Rousseau et les genevois
ISBN :
9782356180537
Editeur :
Auteur :
Info :
142
pages -
Broché -
2012
-
Prix 16,00 €

Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Fils d'Isaac Rousseau, horloger genevois descendant de huguenots réfugiés au temps de la Réforme, Jean-Jacques Rousseau perd sa mère neuf jours après sa naissance et reçoit une éducation typiquement réformée, rythmée par la lecture de la Bible et le chant des psaumes. A 16 ans, il s'enfuit de chez lui pour échapper à sa condition d'apprenti et se convertit au catholicisme. Il rencontre à Annecy Mme de Warens qui parfait son éducation musicale et affective.
Devenu célèbre, l'enfant prodigue retourne à la « religion de ses pères » en 1754-1755, mais il entretient désormais des relations tendues avec les autorités genevoises qui condamneront aussi bien l'Emile que Du Contrat Social (1762) comme « téméraires, impies, tendant à détruire la religion chrétienne, et tous les gouvernements ».
Toute sa vie Rousseau professe une religion profondément personnelle. « Je suis chrétien, dira-t-il, non comme un disciple des prêtres, mais comme un disciple de Jésus-Christ ». Mal à l'aise à Paris avec les philosophes, il défend la providence contre les attaques de Voltaire, proscrit à Genève, il renonce à sa citoyenneté en 1763.
L'introduction de Bernard et Monique Cottret, spécialistes reconnus de Rousseau et des temps modernes, aide à clarifier la pensée religieuse de cet homme complexe et sensible.
Initialement écrite comme une allocution pour l'Assemblée du Désert 2012, elle plante le décor et permet de mieux comprendre l'influence durable de cet apôtre de la « religion civile ».
Rousseau est parmi nous, Jean-Jacques est l'un d'entre nous. Sa place reste marquée... Rousseau, c'est d'abord une écriture, un style, une voix [...] un refus de la conformité et plus encore du conformisme. "L'homme est né libre, et partout il est dans les fers" [...] Peut-on rêver formule plus propre à dénoncer l'aliénation des hommes en société ? (extrait de l'introduction de Bernard Cottret lors de l'Assemblée protestante 2012 au Musée du Désert)
Devenu célèbre, l'enfant prodigue retourne à la « religion de ses pères » en 1754-1755, mais il entretient désormais des relations tendues avec les autorités genevoises qui condamneront aussi bien l'Emile que Du Contrat Social (1762) comme « téméraires, impies, tendant à détruire la religion chrétienne, et tous les gouvernements ».
Toute sa vie Rousseau professe une religion profondément personnelle. « Je suis chrétien, dira-t-il, non comme un disciple des prêtres, mais comme un disciple de Jésus-Christ ». Mal à l'aise à Paris avec les philosophes, il défend la providence contre les attaques de Voltaire, proscrit à Genève, il renonce à sa citoyenneté en 1763.
L'introduction de Bernard et Monique Cottret, spécialistes reconnus de Rousseau et des temps modernes, aide à clarifier la pensée religieuse de cet homme complexe et sensible.
Initialement écrite comme une allocution pour l'Assemblée du Désert 2012, elle plante le décor et permet de mieux comprendre l'influence durable de cet apôtre de la « religion civile ».
Rousseau est parmi nous, Jean-Jacques est l'un d'entre nous. Sa place reste marquée... Rousseau, c'est d'abord une écriture, un style, une voix [...] un refus de la conformité et plus encore du conformisme. "L'homme est né libre, et partout il est dans les fers" [...] Peut-on rêver formule plus propre à dénoncer l'aliénation des hommes en société ? (extrait de l'introduction de Bernard Cottret lors de l'Assemblée protestante 2012 au Musée du Désert)
Fils d'Isaac Rousseau, horloger genevois descendant de huguenots réfugiés au temps de la Réforme, Jean-Jacques Rousseau perd sa mère neuf jours après sa naissance et reçoit une éducation typiquement réformée, rythmée par la lecture de la Bible et le chant des psaumes. A 16 ans, il s'enfuit de chez lui pour échapper à sa condition d'apprenti et se convertit au catholicisme. Il rencontre à Annecy Mme de Warens qui parfait son éducation musicale et affective.
Devenu célèbre, l'enfant prodigue retourne à la « religion de ses pères » en 1754-1755, mais il entretient désormais des relations tendues avec les autorités genevoises qui condamneront aussi bien l'Emile que Du Contrat Social (1762) comme « téméraires, impies, tendant à détruire la religion chrétienne, et tous les gouvernements ».
Toute sa vie Rousseau professe une religion profondément personnelle. « Je suis chrétien, dira-t-il, non comme un disciple des prêtres, mais comme un disciple de Jésus-Christ ». Mal à l'aise à Paris avec les philosophes, il défend la providence contre les attaques de Voltaire, proscrit à Genève, il renonce à sa citoyenneté en 1763.
L'introduction de Bernard et Monique Cottret, spécialistes reconnus de Rousseau et des temps modernes, aide à clarifier la pensée religieuse de cet homme complexe et sensible.
Initialement écrite comme une allocution pour l'Assemblée du Désert 2012, elle plante le décor et permet de mieux comprendre l'influence durable de cet apôtre de la « religion civile ».
Rousseau est parmi nous, Jean-Jacques est l'un d'entre nous. Sa place reste marquée... Rousseau, c'est d'abord une écriture, un style, une voix [...] un refus de la conformité et plus encore du conformisme. "L'homme est né libre, et partout il est dans les fers" [...] Peut-on rêver formule plus propre à dénoncer l'aliénation des hommes en société ? (extrait de l'introduction de Bernard Cottret lors de l'Assemblée protestante 2012 au Musée du Désert)
Devenu célèbre, l'enfant prodigue retourne à la « religion de ses pères » en 1754-1755, mais il entretient désormais des relations tendues avec les autorités genevoises qui condamneront aussi bien l'Emile que Du Contrat Social (1762) comme « téméraires, impies, tendant à détruire la religion chrétienne, et tous les gouvernements ».
Toute sa vie Rousseau professe une religion profondément personnelle. « Je suis chrétien, dira-t-il, non comme un disciple des prêtres, mais comme un disciple de Jésus-Christ ». Mal à l'aise à Paris avec les philosophes, il défend la providence contre les attaques de Voltaire, proscrit à Genève, il renonce à sa citoyenneté en 1763.
L'introduction de Bernard et Monique Cottret, spécialistes reconnus de Rousseau et des temps modernes, aide à clarifier la pensée religieuse de cet homme complexe et sensible.
Initialement écrite comme une allocution pour l'Assemblée du Désert 2012, elle plante le décor et permet de mieux comprendre l'influence durable de cet apôtre de la « religion civile ».
Rousseau est parmi nous, Jean-Jacques est l'un d'entre nous. Sa place reste marquée... Rousseau, c'est d'abord une écriture, un style, une voix [...] un refus de la conformité et plus encore du conformisme. "L'homme est né libre, et partout il est dans les fers" [...] Peut-on rêver formule plus propre à dénoncer l'aliénation des hommes en société ? (extrait de l'introduction de Bernard Cottret lors de l'Assemblée protestante 2012 au Musée du Désert)