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Titien

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Sous-titre :
L'art plus fort que la nature
ISBN :
9782070532520
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Auteur :
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Info :
176 pages - Broché - - Prix 15,20 € Livraison reduite
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4e de couverture :
Titien, c'est 90 ans d'une vie consacrée à la peinture. Un siècle dont le cadre, les événements, les personnalités, ont occulté la stricte biographie du peintre. Mais la splendeur de Venise ou la gloire de Charles Quint ne doivent pas faire oublier un des artistes les plus féconds de notre civilisation.
Tiziano Vecellio arrive à Venise à l'âge de neuf ans, dans les dernières années du Quattrocento qui a vu naître en Italie un formidable mouvement de renouvellement de l'art et de la société : la Renaissance. Venise est alors à son apogée : puissance politique, financière, culturelle. Il y apprend le métier de peintre avec les meilleurs artistes vénitiens du temps : les frères Bellini et Giorgione, avec qui il découvre la magie de la couleur. Il assimile si bien la technique de ce dernier que leurs Å“uvres ont souvent été confondues, en témoignent Le Concert champêtre ou le Christ et la femme adultère, présentés pour la première fois à l'exposition du Grand-Palais comme Å“uvres de Titien, et dont David Rosand maintient l'attribution à Giorgione.
L'Å“uvre qui va le faire connaître de tout Venise, puis de toute l'Europe, ce sont les fresques du Fondaco dei Tedeschi, réalisées en 1508 avec Giorgione. Véritable manifeste d'une peinture nouvelle, les fresques malheureusement presque effacées expriment sa maîtrise de la lumière et de la couleur. En 1510, c'est à Padoue qu'il atteint la maturité dans la composition des Miracles de Saint-Antoine et se détache de son maître. Suivront des Å“uvres majeures : les grands retables vénitiens.
Attaché à Venise, où il réalise de nombreuses commandes officielles, Titien est appelé dans toutes les cours d'Europe pour immortaliser souverains, papes, hommes et femmes qui sont le reflet d'une société flamboyante, consciente de sa grandeur. La cour d'Este à Ferrare, celle des Gonzague à Mantoue, celle de Charles Quint, qui l'anoblit et lui donne le titre de « premier peintre », les Farnèse à Rome, le Vatican enfin se le disputent mais aucun… [lire +]
Titien, c'est 90 ans d'une vie consacrée à la peinture. Un siècle dont le cadre, les événements, les personnalités, ont occulté la stricte biographie du peintre. Mais la splendeur de Venise ou la gloire de Charles Quint ne doivent pas faire oublier un des artistes les plus féconds de notre civilisation.
Tiziano Vecellio arrive à Venise à l'âge de neuf ans, dans les dernières années du Quattrocento qui a vu naître en Italie un formidable mouvement de renouvellement de l'art et de la société : la Renaissance. Venise est alors à son apogée : puissance politique, financière, culturelle. Il y apprend le métier de peintre avec les meilleurs artistes vénitiens du temps : les frères Bellini et Giorgione, avec qui il découvre la magie de la couleur. Il assimile si bien la technique de ce dernier que leurs Å“uvres ont souvent été confondues, en témoignent Le Concert champêtre ou le Christ et la femme adultère, présentés pour la première fois à l'exposition du Grand-Palais comme Å“uvres de Titien, et dont David Rosand maintient l'attribution à Giorgione.
L'Å“uvre qui va le faire connaître de tout Venise, puis de toute l'Europe, ce sont les fresques du Fondaco dei Tedeschi, réalisées en 1508 avec Giorgione. Véritable manifeste d'une peinture nouvelle, les fresques malheureusement presque effacées expriment sa maîtrise de la lumière et de la couleur. En 1510, c'est à Padoue qu'il atteint la maturité dans la composition des Miracles de Saint-Antoine et se détache de son maître. Suivront des Å“uvres majeures : les grands retables vénitiens.
Attaché à Venise, où il réalise de nombreuses commandes officielles, Titien est appelé dans toutes les cours d'Europe pour immortaliser souverains, papes, hommes et femmes qui sont le reflet d'une société flamboyante, consciente de sa grandeur. La cour d'Este à Ferrare, celle des Gonzague à Mantoue, celle de Charles Quint, qui l'anoblit et lui donne le titre de « premier peintre », les Farnèse à Rome, le Vatican enfin se le disputent mais aucun n'arrivera à l'arracher à sa ville où il meurt, comblé d'honneurs et de titres, en 1576.
Peintre officiel, peintre de portrait s'il en fût, Titien a également exprimé toute la grandeur de son génie dans sa peinture religieuse. Elle est le sommet de son art : couleur, composition, expression, monumentalité en font l'une des Å“uvres essentielles du XVIe siècle. De l'Assomption de la Vierge aux Mise au tombeau, de Saint Sébastien à la Piétà, un seul peut lui être comparé : Michel-Ange.
Les dernières Å“uvres du Titien se colorent des lumières du drame, la touche devient rapide, le sentiment exacerbé, témoignage des passions d'un homme du siècle de l'humanisme, ami de l'Arétin et de Charles Quint. Le Supplice de Marsyas, l'Annonciation témoignent de cette énergie : ils sont peints « avec les doigts » !

Titien - L'art plus fort que la nature - par David ROSAND - Editeur Gallimard



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