Traité des reliques
ISBN :
9782846211109
Editeur :
Auteur :
Bernard COTTRET (presentation), Jean CALVIN
Info :
77
pages -
Broché -
2008
-
Prix : 13,00 €
Votre prix : 5,07 €
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Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
PRIX INITIAL=13€
Ouvrage irrévérencieux et d'un humour inattendu chez le père du protestantisme français et pour le 500e anniversaire de sa naissance en 2009, ce Traité des reliques, publié en 1543, recense les reliques de saints dont, à son époque, le monde chrétien s'enorgueillissait. Il ironise sur les innombrables croix et couronnes d'épines, les corps de saints en double ou triple exemplaire, les vêtements et autres objets intacts depuis 1500 ans, tous objets de jalousie et de pèlerinage. Pour Calvin, il s'agit par là de se débarrasser du culte des idoles pour s'attacher à Dieu seul.
Ce texte, s'il fait appel à la raison pour repousser l'idolâtrie, est aussi un texte de combat, un pamphlet théologique au service de la foi seule. Il témoigne enfin d'une maturité de la langue française qui le place entre Rabelais et Montaigne, autres grandes figures de la Renaissance.
JEAN CALVIN (1509-1564). Humaniste, théologien autodidacte, partisan d'une rupture radicale avec l'Église catholique, Jean Calvin, né à Noyon en Picardie, a vécu en exil à Genève à partir de 1541 d'où son influence rayonne sur toute l'Europe.
Son institution de la religion chrétienne s'est imposée comme la somme de la foi réformée.
Professeur à l'université de Versailles-Saint-Quentin, membre senior de l'Institut Universitaire de France, où il occupe la chaire de civilisation des îles Britanniques et de l'Amérique coloniale, Bernard Cottret est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages dont Cromwell, Calvin (traduit en sept langues), Histoire de la Réforme protestante, Histoire de la révolution américaine, Histoire de l'Angleterre. Il a publié aux Editions de Paris : Jacques Fontaine, Persécutés pour leur foi, La Renaissance, civilisation et barbarie, ainsi qu'un ouvrage collectif Saintes ou sorcières ? L'héroïsme chrétien au féminin. Parallèlement à cet ouvrage, il publie La République et le Royaume.
Ouvrage irrévérencieux et d'un humour inattendu chez le père du protestantisme français et pour le 500e anniversaire de sa naissance en 2009, ce Traité des reliques, publié en 1543, recense les reliques de saints dont, à son époque, le monde chrétien s'enorgueillissait. Il ironise sur les innombrables croix et couronnes d'épines, les corps de saints en double ou triple exemplaire, les vêtements et autres objets intacts depuis 1500 ans, tous objets de jalousie et de pèlerinage. Pour Calvin, il s'agit par là de se débarrasser du culte des idoles pour s'attacher à Dieu seul.
Ce texte, s'il fait appel à la raison pour repousser l'idolâtrie, est aussi un texte de combat, un pamphlet théologique au service de la foi seule. Il témoigne enfin d'une maturité de la langue française qui le place entre Rabelais et Montaigne, autres grandes figures de la Renaissance.
JEAN CALVIN (1509-1564). Humaniste, théologien autodidacte, partisan d'une rupture radicale avec l'Église catholique, Jean Calvin, né à Noyon en Picardie, a vécu en exil à Genève à partir de 1541 d'où son influence rayonne sur toute l'Europe.
Son institution de la religion chrétienne s'est imposée comme la somme de la foi réformée.
Professeur à l'université de Versailles-Saint-Quentin, membre senior de l'Institut Universitaire de France, où il occupe la chaire de civilisation des îles Britanniques et de l'Amérique coloniale, Bernard Cottret est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages dont Cromwell, Calvin (traduit en sept langues), Histoire de la Réforme protestante, Histoire de la révolution américaine, Histoire de l'Angleterre. Il a publié aux Editions de Paris : Jacques Fontaine, Persécutés pour leur foi, La Renaissance, civilisation et barbarie, ainsi qu'un ouvrage collectif Saintes ou sorcières ? L'héroïsme chrétien au féminin. Parallèlement à cet ouvrage, il publie La République et le Royaume.
PRIX INITIAL=13€
Ouvrage irrévérencieux et d'un humour inattendu chez le père du protestantisme français et pour le 500e anniversaire de sa naissance en 2009, ce Traité des reliques, publié en 1543, recense les reliques de saints dont, à son époque, le monde chrétien s'enorgueillissait. Il ironise sur les innombrables croix et couronnes d'épines, les corps de saints en double ou triple exemplaire, les vêtements et autres objets intacts depuis 1500 ans, tous objets de jalousie et de pèlerinage. Pour Calvin, il s'agit par là de se débarrasser du culte des idoles pour s'attacher à Dieu seul.
