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« Histoire de la Mission Timothée »

Mondialisation, le déclin de l'Occident

image Mondialisation, le déclin de l'Occident

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ISBN :
9782846211659
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
62 pages - Broché - - Prix 8,00 € Livraison reduite
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Les grands bouleversements ayant marqué l'histoire de l'humanité ont rarement été perçus par ceux qui les ont vécus. Ce constat a poussé l'auteur à se pencher sur le phénomène de la mondialisation, porteur, à ses yeux, de la fin inéluctable de la civilisation occidentale. L'Occident ne regroupe que le dixième de la population du globe ; or la mondialisation qui se résume à une guerre économique impitoyable entre quatre ou cinq groupes de nations, loin d'être un remède, est l'opportunité pour le reste d'un monde qui aspire à la prospérité, de prendre sa revanche. Bouleversement dont les premières victimes seront les Occidentaux, nouveaux aristocrates menés à la lanterne.
En fait, cette « Révolution » appelée par une civilisation en déclin, a, par aveuglement idéologique, anéanti chez nous ce qui semblait éternel ainsi que les outils dont nous disposions pour agir sur le monde.
Qu'il s'agisse de la vie démocratique désormais déconnectée de la réalité mondiale uniformisée, des grèves devenues inopérantes face aux délocalisations, des batailles impossibles contre un système mondial qui s'est affranchi des pouvoirs des gouvernements, des revendications pour plus de justice et le respect des identités auprès d'institutions et d'oligarchies qui ne les entendent pas, partout le même sentiment d'impuissance prévaut.
D'où la résignation des peuples, grands perdants de cette mondialisation, qui ne se manifestent plus que par des indignations stériles ou par la montée d'intégrismes religieux et communautaristes en quête d'un mode de vie disparu et idéalisé.
Rien pourtant n'est joué, l'Histoire procédant toujours par ruptures ; qui peut dire quels séismes nous attendent ? Mais, pour leur faire face, encore faut-il se débarrasser de nos vieilles habitudes de pensée, et soigner notre inertie intellectuelle afin de ne pas rester les spectateurs passifs de notre mise à mort.

Élie Arié, cardiologue et enseignant en Économie de la santé au Conservatoire national des Arts et Métiers, a milité pendant près de 40 ans au parti socialiste, puis au Mouvement Républicain et Citoyen dont il fit partie du Secrétariat National ; il est aujourd'hui membre du Conseil scientifique de la fondation Res Publica, le « think tank » de Jean-Pierre Chevènement.
Les grands bouleversements ayant marqué l'histoire de l'humanité ont rarement été perçus par ceux qui les ont vécus. Ce constat a poussé l'auteur à se pencher sur le phénomène de la mondialisation, porteur, à ses yeux, de la fin inéluctable de la civilisation occidentale. L'Occident ne regroupe que le dixième de la population du globe ; or la mondialisation qui se résume à une guerre économique impitoyable entre quatre ou cinq groupes de nations, loin d'être un remède, est l'opportunité pour le reste d'un monde qui aspire à la prospérité, de prendre sa revanche. Bouleversement dont les premières victimes seront les Occidentaux, nouveaux aristocrates menés à la lanterne.
En fait, cette « Révolution » appelée par une civilisation en déclin, a, par aveuglement idéologique, anéanti chez nous ce qui semblait éternel ainsi que les outils dont nous disposions pour agir sur le monde.
Qu'il s'agisse de la vie démocratique désormais déconnectée de la réalité mondiale uniformisée, des grèves devenues inopérantes face aux délocalisations, des batailles impossibles contre un système mondial qui s'est affranchi des pouvoirs des gouvernements, des revendications pour plus de justice et le respect des identités auprès d'institutions et d'oligarchies qui ne les entendent pas, partout le même sentiment d'impuissance prévaut.
D'où la résignation des peuples, grands perdants de cette mondialisation, qui ne se manifestent plus que par des indignations stériles ou par la montée d'intégrismes religieux et communautaristes en quête d'un mode de vie disparu et idéalisé.
Rien pourtant n'est joué, l'Histoire procédant toujours par ruptures ; qui peut dire quels séismes nous attendent ? Mais, pour leur faire face, encore faut-il se débarrasser de nos vieilles habitudes de pensée, et soigner notre inertie intellectuelle afin de ne pas rester les spectateurs passifs de notre mise à mort.

Élie Arié, cardiologue et enseignant en Économie de la santé au Conservatoire national des Arts et Métiers, a milité pendant près de 40 ans au parti socialiste, puis au Mouvement Républicain et Citoyen dont il fit partie du Secrétariat National ; il est aujourd'hui membre du Conseil scientifique de la fondation Res Publica, le « think tank » de Jean-Pierre Chevènement.

Mondialisation, le déclin de l'Occident - par Jean-Pierre CHEVÈNEMENT, Élie ARIÉ - Editeur Editions DE PARIS



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