Une Église qui fait le bien
Sous-titre :
Petit manuel d'action sociale
ISBN :
9791091090339
Editeur :
Auteur :
Info :
96
pages -
Broché -
2022
-
Prix 11,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Présentation :
Et si la mission de l’Église locale s’exprimait par son engagement social local ? C’est le plaidoyer de l’auteur de ce livre, pour qui la bienfaisance ou l’action sociale sont au cœur de la raison d’être de l’Église, à côté de l’évangélisation et de la communion. Les fondements théologiques de l’action sociale sont abordés. Puis les pages se font très pratiques avec 10 questions d’organisation comme par ex. : « Faut-il définir les catégories de personnes que l’Église va aider socialement ? » ou « Une Église peut-elle accueillir des bénévoles non-chrétiens ? ». Ensuite, l’auteur traite d’aspects associatifs et juridiques très utiles dans le contexte évolutif de la laïcité. Enfin, des exemples d’actions sociales sont donnés. Au total, c’est un véritable vade-mecum que l’on tient entre les mains, utile pour passer à l’action (sociale) en tant qu’Église. A côté du travail effectué par les professionnels, l’Église locale est en effet un lieu de ressources à redécouvrir, un groupe où vérifier que l’union fait la force, une communauté appelée à être là pour les autres, pour le bien des autres, sans honte ni volonté de récupération ! Public : - Membres d’Église soucieux de son témoignage concret - Responsables d’Églises locales - Travailleurs sociaux chrétiens, responsables œuvres sociales chrétiennes - Chrétiens engagés dans le tissu associatif ou dans la cité L’auteur : Jean-Marc Bellefleur est pasteur des Églises de Mulhouse et de St-Louis de l’Association baptiste, président de l’Association chrétienne de coordination, d’entraide et de solidarité (ACCES) à Mulhouse. Il a participé à la création du CNEF-Solidarité.
Quelques mots sur Jean-Marc Bellefleur :
Depuis 1991, Jean-Marc Bellefleur est pasteur de l’Église de La Bonne Nouvelle, à Mulhouse, membre de l’Association baptiste (AEEBLF). Dans ce cadre, au sein d’une commission de réflexion au sujet du rôle des femmes dans l’Église, il a représenté la position de l’ouverture aux femmes de tous les ministères ecclésiaux, y compris le pastorat.
Et si la mission de l’Église locale s’exprimait par son engagement social local ? C’est le plaidoyer de l’auteur de ce livre, pour qui la bienfaisance ou l’action sociale sont au cœur de la raison d’être de l’Église, à côté de l’évangélisation et de la communion. Les fondements théologiques de l’action sociale sont abordés. Puis les pages se font très pratiques avec 10 questions d’organisation comme par ex. : « Faut-il définir les catégories de personnes que l’Église va aider socialement ? » ou « Une Église peut-elle accueillir des bénévoles non-chrétiens ? ». Ensuite, l’auteur traite d’aspects associatifs et juridiques très utiles dans le contexte évolutif de la laïcité. Enfin, des exemples d’actions sociales sont donnés. Au total, c’est un véritable vade-mecum que l’on tient entre les mains, utile pour passer à l’action (sociale) en tant qu’Église. A côté du travail effectué par les professionnels, l’Église locale est en effet un lieu de ressources à redécouvrir, un groupe où vérifier que l’union fait la force, une communauté appelée à être là pour les autres, pour le bien des autres, sans honte ni volonté de récupération ! Public : - Membres d’Église soucieux de son témoignage concret - Responsables d’Églises locales - Travailleurs sociaux chrétiens, responsables œuvres sociales chrétiennes - Chrétiens engagés dans le tissu associatif ou dans la cité L’auteur : Jean-Marc Bellefleur est pasteur des Églises de Mulhouse et de St-Louis de l’Association baptiste, président de l’Association chrétienne de coordination, d’entraide et de solidarité (ACCES) à Mulhouse. Il a participé à la création du CNEF-Solidarité.
Quelques mots sur Jean-Marc Bellefleur :
Depuis 1991, Jean-Marc Bellefleur est pasteur de l’Église de La Bonne Nouvelle, à Mulhouse, membre de l’Association baptiste (AEEBLF). Dans ce cadre, au sein d’une commission de réflexion au sujet du rôle des femmes dans l’Église, il a représenté la position de l’ouverture aux femmes de tous les ministères ecclésiaux, y compris le pastorat.
