Terres glacées - BD
ISBN :
9782805312045
Editeur :
Auteur :
Info :
40
pages -
1995
-
Prix 4,42 €
Thèmes :
4e de couverture :
James Evans chez les Peaux-Rouges de la Baie d'Hudson
« Je compris les sentiments de l'Indien qui m'avait enlevé quand j'étais enfant. Avec tant d'autres de sa race, traqués comme des bêtes fauves, il devait fuir devant le Blanc criminel. En lui, la rage du persécuté et la soif de vengeance luttaient contre la pitié. Pouvais-je lui reprocher sa colère ? Je me sentais bien plutôt irrésistiblement attiré vers lui ; je pensais, comme cet enfant dont père et mère avaient été tués par les Indiens révoltés : - J'irai vers les Indiens leur dire que le Sauveur les aime, et que je les aime aussi ! - »
Extrait de l'ouvrage de R. Vittoz aux Éditions La Concorde.
« Je compris les sentiments de l'Indien qui m'avait enlevé quand j'étais enfant. Avec tant d'autres de sa race, traqués comme des bêtes fauves, il devait fuir devant le Blanc criminel. En lui, la rage du persécuté et la soif de vengeance luttaient contre la pitié. Pouvais-je lui reprocher sa colère ? Je me sentais bien plutôt irrésistiblement attiré vers lui ; je pensais, comme cet enfant dont père et mère avaient été tués par les Indiens révoltés : - J'irai vers les Indiens leur dire que le Sauveur les aime, et que je les aime aussi ! - »
Extrait de l'ouvrage de R. Vittoz aux Éditions La Concorde.
James Evans chez les Peaux-Rouges de la Baie d'Hudson
« Je compris les sentiments de l'Indien qui m'avait enlevé quand j'étais enfant. Avec tant d'autres de sa race, traqués comme des bêtes fauves, il devait fuir devant le Blanc criminel. En lui, la rage du persécuté et la soif de vengeance luttaient contre la pitié. Pouvais-je lui reprocher sa colère ? Je me sentais bien plutôt irrésistiblement attiré vers lui ; je pensais, comme cet enfant dont père et mère avaient été tués par les Indiens révoltés : - J'irai vers les Indiens leur dire que le Sauveur les aime, et que je les aime aussi ! - »
Extrait de l'ouvrage de R. Vittoz aux Éditions La Concorde.
« Je compris les sentiments de l'Indien qui m'avait enlevé quand j'étais enfant. Avec tant d'autres de sa race, traqués comme des bêtes fauves, il devait fuir devant le Blanc criminel. En lui, la rage du persécuté et la soif de vengeance luttaient contre la pitié. Pouvais-je lui reprocher sa colère ? Je me sentais bien plutôt irrésistiblement attiré vers lui ; je pensais, comme cet enfant dont père et mère avaient été tués par les Indiens révoltés : - J'irai vers les Indiens leur dire que le Sauveur les aime, et que je les aime aussi ! - »
Extrait de l'ouvrage de R. Vittoz aux Éditions La Concorde.