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Les protestants et la création artistique et littéraire

image Les protestants et la création artistique et littéraire




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Sous-titre :
Des réformateurs aux romantiques
ISBN :
9782848320793
Editeur :
Auteur :
Alain JOBLIN (textes reunis par), Jacques SYS (textes reunis par)
Info :
164 pages - Broché - - Prix 19,00 € Livraison reduite
Thèmes :
4e de couverture :
L'objet du colloque organisé les 21 et 22 octobre 2004 à l'Université d'Artois, dont les actes sont ici présentés, fut de saisir la légitimité de toute forme de création dans le monde protestant. Créer de nouvelles formes en matière artistique, produire de nouveaux sons et de nouvelles harmonies, imaginer de la fiction littéraire, n'était-ce pas sacrilège et démarche blasphématoire aux yeux de protestants qui se référaient à l'interdit du Décalogue : « Tu ne feras pas de statue... » (Ex, 20-4) ? Les protestants surent contourner cet interdit et développèrent une création artistique et littéraire multiforme tant dans le domaine de la poésie, du théâtre et des lettres que dans celui de la musique. Musique sacrée bien sûr avec Johann Sebastian Bach et la création hymnologique, mais aussi musique des Romantiques allemands du XIXe siècle. L'interdit divin, les artistes protestants le contournèrent également dans le domaine de la création picturale. L'exercice fut ici plus délicat, les protestants ayant montré à maintes reprises leur rejet de ce genre artistique par de violentes manifestations iconoclastes. Eugène Devéria au XIXe siècle et les auteurs de « Vanités » protestantes du XVIIe siècle apportèrent la preuve qu'on pouvait conjuguer Réforme et peinture mais toujours en s'interrogeant sur la légitimité de cette création. Interrogation qu'on retrouve d'ailleurs dès le début du XVIe siècle dans la pensée des premiers grands Réformateurs. En définitive, les participants au colloque des 21 et 22 octobre 2004 de l'Université d'Artois montrèrent que le protestantisme n'était sans doute peut-être pas « une théologie vidée d'esthétique ».

sommaire :

  • L'iconoclasme des Réformateurs comme modèle de nouvelles formes esthétiques
  • La conception puritaine de la Beauté dans l'Angleterre élisabéthaine
  • Le théâtre protestant au 16e siècle : une "mommerie" nécessaire
  • Les Vanités : une peinture protestante au 17e siècle ?
  • Eugène Devéria, protestant romantique ?
  • La communauté réformée parisienne au 17e siècle et ses écrivains
  • La création poétique chez les Réformés ou la poésie de la Création
  • Réforme et légitimité de la création hymnologique
  • La musique de Johann Sebastian Bach comme source de prédication luthérienne
  • Musique et spiritualité dans l'Allemagne romantique
L'objet du colloque organisé les 21 et 22 octobre 2004 à l'Université d'Artois, dont les actes sont ici présentés, fut de saisir la légitimité de toute forme de création dans le monde protestant. Créer de nouvelles formes en matière artistique, produire de nouveaux sons et de nouvelles harmonies, imaginer de la fiction littéraire, n'était-ce pas sacrilège et démarche blasphématoire aux yeux de protestants qui se référaient à l'interdit du Décalogue : « Tu ne feras pas de statue... » (Ex, 20-4) ? Les protestants surent contourner cet interdit et développèrent une création artistique et littéraire multiforme tant dans le domaine de la poésie, du théâtre et des lettres que dans celui de la musique. Musique sacrée bien sûr avec Johann Sebastian Bach et la création hymnologique, mais aussi musique des Romantiques allemands du XIXe siècle. L'interdit divin, les artistes protestants le contournèrent également dans le domaine de la création picturale. L'exercice fut ici plus délicat, les protestants ayant montré à maintes reprises leur rejet de ce genre artistique par de violentes manifestations iconoclastes. Eugène Devéria au XIXe siècle et les auteurs de « Vanités » protestantes du XVIIe siècle apportèrent la preuve qu'on pouvait conjuguer Réforme et peinture mais toujours en s'interrogeant sur la légitimité de cette création. Interrogation qu'on retrouve d'ailleurs dès le début du XVIe siècle dans la pensée des premiers grands Réformateurs. En définitive, les participants au colloque des 21 et 22 octobre 2004 de l'Université d'Artois montrèrent que le protestantisme n'était sans doute peut-être pas « une théologie vidée d'esthétique ».

sommaire :

  • L'iconoclasme des Réformateurs comme modèle de nouvelles formes esthétiques
  • La conception puritaine de la Beauté dans l'Angleterre élisabéthaine
  • Le théâtre protestant au 16e siècle : une "mommerie" nécessaire
  • Les Vanités : une peinture protestante au 17e siècle ?
  • Eugène Devéria, protestant romantique ?
  • La communauté réformée parisienne au 17e siècle et ses écrivains
  • La création poétique chez les Réformés ou la poésie de la Création
  • Réforme et légitimité de la création hymnologique
  • La musique de Johann Sebastian Bach comme source de prédication luthérienne
  • Musique et spiritualité dans l'Allemagne romantique

Les protestants et la création artistique et littéraire - Des réformateurs aux romantiques - par Alain JOBLIN, Jacques SYS - Editeur ARTOIS PRESSES UNIVERSITE



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