Sébastien Castellion et la Réforme calviniste : Les deux Réformes
ISBN :
9782365001021
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
411
pages -
Broché -
2015
-
Prix 28,00 €

Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Les deux Réformes...
Etienne Giran (1871-1944) fut pasteur et secrétaire de "l'Union de Libres penseurs et libres croyants pour la Culture morale". Sa vie et son œuvre sont toutes marquées par une même passion : celle de la liberté. C'est ainsi que, pour cause de résistance, il finit ses jours à Buchenwald...
Dans ce livre, qui complète le travail de Ferdinand Buisson sur Castellion, Giran oppose deux modèles : celui du dogmatisme autoritaire et celui de la libre croyance. On ne peut, en effet, retracer le parcours de Castellion sans évoquer celui de Calvin, tant l'existence des deux hommes demeure marquée par une divergence toujours plus profonde.
Le livre de Giran est remarquablement documenté. C'est l'œuvre d'un historien. Mais aussi un livre facile à lire, n'ayant pas la froideur de certains livres d'histoire. Car Giran est également un fervent partisan de la libre croyance, qui n'est pas sans savoir que les modèles d'autorité et de liberté ont quelque chose d'universel. On trouve chez lui la conviction que Calvin a trahi la Réforme, mais que la libre croyance défendue par Castellion, bien que fortement combattue et parfois étouffée, réapparaît sans cesse, de façon sporadique ou parfois assurée, devant finalement l'emporter pour façonner un protestantisme de liberté.
L'auteur, ayant vécu en Hollande, nous donne aussi un précieux aperçu de ce protestantisme "arminien", trop peu connu en France, mais qui préfigura et contribua largement à donner son visage au protestantisme libéral, entre libre croyance et libre pensée.
Etienne Giran (1871-1944) fut pasteur et secrétaire de "l'Union de Libres penseurs et libres croyants pour la Culture morale". Sa vie et son œuvre sont toutes marquées par une même passion : celle de la liberté. C'est ainsi que, pour cause de résistance, il finit ses jours à Buchenwald...
Dans ce livre, qui complète le travail de Ferdinand Buisson sur Castellion, Giran oppose deux modèles : celui du dogmatisme autoritaire et celui de la libre croyance. On ne peut, en effet, retracer le parcours de Castellion sans évoquer celui de Calvin, tant l'existence des deux hommes demeure marquée par une divergence toujours plus profonde.
Le livre de Giran est remarquablement documenté. C'est l'œuvre d'un historien. Mais aussi un livre facile à lire, n'ayant pas la froideur de certains livres d'histoire. Car Giran est également un fervent partisan de la libre croyance, qui n'est pas sans savoir que les modèles d'autorité et de liberté ont quelque chose d'universel. On trouve chez lui la conviction que Calvin a trahi la Réforme, mais que la libre croyance défendue par Castellion, bien que fortement combattue et parfois étouffée, réapparaît sans cesse, de façon sporadique ou parfois assurée, devant finalement l'emporter pour façonner un protestantisme de liberté.
L'auteur, ayant vécu en Hollande, nous donne aussi un précieux aperçu de ce protestantisme "arminien", trop peu connu en France, mais qui préfigura et contribua largement à donner son visage au protestantisme libéral, entre libre croyance et libre pensée.
Les deux Réformes...
Etienne Giran (1871-1944) fut pasteur et secrétaire de "l'Union de Libres penseurs et libres croyants pour la Culture morale". Sa vie et son œuvre sont toutes marquées par une même passion : celle de la liberté. C'est ainsi que, pour cause de résistance, il finit ses jours à Buchenwald...
Dans ce livre, qui complète le travail de Ferdinand Buisson sur Castellion, Giran oppose deux modèles : celui du dogmatisme autoritaire et celui de la libre croyance. On ne peut, en effet, retracer le parcours de Castellion sans évoquer celui de Calvin, tant l'existence des deux hommes demeure marquée par une divergence toujours plus profonde.
Le livre de Giran est remarquablement documenté. C'est l'œuvre d'un historien. Mais aussi un livre facile à lire, n'ayant pas la froideur de certains livres d'histoire. Car Giran est également un fervent partisan de la libre croyance, qui n'est pas sans savoir que les modèles d'autorité et de liberté ont quelque chose d'universel. On trouve chez lui la conviction que Calvin a trahi la Réforme, mais que la libre croyance défendue par Castellion, bien que fortement combattue et parfois étouffée, réapparaît sans cesse, de façon sporadique ou parfois assurée, devant finalement l'emporter pour façonner un protestantisme de liberté.
L'auteur, ayant vécu en Hollande, nous donne aussi un précieux aperçu de ce protestantisme "arminien", trop peu connu en France, mais qui préfigura et contribua largement à donner son visage au protestantisme libéral, entre libre croyance et libre pensée.
Etienne Giran (1871-1944) fut pasteur et secrétaire de "l'Union de Libres penseurs et libres croyants pour la Culture morale". Sa vie et son œuvre sont toutes marquées par une même passion : celle de la liberté. C'est ainsi que, pour cause de résistance, il finit ses jours à Buchenwald...
Dans ce livre, qui complète le travail de Ferdinand Buisson sur Castellion, Giran oppose deux modèles : celui du dogmatisme autoritaire et celui de la libre croyance. On ne peut, en effet, retracer le parcours de Castellion sans évoquer celui de Calvin, tant l'existence des deux hommes demeure marquée par une divergence toujours plus profonde.
Le livre de Giran est remarquablement documenté. C'est l'œuvre d'un historien. Mais aussi un livre facile à lire, n'ayant pas la froideur de certains livres d'histoire. Car Giran est également un fervent partisan de la libre croyance, qui n'est pas sans savoir que les modèles d'autorité et de liberté ont quelque chose d'universel. On trouve chez lui la conviction que Calvin a trahi la Réforme, mais que la libre croyance défendue par Castellion, bien que fortement combattue et parfois étouffée, réapparaît sans cesse, de façon sporadique ou parfois assurée, devant finalement l'emporter pour façonner un protestantisme de liberté.
L'auteur, ayant vécu en Hollande, nous donne aussi un précieux aperçu de ce protestantisme "arminien", trop peu connu en France, mais qui préfigura et contribua largement à donner son visage au protestantisme libéral, entre libre croyance et libre pensée.