Ponteils-et-Brésis
Sous-titre :
sur la Regordane et la Cézarenque
ISBN :
9782952599283
Editeur :
Auteur :
Info :
464
pages -
Broché -
2014
-
Prix 23,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Comme les autres communes du canton de Génolhac, celle de Ponteils-et-Brésis est riche d'un passé que l'historienne a été amenée à découvrir grâce aux archives départementales et familiales. Située à l'extrême nord du département du Gard, entre Lozère et Ardèche, aux sources de la Cèze, la commune possède un vaste territoire qui englobe de magnifiques forêts sur les pentes du Mont Lozère.
Par sa situation au carrefour de deux voies très importantes au Moyen Âge, la Regordane et la Cézarenque, la commune de Ponteils a vécu une vie mouvementée, liée aux événements qui se déroulèrent entre Gévaudan, Vivarais et Cévennes : rivalités des seigneurs, guerre de Cent ans, guerres de religion, camisards, période révolutionnaire et seconde guerre mondiale.
Son église témoigne du temps où la Cézarenque appartenait aux deux seigneurs du Tournel et d'Anduze, donataires à de nombreux ordres religieux, dont celui de St-Chaffre-du-Monastier, dont Ponteils était l'unique création dans le diocèse d'Uzès. Ses cinq châteaux sont la marque de l'empreinte seigneuriale d'une vallée pourvoyeuse de redevances féodales juteuses. Montaigut, Bramefont, Brésis, Trouilhas et Chambonnet, des noms quasiment inconnus, jusqu'ici, du grand public.
Petite commune cévenole aux seize hameaux, elle vécut d'une agriculture de subsistance fondée sur le seigle, le vin et la châtaigne. La paroisse majoritairement catholique fut le lieu de placement favori des enfants abandonnés des hôpitaux de Nîmes, Alès et Montpellier, pendant quatre siècles, puis de la construction du premier Sanatorium du Gard.
Sa désertification commence dès le milieu du XIXe siècle, favorisée par le chemin de fer, pour atteindre son plus bas niveau en 1965. Tout le XIXe siècle n'est une longue lutte pour le désenclavement et contre le reboisement ; celui du XXe, contre la désertification et l'abandon par les pouvoirs publics. Commune de moyenne montagne, Ponteils-et-Brésis attire résidents secondaires et retraités grâce à son cadre naturel préservé et s'inscrit dans la charte du Parc national des Cévennes. Le nombre de ses habitants s'accroît depuis trois recensements, une exception parmi les communes du canton de Génolhac.
Par sa situation au carrefour de deux voies très importantes au Moyen Âge, la Regordane et la Cézarenque, la commune de Ponteils a vécu une vie mouvementée, liée aux événements qui se déroulèrent entre Gévaudan, Vivarais et Cévennes : rivalités des seigneurs, guerre de Cent ans, guerres de religion, camisards, période révolutionnaire et seconde guerre mondiale.
Son église témoigne du temps où la Cézarenque appartenait aux deux seigneurs du Tournel et d'Anduze, donataires à de nombreux ordres religieux, dont celui de St-Chaffre-du-Monastier, dont Ponteils était l'unique création dans le diocèse d'Uzès. Ses cinq châteaux sont la marque de l'empreinte seigneuriale d'une vallée pourvoyeuse de redevances féodales juteuses. Montaigut, Bramefont, Brésis, Trouilhas et Chambonnet, des noms quasiment inconnus, jusqu'ici, du grand public.
Petite commune cévenole aux seize hameaux, elle vécut d'une agriculture de subsistance fondée sur le seigle, le vin et la châtaigne. La paroisse majoritairement catholique fut le lieu de placement favori des enfants abandonnés des hôpitaux de Nîmes, Alès et Montpellier, pendant quatre siècles, puis de la construction du premier Sanatorium du Gard.
Sa désertification commence dès le milieu du XIXe siècle, favorisée par le chemin de fer, pour atteindre son plus bas niveau en 1965. Tout le XIXe siècle n'est une longue lutte pour le désenclavement et contre le reboisement ; celui du XXe, contre la désertification et l'abandon par les pouvoirs publics. Commune de moyenne montagne, Ponteils-et-Brésis attire résidents secondaires et retraités grâce à son cadre naturel préservé et s'inscrit dans la charte du Parc national des Cévennes. Le nombre de ses habitants s'accroît depuis trois recensements, une exception parmi les communes du canton de Génolhac.
