreux hameaux dispersés, reliés par la toile des chemins des drailles : une terre pauvre travaillée par un labeur millénaire pour retenir la terre par des murailles qui permettait une autosuffisance précaire. Un lieu que seigneurs et ordres religieux contrôlaient, se disputaient et pressurisaient.
Éloigné des grands chemins qui parcourent les crêtes du Ventalon, du Lozère et la vallée de la Cèze, faiblement estimé des autorités, Vialas est devenu par la force des choses, au cours des cinq derniers siècles, lieu de départ des huguenots persécutés, lieu de résistance au roi, à l'envahisseur nazi, lieu de refuge des juifs, lieu de villégiature protégé, lieu de tourisme-nature et du renouveau des activités cévenoles. Les nouveaux Vialassains ont vite fait de s'imprégner de l'atmosphère de ces lieux emplis d'histoire(s).