Sacrifice et expiation
Sous-titre :
Actes du colloques universitaire des 1er et 2 décembre 2006
ISBN :
9782905464859
Editeur :
Auteur :
Paul WELLS (sous la direction), Pierre BERTHOUD (sous la direction)
Info :
196
pages -
Broché -
2008
-
Prix 17,50 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Actes du colloque universitaire des 1er et 2 décembre 2006 organisé par la Faculté Libre de Théologie Réformée d'Aix-en-Provence.
Dans sa conclusion à ce colloque, où se croisaient les regards de l'anthropologue, du bibliste, de l'éthicien et du théologien, regards qui visaient tous à une problématique particulière, celle de la relation entre sacrifice et expiation, Gerald Bray a résumé ainsi ses réactions :
« Nous avons entendu dans plusieurs interventions [...] que la justice divine se trouve au cœur du sacrifice. Le sacrifice doit satisfaire à la justice de Dieu, payer la dette du péché, expier les fautes, les offenses du peuple. Cette justice a été elle aussi transformée par l'amour. Parce que c'est l'amour qui a rempli le sacrifice perpétuel, qui a fait le sacrifice perpétuel. Ce que l'homme ne pouvait pas faire, Dieu l'a fait en devenant le sacrifice pour nous. Lui, il a pris notre place sur la croix pour que nous puissions vivre avec lui. »
Autant de notions contestées de nos jours, déconstruites ou remplacées par des théories proposant des alliages entre des bribes de l'histoire évangélique et des idées à la mode, mais autant de raisons de revisiter le thème du sacrifice de Christ et de l'expiation accomplie à la croix. Il en va, après tout, du fondement biblique de la foi et de l'essence du christianisme.
Dans sa conclusion à ce colloque, où se croisaient les regards de l'anthropologue, du bibliste, de l'éthicien et du théologien, regards qui visaient tous à une problématique particulière, celle de la relation entre sacrifice et expiation, Gerald Bray a résumé ainsi ses réactions :
« Nous avons entendu dans plusieurs interventions [...] que la justice divine se trouve au cœur du sacrifice. Le sacrifice doit satisfaire à la justice de Dieu, payer la dette du péché, expier les fautes, les offenses du peuple. Cette justice a été elle aussi transformée par l'amour. Parce que c'est l'amour qui a rempli le sacrifice perpétuel, qui a fait le sacrifice perpétuel. Ce que l'homme ne pouvait pas faire, Dieu l'a fait en devenant le sacrifice pour nous. Lui, il a pris notre place sur la croix pour que nous puissions vivre avec lui. »
Autant de notions contestées de nos jours, déconstruites ou remplacées par des théories proposant des alliages entre des bribes de l'histoire évangélique et des idées à la mode, mais autant de raisons de revisiter le thème du sacrifice de Christ et de l'expiation accomplie à la croix. Il en va, après tout, du fondement biblique de la foi et de l'essence du christianisme.
Actes du colloque universitaire des 1er et 2 décembre 2006 organisé par la Faculté Libre de Théologie Réformée d'Aix-en-Provence.
Dans sa conclusion à ce colloque, où se croisaient les regards de l'anthropologue, du bibliste, de l'éthicien et du théologien, regards qui visaient tous à une problématique particulière, celle de la relation entre sacrifice et expiation, Gerald Bray a résumé ainsi ses réactions :
« Nous avons entendu dans plusieurs interventions [...] que la justice divine se trouve au cœur du sacrifice. Le sacrifice doit satisfaire à la justice de Dieu, payer la dette du péché, expier les fautes, les offenses du peuple. Cette justice a été elle aussi transformée par l'amour. Parce que c'est l'amour qui a rempli le sacrifice perpétuel, qui a fait le sacrifice perpétuel. Ce que l'homme ne pouvait pas faire, Dieu l'a fait en devenant le sacrifice pour nous. Lui, il a pris notre place sur la croix pour que nous puissions vivre avec lui. »
Autant de notions contestées de nos jours, déconstruites ou remplacées par des théories proposant des alliages entre des bribes de l'histoire évangélique et des idées à la mode, mais autant de raisons de revisiter le thème du sacrifice de Christ et de l'expiation accomplie à la croix. Il en va, après tout, du fondement biblique de la foi et de l'essence du christianisme.
Dans sa conclusion à ce colloque, où se croisaient les regards de l'anthropologue, du bibliste, de l'éthicien et du théologien, regards qui visaient tous à une problématique particulière, celle de la relation entre sacrifice et expiation, Gerald Bray a résumé ainsi ses réactions :
« Nous avons entendu dans plusieurs interventions [...] que la justice divine se trouve au cœur du sacrifice. Le sacrifice doit satisfaire à la justice de Dieu, payer la dette du péché, expier les fautes, les offenses du peuple. Cette justice a été elle aussi transformée par l'amour. Parce que c'est l'amour qui a rempli le sacrifice perpétuel, qui a fait le sacrifice perpétuel. Ce que l'homme ne pouvait pas faire, Dieu l'a fait en devenant le sacrifice pour nous. Lui, il a pris notre place sur la croix pour que nous puissions vivre avec lui. »
Autant de notions contestées de nos jours, déconstruites ou remplacées par des théories proposant des alliages entre des bribes de l'histoire évangélique et des idées à la mode, mais autant de raisons de revisiter le thème du sacrifice de Christ et de l'expiation accomplie à la croix. Il en va, après tout, du fondement biblique de la foi et de l'essence du christianisme.