Comme les autres communes du canton de Génolhac, celle de Ponteils-et-Brésis est riche d'un passé que l'historienne a été amenée à découvrir grâce aux archives départementales et familiales. Située à l'extrême nord du département du Gard, entre Lozère et Ardèche, aux sources de la Cèze, la commune possède un vaste territoire qui englobe de magnifiques forêts sur les pentes du Mont Lozère.
Par sa situation au carrefour de deux voies très importantes au Moyen Âge, la Regordane et la Cézarenque, la commune de Ponteils a vécu une vie mouvementée, liée aux événements qui se déroulèrent entre Gévaudan, Vivarais et Cévennes : rivalités des seigneurs, guerre de Cent ans, guerres de religion, camisards, période révolutionnaire et seconde guerre mondiale.
Son église témoigne du temps où la Cézarenque appartenait aux deux seigneurs du Tournel et d'Anduze, donataires à de nombreux ordres religieux, dont celui de St-Chaffre-du-Monastier, dont Ponteils était l'unique création dans le diocèse d'Uzès. Ses cinq châteaux sont la marque de l'empreinte seigneuriale d'une vallée pourvoyeuse de redevances féodales juteuses. Montaigut, Bramefont, Brésis, Trouilhas et Chambonnet, des noms quasiment inconnus, jusqu'ici, du grand public.
Petite commune cévenole aux seize hameaux, elle vécut d'une agriculture de subsistance fondée sur le seigle, le vin et la châtaigne. La paroisse majoritairement catholique fut le lieu de placement favori des enfants abandonnés des hôpitaux de Nîmes, Alès et Montpellier, pendant quatre siècles, puis de la construction du premier Sanatorium du Gard.
Sa désertification commence dès le milieu du XIXe siècle, favorisée par le chemin de fer, pour atteindre son plus bas niveau en 1965. Tout le XIXe siècle n'est une longue lutte pour le désenclavement et contre le reboisement ; celui du XXe, contre la désertification et l'abandon par les pouvoirs publics. Commune de moyenne montagne, Ponteils-et-Brésis attire résidents secondaires et retraités grâce à son cadre naturel préservé et s'inscrit dans la charte du Parc national des Cévennes. Le nombre de ses habitants s'accroît depuis trois recensements, une exception parmi les communes du canton de Génolhac.
Par sa situation au carrefour de deux voies très importantes au Moyen Âge, la Regordane et la Cézarenque, la commune de Ponteils a vécu une vie mouvementée, liée aux événements qui se déroulèrent entre Gévaudan, Vivarais et Cévennes : rivalités des seigneurs, guerre de Cent ans, guerres de religion, camisards, période révolutionnaire et seconde guerre mondiale.
Son église témoigne du temps où la Cézarenque appartenait aux deux seigneurs du Tournel et d'Anduze, donataires à de nombreux ordres religieux, dont celui de St-Chaffre-du-Monastier, dont Ponteils était l'unique création dans le diocèse d'Uzès. Ses cinq châteaux sont la marque de l'empreinte seigneuriale d'une vallée pourvoyeuse de redevances féodales juteuses. Montaigut, Bramefont, Brésis, Trouilhas et Chambonnet, des noms quasiment inconnus, jusqu'ici, du grand public.
Petite commune cévenole aux seize hameaux, elle vécut d'une agriculture de subsistance fondée sur le seigle, le vin et la châtaigne. La paroisse majoritairement catholique fut le lieu de placement favori des enfants abandonnés des hôpitaux de Nîmes, Alès et Montpellier, pendant quatre siècles, puis de la construction du premier Sanatorium du Gard.
Sa désertification commence dès le milieu du XIXe siècle, favorisée par le chemin de fer, pour atteindre son plus bas niveau en 1965. Tout le XIXe siècle n'est une longue lutte pour le désenclavement et contre le reboisement ; celui du XXe, contre la désertification et l'abandon par les pouvoirs publics. Commune de moyenne montagne, Ponteils-et-Brésis attire résidents secondaires et retraités grâce à son cadre naturel préservé et s'inscrit dans la charte du Parc national des Cévennes. Le nombre de ses habitants s'accroît depuis trois recensements, une exception parmi les communes du canton de Génolhac.