Ce texte, s'il fait appel à la raison pour repousser l'idolâtrie, est aussi un texte de combat, un pamphlet théologique au service de la foi seule. Il témoigne enfin d'une maturité de la langue française qui le place entre Rabelais et Montaigne, autres grandes figures de la Renaissance.
JEAN CALVIN (1509-1564). Humaniste, théologien autodidacte, partisan d'une rupture radicale avec l'Église catholique, Jean Calvin, né à Noyon en Picardie, a vécu en exil à Genève à partir de 1541 d'où son influence rayonne sur toute l'Europe.
Son institution de la religion chrétienne s'est imposée comme la somme de la foi réformée.
Professeur à l'université de Versailles-Saint-Quentin, membre senior de l'Institut Universitaire de France, où il occupe la chaire de civilisation des îles Britanniques et de l'Amérique coloniale, Bernard Cottret est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages dont Cromwell, Calvin (traduit en sept langues), Histoire de la Réforme protestante, Histoire de la révolution américaine, Histoire de l'Angleterre. Il a publié aux Editions de Paris : Jacques Fontaine, Persécutés pour leur foi, La Renaissance, civilisation et barbarie, ainsi qu'un ouvrage collectif Saintes ou sorcières ? L'héroïsme chrétien au féminin. Parallèlement à cet ouvrage, il publie La République et le Royaume.
Ouvrage irrévérencieux et d'un humour inattendu chez le père du protestantisme français et pour le 500e anniversaire de sa naissance en 2009, ce Traité des reliques, publié en 1543, recense les reliques de saints dont, à son époque, le monde chrétien s'enorgueillissait. Il ironise sur les innombrables croix et couronnes d'épines, les corps de saints en double ou triple exemplaire, les vêtements et autres objets intacts depuis 1500 ans, tous objets de jalousie et de pèlerinage. Pour Calvin, il s'agit par là de se débarrasser du culte des idoles pour s'attacher à Dieu seul.
Ce texte, s'il fait appel à la raison pour repousser l'idolâtrie, est aussi un texte de combat, un pamphlet théologique au service de la foi seule. Il témoigne enfin d'une maturité de la langue française qui le place entre Rabelais et Montaigne, autres grandes figures de la Renaissance.
JEAN CALVIN (1509-1564). Humaniste, théologien autodidacte, partisan d'une rupture radicale avec l'Église catholique, Jean Calvin, né à Noyon en Picardie, a vécu en exil à Genève à partir de 1541 d'où son influence rayonne sur toute l'Europe.
Son institution de la religion chrétienne s'est imposée comme la somme de la foi réformée.
Professeur à l'université de Versailles-Saint-Quentin, membre senior de l'Institut Universitaire de France, où il occupe la chaire de civilisation des îles Britanniques et de l'Amérique coloniale, Bernard Cottret est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages dont Cromwell, Calvin (traduit en sept langues), Histoire de la Réforme protestante, Histoire de la révolution américaine, Histoire de l'Angleterre. Il a publié aux Editions de Paris : Jacques Fontaine, Persécutés pour leur foi, La Renaissance, civilisation et barbarie, ainsi qu'un ouvrage collectif Saintes ou sorcières ? L'héroïsme chrétien au féminin. Parallèlement à cet ouvrage, il publie La République et le Royaume.
Avis :
Il faut saluer le courage de l’éditeur Max Chaleil qui, en publiant le Traité des reliques, choisit d’ignorer le politiquement correct. Et Bernard Cottret qui introduit et annote le texte, n’est pas en reste quand il s’interroge s’il faut sacrifier Calvin sur « l’autel de l’œcuménisme » ou en bannissant la « légende d’une Genève théocratique » … excellente présentation qui plante le décor et qui oblige à la réflexion. Vient ensuite le texte : savoureux et d’une pertinente simplicité. Protestant ou non, il est impensable de méconnaître le fondateur de notre belle langue et, on le dit, d’une civilisation. Calvin, dès les premières pages, ne parle pas de théologie. Nul besoin ; car tranquillement, en usant d’un bon sens non dénué d’humour, il démontre la « niaiserie » de ces pratiques… et autres petites choses délicieuses.
Il faut saluer le courage de l’éditeur Max Chaleil qui, en publiant le Traité des reliques, choisit d’ignorer le politiquement correct. Et Bernard Cottret qui introduit et annote le texte, n’est pas en reste quand il s’interroge s’il faut sacrifier Calvin sur « l’autel de l’œcuménisme » ou en bannissant la « légende d’une Genève théocratique » … excellente présentation qui plante le décor et qui oblige à la réflexion. Vient ensuite le texte : savoureux et d’une pertinente simplicité. Protestant ou non, il est impensable de méconnaître le fondateur de notre belle langue et, on le dit, d’une civilisation. Calvin, dès les premières pages, ne parle pas de théologie. Nul besoin ; car tranquillement, en usant d’un bon sens non dénué d’humour, il démontre la « niaiserie » de ces pratiques… et autres petites choses délicieuses.