Sans feu ni lieu : signification biblique de la grande ville
ISBN :
9782710325826
Editeur :
Auteur :
Info :
378
pages -
Broché -
2003
-
Prix 10,20 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
« La Ville est par excellence le monde de l'homme, créée par lui pour lui, mesure de sa grandeur, expression de toute civilisation, mais en même temps elle est le témoin de la démesure humaine, œuvre de l'avidité d'argent et d'ambition, dont les hommes deviennent esclaves. »
Ainsi s'exprime Jacques Ellul dans cet ouvrage qui a connu un succès considérable aux États-Unis.
À travers la Bible, l'auteur découvre une surréalité de la ville. À l'origine, elle est dressée contre Dieu. Caïn, condamné à l'errance éternelle, se fait bâtisseur avec toute sa postérité : il s'agit de créer le nouveau Paradis de l'absence de Dieu. C'est pourquoi toutes les villes sont maudites : Babel, Babylone, Ninive...
La cité qui était recherche de l'unité perdue, liée à la puissance et à la guerre, devient le lieu de la non-communication et cause sa propre perte... Mais au cours de l'histoire biblique, en Jérusalem, Dieu ratifie le projet humain de la ville. Jérusalem, sans cesse détruite et rebâtie, devient signe et prophétie de la Cité sainte. La dialectique de l'auteur culmine dans son inter-prétation de l'Apocalypse. De l'Éden primitif à Jérusalem à travers la destruction et l'anéantissement, du jardin à la ville...
Jacques Ellul (1912-1994), docteur en droit, fut membre du Conseil national de l'Église réformée de France. Philosophe et théologien, il a publié de nombreux livres diffusés dans le monde entier.
Ainsi s'exprime Jacques Ellul dans cet ouvrage qui a connu un succès considérable aux États-Unis.
À travers la Bible, l'auteur découvre une surréalité de la ville. À l'origine, elle est dressée contre Dieu. Caïn, condamné à l'errance éternelle, se fait bâtisseur avec toute sa postérité : il s'agit de créer le nouveau Paradis de l'absence de Dieu. C'est pourquoi toutes les villes sont maudites : Babel, Babylone, Ninive...
La cité qui était recherche de l'unité perdue, liée à la puissance et à la guerre, devient le lieu de la non-communication et cause sa propre perte... Mais au cours de l'histoire biblique, en Jérusalem, Dieu ratifie le projet humain de la ville. Jérusalem, sans cesse détruite et rebâtie, devient signe et prophétie de la Cité sainte. La dialectique de l'auteur culmine dans son inter-prétation de l'Apocalypse. De l'Éden primitif à Jérusalem à travers la destruction et l'anéantissement, du jardin à la ville...
Jacques Ellul (1912-1994), docteur en droit, fut membre du Conseil national de l'Église réformée de France. Philosophe et théologien, il a publié de nombreux livres diffusés dans le monde entier.
« La Ville est par excellence le monde de l'homme, créée par lui pour lui, mesure de sa grandeur, expression de toute civilisation, mais en même temps elle est le témoin de la démesure humaine, œuvre de l'avidité d'argent et d'ambition, dont les hommes deviennent esclaves. »
Ainsi s'exprime Jacques Ellul dans cet ouvrage qui a connu un succès considérable aux États-Unis.
À travers la Bible, l'auteur découvre une surréalité de la ville. À l'origine, elle est dressée contre Dieu. Caïn, condamné à l'errance éternelle, se fait bâtisseur avec toute sa postérité : il s'agit de créer le nouveau Paradis de l'absence de Dieu. C'est pourquoi toutes les villes sont maudites : Babel, Babylone, Ninive...
La cité qui était recherche de l'unité perdue, liée à la puissance et à la guerre, devient le lieu de la non-communication et cause sa propre perte... Mais au cours de l'histoire biblique, en Jérusalem, Dieu ratifie le projet humain de la ville. Jérusalem, sans cesse détruite et rebâtie, devient signe et prophétie de la Cité sainte. La dialectique de l'auteur culmine dans son inter-prétation de l'Apocalypse. De l'Éden primitif à Jérusalem à travers la destruction et l'anéantissement, du jardin à la ville...
Jacques Ellul (1912-1994), docteur en droit, fut membre du Conseil national de l'Église réformée de France. Philosophe et théologien, il a publié de nombreux livres diffusés dans le monde entier.
Ainsi s'exprime Jacques Ellul dans cet ouvrage qui a connu un succès considérable aux États-Unis.
À travers la Bible, l'auteur découvre une surréalité de la ville. À l'origine, elle est dressée contre Dieu. Caïn, condamné à l'errance éternelle, se fait bâtisseur avec toute sa postérité : il s'agit de créer le nouveau Paradis de l'absence de Dieu. C'est pourquoi toutes les villes sont maudites : Babel, Babylone, Ninive...
La cité qui était recherche de l'unité perdue, liée à la puissance et à la guerre, devient le lieu de la non-communication et cause sa propre perte... Mais au cours de l'histoire biblique, en Jérusalem, Dieu ratifie le projet humain de la ville. Jérusalem, sans cesse détruite et rebâtie, devient signe et prophétie de la Cité sainte. La dialectique de l'auteur culmine dans son inter-prétation de l'Apocalypse. De l'Éden primitif à Jérusalem à travers la destruction et l'anéantissement, du jardin à la ville...
Jacques Ellul (1912-1994), docteur en droit, fut membre du Conseil national de l'Église réformée de France. Philosophe et théologien, il a publié de nombreux livres diffusés dans le monde entier.