Présentation :
Et si la mission de l’Église locale s’exprimait par son engagement social local ? C’est le plaidoyer de l’auteur de ce livre, pour qui la bienfaisance ou l’action sociale sont au cœur de la raison d’être de l’Église, à côté de l’évangélisation et de la communion. Les fondements théologiques de l’action sociale sont abordés. Puis les pages se font très pratiques avec 10 questions d’organisation comme par ex. : « Faut-il définir les catégories de personnes que l’Église va aider socialement ? » ou « Une Église peut-elle accueillir des bénévoles non-chrétiens ? ». Ensuite, l’auteur traite d’aspects associatifs et juridiques très utiles dans le contexte évolutif de la laïcité. Enfin, des exemples d’actions sociales sont donnés. Au total, c’est un véritable vade-mecum que l’on tient entre les mains, utile pour passer à l’action (sociale) en tant qu’Église. A côté du travail effectué par les professionnels, l’Église locale est en effet un lieu de ressources à redécouvrir, un groupe où vérifier que l’union fait la force, une communauté appelée à être là pour les autres, pour le bien des autres, sans honte ni volonté de récupération ! Public : - Membres d’Église soucieux de son témoignage concret - Responsables d’Églises locales - Travailleurs sociaux chrétiens, responsables œuvres sociales chrétiennes - Chrétiens engagés dans le tissu associatif ou dans la cité L’auteur : Jean-Marc Bellefleur est pasteur des Églises de Mulhouse et de St-Louis de l’Association baptiste, président de l’Association chrétienne de coordination, d’entraide et de solidarité (ACCES) à Mulhouse. Il a participé à la création du CNEF-Solidarité.
Quelques mots sur Jean-Marc Bellefleur :
Depuis 1991, Jean-Marc Bellefleur est pasteur de l’Église de La Bonne Nouvelle, à Mulhouse, membre de l’Association baptiste (AEEBLF). Dans ce cadre, au sein d’une commission de réflexion au sujet du rôle des femmes dans l’Église, il a représenté la position de l’ouverture aux femmes de tous les ministères ecclésiaux, y compris le pastorat.
Et si la mission de l’Église locale s’exprimait par son engagement social local ? C’est le plaidoyer de l’auteur de ce livre, pour qui la bienfaisance ou l’action sociale sont au cœur de la raison d’être de l’Église, à côté de l’évangélisation et de la communion. Les fondements théologiques de l’action sociale sont abordés. Puis les pages se font très pratiques avec 10 questions d’organisation comme par ex. : « Faut-il définir les catégories de personnes que l’Église va aider socialement ? » ou « Une Église peut-elle accueillir des bénévoles non-chrétiens ? ». Ensuite, l’auteur traite d’aspects associatifs et juridiques très utiles dans le contexte évolutif de la laïcité. Enfin, des exemples d’actions sociales sont donnés. Au total, c’est un véritable vade-mecum que l’on tient entre les mains, utile pour passer à l’action (sociale) en tant qu’Église. A côté du travail effectué par les professionnels, l’Église locale est en effet un lieu de ressources à redécouvrir, un groupe où vérifier que l’union fait la force, une communauté appelée à être là pour les autres, pour le bien des autres, sans honte ni volonté de récupération ! Public : - Membres d’Église soucieux de son témoignage concret - Responsables d’Églises locales - Travailleurs sociaux chrétiens, responsables œuvres sociales chrétiennes - Chrétiens engagés dans le tissu associatif ou dans la cité L’auteur : Jean-Marc Bellefleur est pasteur des Églises de Mulhouse et de St-Louis de l’Association baptiste, président de l’Association chrétienne de coordination, d’entraide et de solidarité (ACCES) à Mulhouse. Il a participé à la création du CNEF-Solidarité.
Quelques mots sur Jean-Marc Bellefleur :
Depuis 1991, Jean-Marc Bellefleur est pasteur de l’Église de La Bonne Nouvelle, à Mulhouse, membre de l’Association baptiste (AEEBLF). Dans ce cadre, au sein d’une commission de réflexion au sujet du rôle des femmes dans l’Église, il a représenté la position de l’ouverture aux femmes de tous les ministères ecclésiaux, y compris le pastorat.