Madame de Staël
ISBN :
9782262028114
Editeur :
Auteur :
Info :
585
pages -
Broché -
2008
-
Prix 26,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
« J'ai les peines de tous les partis, le regret de tous les sentiments, avoue Mme de Staël, et l'œuvre de ma destinée me lasse comme un travail et me tourmente comme une passion. »
À travers cette biographie de tout premier plan - qui fait le point des nombreuses études déjà publiées -, Mme de Staël reprend vie dans le pittoresque de son existence cahotée, passant de la république du cœur à la monarchie des idées et faisant de son château de Coppet, outre un arsenal dirigé contre Napoléon, un véritable Elysée où, dans le silence de l'abjection que dénonce Chateaubriand, elle incarne la conscience de l'Europe asservie. Ce sont ses paradoxes, ses mots lapidaires, ses tirades passionnées que l'on croit entendre, et aussi les plaintes d'un cœur trop sensible perpétuellement blessé, les confidences d'une femme victime de sa supériorité et qui soupire : « Je suis une personne avec laquelle et sans laquelle on ne peut vivre... ».
Par la hardiesse de sa pensée, par son esprit d'indépendance, qui font d'elle un précurseur du mouvement féministe, Mme de Staël, à deux siècles de distance, semble étonnamment moderne et son génie singulier plus brillant encore qu'il ne paraissait à ses contemporains.
Ghislain de Diesbach a connu de grands succès avec ses biographies de Marthe, princesse Bibesco, Proust, Chateaubriand, Ferdinand de Lesseps et plus récemment La Comtesse de Ségur et L'Abbé Mugnier.
À travers cette biographie de tout premier plan - qui fait le point des nombreuses études déjà publiées -, Mme de Staël reprend vie dans le pittoresque de son existence cahotée, passant de la république du cœur à la monarchie des idées et faisant de son château de Coppet, outre un arsenal dirigé contre Napoléon, un véritable Elysée où, dans le silence de l'abjection que dénonce Chateaubriand, elle incarne la conscience de l'Europe asservie. Ce sont ses paradoxes, ses mots lapidaires, ses tirades passionnées que l'on croit entendre, et aussi les plaintes d'un cœur trop sensible perpétuellement blessé, les confidences d'une femme victime de sa supériorité et qui soupire : « Je suis une personne avec laquelle et sans laquelle on ne peut vivre... ».
Par la hardiesse de sa pensée, par son esprit d'indépendance, qui font d'elle un précurseur du mouvement féministe, Mme de Staël, à deux siècles de distance, semble étonnamment moderne et son génie singulier plus brillant encore qu'il ne paraissait à ses contemporains.
Ghislain de Diesbach a connu de grands succès avec ses biographies de Marthe, princesse Bibesco, Proust, Chateaubriand, Ferdinand de Lesseps et plus récemment La Comtesse de Ségur et L'Abbé Mugnier.
« J'ai les peines de tous les partis, le regret de tous les sentiments, avoue Mme de Staël, et l'œuvre de ma destinée me lasse comme un travail et me tourmente comme une passion. »
À travers cette biographie de tout premier plan - qui fait le point des nombreuses études déjà publiées -, Mme de Staël reprend vie dans le pittoresque de son existence cahotée, passant de la république du cœur à la monarchie des idées et faisant de son château de Coppet, outre un arsenal dirigé contre Napoléon, un véritable Elysée où, dans le silence de l'abjection que dénonce Chateaubriand, elle incarne la conscience de l'Europe asservie. Ce sont ses paradoxes, ses mots lapidaires, ses tirades passionnées que l'on croit entendre, et aussi les plaintes d'un cœur trop sensible perpétuellement blessé, les confidences d'une femme victime de sa supériorité et qui soupire : « Je suis une personne avec laquelle et sans laquelle on ne peut vivre... ».
Par la hardiesse de sa pensée, par son esprit d'indépendance, qui font d'elle un précurseur du mouvement féministe, Mme de Staël, à deux siècles de distance, semble étonnamment moderne et son génie singulier plus brillant encore qu'il ne paraissait à ses contemporains.
Ghislain de Diesbach a connu de grands succès avec ses biographies de Marthe, princesse Bibesco, Proust, Chateaubriand, Ferdinand de Lesseps et plus récemment La Comtesse de Ségur et L'Abbé Mugnier.
À travers cette biographie de tout premier plan - qui fait le point des nombreuses études déjà publiées -, Mme de Staël reprend vie dans le pittoresque de son existence cahotée, passant de la république du cœur à la monarchie des idées et faisant de son château de Coppet, outre un arsenal dirigé contre Napoléon, un véritable Elysée où, dans le silence de l'abjection que dénonce Chateaubriand, elle incarne la conscience de l'Europe asservie. Ce sont ses paradoxes, ses mots lapidaires, ses tirades passionnées que l'on croit entendre, et aussi les plaintes d'un cœur trop sensible perpétuellement blessé, les confidences d'une femme victime de sa supériorité et qui soupire : « Je suis une personne avec laquelle et sans laquelle on ne peut vivre... ».
Par la hardiesse de sa pensée, par son esprit d'indépendance, qui font d'elle un précurseur du mouvement féministe, Mme de Staël, à deux siècles de distance, semble étonnamment moderne et son génie singulier plus brillant encore qu'il ne paraissait à ses contemporains.
Ghislain de Diesbach a connu de grands succès avec ses biographies de Marthe, princesse Bibesco, Proust, Chateaubriand, Ferdinand de Lesseps et plus récemment La Comtesse de Ségur et L'Abbé Mugnier.