Mémoires
Sous-titre :
Henri de Rohan
ISBN :
5800041191485
Editeur :
Auteur :
Info :
378
pages -
Broché -
2010
-
Prix 23,00 €

Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Duc et pair de France, cousin et ami du roi Henri IV, gendre de Sully, Henry de Rohan est promis à une brillante carrière militaire. Mais l'assassinat de Henri IV en fait, presque malgré lui, le chef du parti protestant et l'adversaire principal du cardinal de Richelieu. Malgré sa vaillance et celle de son frère, le duc de Soubise, les soulèvements protestants de 1621 à 1625 se solderont par la prise de La Rochelle et la défaite militaire des protestants qui devront accepter en 1629 la paix d'Ales qui revient sur les acquis de l'Édit de Nantes.
Ces mémoires, rédigées en exil à Venise, relatent les opérations militaires des protestants, les tentatives de Rohan pour obtenir le soutien de l'Angleterre, le siège de La Rochelle, la guerre dans le Languedoc et donnent un éclairage engagé sur les intrigues et les divisions du parti protestant. Malgré sa préface qui annonce : « Je les laisse à la postérité, afin qu'après ma mort la vérité des choses que j'ai veues ne demeure obscurcie par les fables et les flatteurs, et par les invectives des persécuteurs ; je n'y apporte déguisement ny passion, et laisse à chacun la liberté d'en juger à sa fantaisie. » ces mémoires sont une entreprise de justification post-facto mais la franchise et l'assurance de leur auteur qui fut partie prenante et informée de tous les événements importants du Royaume en font un témoignage précieux sur le règne de Louis XIII.
Ces mémoires, rédigées en exil à Venise, relatent les opérations militaires des protestants, les tentatives de Rohan pour obtenir le soutien de l'Angleterre, le siège de La Rochelle, la guerre dans le Languedoc et donnent un éclairage engagé sur les intrigues et les divisions du parti protestant. Malgré sa préface qui annonce : « Je les laisse à la postérité, afin qu'après ma mort la vérité des choses que j'ai veues ne demeure obscurcie par les fables et les flatteurs, et par les invectives des persécuteurs ; je n'y apporte déguisement ny passion, et laisse à chacun la liberté d'en juger à sa fantaisie. » ces mémoires sont une entreprise de justification post-facto mais la franchise et l'assurance de leur auteur qui fut partie prenante et informée de tous les événements importants du Royaume en font un témoignage précieux sur le règne de Louis XIII.
Duc et pair de France, cousin et ami du roi Henri IV, gendre de Sully, Henry de Rohan est promis à une brillante carrière militaire. Mais l'assassinat de Henri IV en fait, presque malgré lui, le chef du parti protestant et l'adversaire principal du cardinal de Richelieu. Malgré sa vaillance et celle de son frère, le duc de Soubise, les soulèvements protestants de 1621 à 1625 se solderont par la prise de La Rochelle et la défaite militaire des protestants qui devront accepter en 1629 la paix d'Ales qui revient sur les acquis de l'Édit de Nantes.
Ces mémoires, rédigées en exil à Venise, relatent les opérations militaires des protestants, les tentatives de Rohan pour obtenir le soutien de l'Angleterre, le siège de La Rochelle, la guerre dans le Languedoc et donnent un éclairage engagé sur les intrigues et les divisions du parti protestant. Malgré sa préface qui annonce : « Je les laisse à la postérité, afin qu'après ma mort la vérité des choses que j'ai veues ne demeure obscurcie par les fables et les flatteurs, et par les invectives des persécuteurs ; je n'y apporte déguisement ny passion, et laisse à chacun la liberté d'en juger à sa fantaisie. » ces mémoires sont une entreprise de justification post-facto mais la franchise et l'assurance de leur auteur qui fut partie prenante et informée de tous les événements importants du Royaume en font un témoignage précieux sur le règne de Louis XIII.
