Les premières communautés chrétiennes
Sous-titre :
Traditions et tendances dans le christianisme des origines
ISBN :
9782204065214
Editeur :
Auteur :
Info :
384
pages -
Broché -
2001
-
Prix 47,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Ce livre, le dernier de Vittorio Fusco (emporté par un cancer, en 1999), présente une magistrale synthèse sur les différentes traditions (orales) dont s'enrichit le christianisme des origines.
« Ces traditions, il importe de les considérer pour elles-mêmes [...] si l'on veut rejoindre, en amont, l'événement ou bien, en aval, l'écrit. La tradition orale ne s'arrête pas brutalement avec l'apparition des écrits et, dans le principe, son examen doit déborder les limites du canon. L'auteur en tient compte, en particulier dans sa longue introduction. Il fait pourtant porter son intérêt majeur sur les communautés des origines et sur leurs productions. Il examine d'abord la tradition kérygmatique que rendent accessible les fameuses formules de foi et de prière [...]. Le deuxième chapitre de l'ouvrage porte sur les traditions relatives au Jésus prépascal. Elles sont conservées, pour une part à vrai dire mineure, dans les sources extracanoniques dans lesquelles l'Evangile de Thomas tient une place spéciale. La mine la plus riche est incontestablement la source Q ; Fusco présente de belle façon la problématique littéraire et théologique de ce document postulé [...]. Dans le troisième chapitre, l'auteur [...] se préoccupe davantage des aspects historiques et sociologiques. Plus précisément, il se soucie de saisir dans leurs traits marquants les divers groupes avec leurs tendances et leurs tensions : l'Eglisemère des "saints" à Jérusalem, les hellénistes et l'impulsion missionnaire qui leur est due, la communauté d'Antioche, les communautés pauliniennes et la contestation menée par les judéo-chrétiens du message et de la pratique de Paul. »
Vittorio Fusco a enseigné le Nouveau Testament pendant près de quinze ans, avant d'être nommé évêque, en 1995. Auteur de nombreuses publications, il a notamment participé à plusieurs volumes collectifs de la collection « Lectio divina » : Les Paraboles (135), Le Temps de la lecture (155) et Ouvrir les Écritures (162).
« Ces traditions, il importe de les considérer pour elles-mêmes [...] si l'on veut rejoindre, en amont, l'événement ou bien, en aval, l'écrit. La tradition orale ne s'arrête pas brutalement avec l'apparition des écrits et, dans le principe, son examen doit déborder les limites du canon. L'auteur en tient compte, en particulier dans sa longue introduction. Il fait pourtant porter son intérêt majeur sur les communautés des origines et sur leurs productions. Il examine d'abord la tradition kérygmatique que rendent accessible les fameuses formules de foi et de prière [...]. Le deuxième chapitre de l'ouvrage porte sur les traditions relatives au Jésus prépascal. Elles sont conservées, pour une part à vrai dire mineure, dans les sources extracanoniques dans lesquelles l'Evangile de Thomas tient une place spéciale. La mine la plus riche est incontestablement la source Q ; Fusco présente de belle façon la problématique littéraire et théologique de ce document postulé [...]. Dans le troisième chapitre, l'auteur [...] se préoccupe davantage des aspects historiques et sociologiques. Plus précisément, il se soucie de saisir dans leurs traits marquants les divers groupes avec leurs tendances et leurs tensions : l'Eglisemère des "saints" à Jérusalem, les hellénistes et l'impulsion missionnaire qui leur est due, la communauté d'Antioche, les communautés pauliniennes et la contestation menée par les judéo-chrétiens du message et de la pratique de Paul. »
Vittorio Fusco a enseigné le Nouveau Testament pendant près de quinze ans, avant d'être nommé évêque, en 1995. Auteur de nombreuses publications, il a notamment participé à plusieurs volumes collectifs de la collection « Lectio divina » : Les Paraboles (135), Le Temps de la lecture (155) et Ouvrir les Écritures (162).
Ce livre, le dernier de Vittorio Fusco (emporté par un cancer, en 1999), présente une magistrale synthèse sur les différentes traditions (orales) dont s'enrichit le christianisme des origines.
« Ces traditions, il importe de les considérer pour elles-mêmes [...] si l'on veut rejoindre, en amont, l'événement ou bien, en aval, l'écrit. La tradition orale ne s'arrête pas brutalement avec l'apparition des écrits et, dans le principe, son examen doit déborder les limites du canon. L'auteur en tient compte, en particulier dans sa longue introduction. Il fait pourtant porter son intérêt majeur sur les communautés des origines et sur leurs productions. Il examine d'abord la tradition kérygmatique que rendent accessible les fameuses formules de foi et de prière [...]. Le deuxième chapitre de l'ouvrage porte sur les traditions relatives au Jésus prépascal. Elles sont conservées, pour une part à vrai dire mineure, dans les sources extracanoniques dans lesquelles l'Evangile de Thomas tient une place spéciale. La mine la plus riche est incontestablement la source Q ; Fusco présente de belle façon la problématique littéraire et théologique de ce document postulé [...]. Dans le troisième chapitre, l'auteur [...] se préoccupe davantage des aspects historiques et sociologiques. Plus précisément, il se soucie de saisir dans leurs traits marquants les divers groupes avec leurs tendances et leurs tensions : l'Eglisemère des "saints" à Jérusalem, les hellénistes et l'impulsion missionnaire qui leur est due, la communauté d'Antioche, les communautés pauliniennes et la contestation menée par les judéo-chrétiens du message et de la pratique de Paul. »
Vittorio Fusco a enseigné le Nouveau Testament pendant près de quinze ans, avant d'être nommé évêque, en 1995. Auteur de nombreuses publications, il a notamment participé à plusieurs volumes collectifs de la collection « Lectio divina » : Les Paraboles (135), Le Temps de la lecture (155) et Ouvrir les Écritures (162).
« Ces traditions, il importe de les considérer pour elles-mêmes [...] si l'on veut rejoindre, en amont, l'événement ou bien, en aval, l'écrit. La tradition orale ne s'arrête pas brutalement avec l'apparition des écrits et, dans le principe, son examen doit déborder les limites du canon. L'auteur en tient compte, en particulier dans sa longue introduction. Il fait pourtant porter son intérêt majeur sur les communautés des origines et sur leurs productions. Il examine d'abord la tradition kérygmatique que rendent accessible les fameuses formules de foi et de prière [...]. Le deuxième chapitre de l'ouvrage porte sur les traditions relatives au Jésus prépascal. Elles sont conservées, pour une part à vrai dire mineure, dans les sources extracanoniques dans lesquelles l'Evangile de Thomas tient une place spéciale. La mine la plus riche est incontestablement la source Q ; Fusco présente de belle façon la problématique littéraire et théologique de ce document postulé [...]. Dans le troisième chapitre, l'auteur [...] se préoccupe davantage des aspects historiques et sociologiques. Plus précisément, il se soucie de saisir dans leurs traits marquants les divers groupes avec leurs tendances et leurs tensions : l'Eglisemère des "saints" à Jérusalem, les hellénistes et l'impulsion missionnaire qui leur est due, la communauté d'Antioche, les communautés pauliniennes et la contestation menée par les judéo-chrétiens du message et de la pratique de Paul. »
Vittorio Fusco a enseigné le Nouveau Testament pendant près de quinze ans, avant d'être nommé évêque, en 1995. Auteur de nombreuses publications, il a notamment participé à plusieurs volumes collectifs de la collection « Lectio divina » : Les Paraboles (135), Le Temps de la lecture (155) et Ouvrir les Écritures (162).