Mercenaires français de la Voc
Sous-titre :
La route des Indes hollandaises au XVIIe siècle
ISBN :
9782906462977
Editeur :
Auteur :
Info :
290
pages -
Broché -
2003
-
Prix 14,95 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Le Voyage des Grandes Indes orientales d'un Parisien anonyme - identifié par Dirk Van der Cruysse comme Jean Guidon de Chambelle - est un manuscrit français inédit et haut en couleurs.
Cette relation raconte avec franchise les joies et les souffrances de ce Parisien, du temps de Richelieu et de Mazarin, qui mit son épée au service de la Compagnie hollandaise des Indes orientales (VOC) pendant les preÂmières décennies héroïques de son existence. Vivant les privations d'une longue traversée, parcourant l'Asie de la mer Rouge au Japon, ou stationné à Batavia et Malacca, il nous fait participer comme si nous y étions à ses aventures exotiques et à sa découverte d'une humanité qui tantôt le charme et tantôt l'effare. Sa description sans états d'âme de la cruauté judiciaire appliquée par la VOC et de l'implacable discipline qui règne à bord des vaisseaux et dans les garnisons de la Compagnie, nous introduit dans ce monde étrange et lointain qu'est l'Asie hollandaise de cette époque, à la fois jardin des délices et jardin des supplices.
En annexe est jointe la Relation d'un voyage aux Indes orientales par un gentilhomme français, imprimée en 1645. Ce document rarissime et entièrement perdu de vue, narre également les aventures d'un mercenaire français au service de la VOC, et complète la vision que nous offre Guidon de Chambelle.
Cette relation raconte avec franchise les joies et les souffrances de ce Parisien, du temps de Richelieu et de Mazarin, qui mit son épée au service de la Compagnie hollandaise des Indes orientales (VOC) pendant les preÂmières décennies héroïques de son existence. Vivant les privations d'une longue traversée, parcourant l'Asie de la mer Rouge au Japon, ou stationné à Batavia et Malacca, il nous fait participer comme si nous y étions à ses aventures exotiques et à sa découverte d'une humanité qui tantôt le charme et tantôt l'effare. Sa description sans états d'âme de la cruauté judiciaire appliquée par la VOC et de l'implacable discipline qui règne à bord des vaisseaux et dans les garnisons de la Compagnie, nous introduit dans ce monde étrange et lointain qu'est l'Asie hollandaise de cette époque, à la fois jardin des délices et jardin des supplices.
En annexe est jointe la Relation d'un voyage aux Indes orientales par un gentilhomme français, imprimée en 1645. Ce document rarissime et entièrement perdu de vue, narre également les aventures d'un mercenaire français au service de la VOC, et complète la vision que nous offre Guidon de Chambelle.
Le Voyage des Grandes Indes orientales d'un Parisien anonyme - identifié par Dirk Van der Cruysse comme Jean Guidon de Chambelle - est un manuscrit français inédit et haut en couleurs.
Cette relation raconte avec franchise les joies et les souffrances de ce Parisien, du temps de Richelieu et de Mazarin, qui mit son épée au service de la Compagnie hollandaise des Indes orientales (VOC) pendant les preÂmières décennies héroïques de son existence. Vivant les privations d'une longue traversée, parcourant l'Asie de la mer Rouge au Japon, ou stationné à Batavia et Malacca, il nous fait participer comme si nous y étions à ses aventures exotiques et à sa découverte d'une humanité qui tantôt le charme et tantôt l'effare. Sa description sans états d'âme de la cruauté judiciaire appliquée par la VOC et de l'implacable discipline qui règne à bord des vaisseaux et dans les garnisons de la Compagnie, nous introduit dans ce monde étrange et lointain qu'est l'Asie hollandaise de cette époque, à la fois jardin des délices et jardin des supplices.
En annexe est jointe la Relation d'un voyage aux Indes orientales par un gentilhomme français, imprimée en 1645. Ce document rarissime et entièrement perdu de vue, narre également les aventures d'un mercenaire français au service de la VOC, et complète la vision que nous offre Guidon de Chambelle.
Cette relation raconte avec franchise les joies et les souffrances de ce Parisien, du temps de Richelieu et de Mazarin, qui mit son épée au service de la Compagnie hollandaise des Indes orientales (VOC) pendant les preÂmières décennies héroïques de son existence. Vivant les privations d'une longue traversée, parcourant l'Asie de la mer Rouge au Japon, ou stationné à Batavia et Malacca, il nous fait participer comme si nous y étions à ses aventures exotiques et à sa découverte d'une humanité qui tantôt le charme et tantôt l'effare. Sa description sans états d'âme de la cruauté judiciaire appliquée par la VOC et de l'implacable discipline qui règne à bord des vaisseaux et dans les garnisons de la Compagnie, nous introduit dans ce monde étrange et lointain qu'est l'Asie hollandaise de cette époque, à la fois jardin des délices et jardin des supplices.
En annexe est jointe la Relation d'un voyage aux Indes orientales par un gentilhomme français, imprimée en 1645. Ce document rarissime et entièrement perdu de vue, narre également les aventures d'un mercenaire français au service de la VOC, et complète la vision que nous offre Guidon de Chambelle.