Ces mémoires, rédigées en exil à Venise, relatent les opérations militaires des protestants, les tentatives de Rohan pour obtenir le soutien de l'Angleterre, le siège de La Rochelle, la guerre dans le Languedoc et donnent un éclairage engagé sur les intrigues et les divisions du parti protestant. Malgré sa préface qui annonce : « Je les laisse à la postérité, afin qu'après ma mort la vérité des choses que j'ai veues ne demeure obscurcie par les fables et les flatteurs, et par les invectives des persécuteurs ; je n'y apporte déguisement ny passion, et laisse à chacun la liberté d'en juger à sa fantaisie. » ces mémoires sont une entreprise de justification post-facto mais la franchise et l'assurance de leur auteur qui fut partie prenante et informée de tous les événements importants du Royaume en font un témoignage précieux sur le règne de Louis XIII.
Avis :
- Qui aujourd'hui veut lire un ouvrage de 350 pages ? Au mieux quelques érudits ou quelques étudiants contraints par les syllabus. Surtout que le tour de force se transforme en exploit quand le lecteur, livre en main, prend conscience que cet ouvrage a été écrit il y a plus de trois siècles. Mais celui qui voudra bien passer l'obstacle difficile des premières pages découvrira sous ses yeux un trésor dont l'auteur n'est autre qu'un prince de France.
- Rohan, grand témoin du XVIIème siècle, ouvre pour nous les portes secrètes des conciliabules protestants, des luttes intestines, des coups bas, des défections au sein même des synodes, des conseils. Ce général brillant n'en était pas moins excellent écrivain et c'est un plaisir que de découvrir, sous sa plume, un visage souvent ignoré de cette confession minoritaire qu'est le protestantisme français. Les protestants, eux-mêmes, connaissent-ils ce siècle si dramatique qui vit l'Édit de Nantes disparaître sous le regard impuissant de ce grand prince ?
- Mine d'informations, de détails pittoresques et de rebondissements, ces Mémoires méritent plus qu'un regard de dédain en entrant dans une librairie. Ouvrage unique par sa réédition, il nous révèle un grand homme tiraillé entre trois allégeances : sa race, son roi et sa foi.
- Rohan, grand témoin du XVIIème siècle, ouvre pour nous les portes secrètes des conciliabules protestants, des luttes intestines, des coups bas, des défections au sein même des synodes, des conseils. Ce général brillant n'en était pas moins excellent écrivain et c'est un plaisir que de découvrir, sous sa plume, un visage souvent ignoré de cette confession minoritaire qu'est le protestantisme français. Les protestants, eux-mêmes, connaissent-ils ce siècle si dramatique qui vit l'Édit de Nantes disparaître sous le regard impuissant de ce grand prince ?
- Mine d'informations, de détails pittoresques et de rebondissements, ces Mémoires méritent plus qu'un regard de dédain en entrant dans une librairie. Ouvrage unique par sa réédition, il nous révèle un grand homme tiraillé entre trois allégeances : sa race, son roi et sa foi.
- Qui aujourd'hui veut lire un ouvrage de 350 pages ? Au mieux quelques érudits ou quelques étudiants contraints par les syllabus. Surtout que le tour de force se transforme en exploit quand le lecteur, livre en main, prend conscience que cet ouvrage a été écrit il y a plus de trois siècles. Mais celui qui voudra bien passer l'obstacle difficile des premières pages découvrira sous ses yeux un trésor dont l'auteur n'est autre qu'un prince de France.
- Rohan, grand témoin du XVIIème siècle, ouvre pour nous les portes secrètes des conciliabules protestants, des luttes intestines, des coups bas, des défections au sein même des synodes, des conseils. Ce général brillant n'en était pas moins excellent écrivain et c'est un plaisir que de découvrir, sous sa plume, un visage souvent ignoré de cette confession minoritaire qu'est le protestantisme français. Les protestants, eux-mêmes, connaissent-ils ce siècle si dramatique qui vit l'Édit de Nantes disparaître sous le regard impuissant de ce grand prince ?
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- Rohan, grand témoin du XVIIème siècle, ouvre pour nous les portes secrètes des conciliabules protestants, des luttes intestines, des coups bas, des défections au sein même des synodes, des conseils. Ce général brillant n'en était pas moins excellent écrivain et c'est un plaisir que de découvrir, sous sa plume, un visage souvent ignoré de cette confession minoritaire qu'est le protestantisme français. Les protestants, eux-mêmes, connaissent-ils ce siècle si dramatique qui vit l'Édit de Nantes disparaître sous le regard impuissant de ce grand prince ?
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