Transcendance et discours
Sous-titre :
Essai sur la nomination paradoxale de Dieu
ISBN :
9782204023221
Editeur :
Auteur :
Info :
166
pages -
Broché -
1985
-
Prix : 15,00 €
Votre prix : 14,25 €
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Thèmes :
4e de couverture :
Le présent essai vise à jeter les bases d'une approche de la question du langage qui permette de penser en termes chrétiens, relatifs à la figure même du Christ, la transcendance du Dieu biblique. Pour ce faire, il était nécessaire de repartir du lourd héritage légué tant par la philosophie que par la linguistique moderne. Le parcours qui en résulte, quoique n'ayant d'autre dessein que celui d'établir les fondements d'une approche chrétienne du langage, n'en offre pas moins un intérêt pour lui-même. Il y est en effet montré que la théorie classique du signe, élaborée par la tradition philosophique, et la linguistique moderne sont, contrairement aux apparences, tributaires d'un même présupposé.
En prenant appui sur l'acquis critique et positif d'un tel parcours, il devient possible d'interroger, à nouveaux frais, les conditions qui sous-tendent, et de façon paradoxale, la nomination de Dieu. Le Dieu ainsi nommé ne sera certes pas celui ressortissant à la totalité de l'être et à l'ordre conceptuel de la radio, mais celui-là même dont le Christ témoigne : un tel Dieu n'est nommable qu'à l'expresse condition de citer le Médiateur.
En prenant appui sur l'acquis critique et positif d'un tel parcours, il devient possible d'interroger, à nouveaux frais, les conditions qui sous-tendent, et de façon paradoxale, la nomination de Dieu. Le Dieu ainsi nommé ne sera certes pas celui ressortissant à la totalité de l'être et à l'ordre conceptuel de la radio, mais celui-là même dont le Christ témoigne : un tel Dieu n'est nommable qu'à l'expresse condition de citer le Médiateur.
Le présent essai vise à jeter les bases d'une approche de la question du langage qui permette de penser en termes chrétiens, relatifs à la figure même du Christ, la transcendance du Dieu biblique. Pour ce faire, il était nécessaire de repartir du lourd héritage légué tant par la philosophie que par la linguistique moderne. Le parcours qui en résulte, quoique n'ayant d'autre dessein que celui d'établir les fondements d'une approche chrétienne du langage, n'en offre pas moins un intérêt pour lui-même. Il y est en effet montré que la théorie classique du signe, élaborée par la tradition philosophique, et la linguistique moderne sont, contrairement aux apparences, tributaires d'un même présupposé.
En prenant appui sur l'acquis critique et positif d'un tel parcours, il devient possible d'interroger, à nouveaux frais, les conditions qui sous-tendent, et de façon paradoxale, la nomination de Dieu. Le Dieu ainsi nommé ne sera certes pas celui ressortissant à la totalité de l'être et à l'ordre conceptuel de la radio, mais celui-là même dont le Christ témoigne : un tel Dieu n'est nommable qu'à l'expresse condition de citer le Médiateur.
En prenant appui sur l'acquis critique et positif d'un tel parcours, il devient possible d'interroger, à nouveaux frais, les conditions qui sous-tendent, et de façon paradoxale, la nomination de Dieu. Le Dieu ainsi nommé ne sera certes pas celui ressortissant à la totalité de l'être et à l'ordre conceptuel de la radio, mais celui-là même dont le Christ témoigne : un tel Dieu n'est nommable qu'à l'expresse condition de citer le Médiateur.