Lussan : entre ciel et garrigue
Sous-titre :
Des origines au début du XXe siècle
ISBN :
9782952039659
Editeur :
Auteur :
Info :
223
pages -
Broché -
2012
-
Prix 17,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Lussan, village paisible sommeillant à l'écart des grands ensembles urbains, sur fond de garrigue ensoleillée et de ciel bleu, dans les marges du temps et de l'espace ?
Illusion ! On découvre avec étonnement qu'au fil des siècles la Lussanenque est terre de passage, terre d'accueil, terre de luttes : colonisation gallo-romaine liée à la voie Nîmes-Alba au long de laquelle s'égrènent ces villas dont les empreintes demeurent dans la toponymie, enjeux de la Féodalité avec l'essor d'une Seigneurie de Lussan qui sera érigée en comté, implantation de la Réforme, vague du Prophétisme et révolte des Camisards, Révolution et contre-Révolution...
A Lussan, une riche histoire locale s'articule non seulement avec celle du département du Gard, lors de la Révolution en particulier, mais aussi avec l'histoire de France, avec la véritable saga de la famille seigneuriale des Audibert, mêlée aux luttes pour la conquête du Trône lors des guerres dites de religion et jouant son destin dans l'orbite de la famille royale, trouvant sa consécration dans le mariage de Marie-Gabrielle d'Audibert avec un fils du roi d'Angleterre en exil, Jacques II.
Parallèlement à cet éloignement, on voit se constituer une bourgeoisie lussanaise entreprenante, prenant en main le développement économique de la région avec l'expansion du mouton et le travail de la laine, ensuite avec la sériciculture, Lussan possédant même trois filatures à la fin du dix-neuvième siècle. On suivra en particulier, sur quatre siècles, l'ascension des Gide, consacrée en 1947 par le prix Nobel de littérature de l'un de leurs descendants.
Une histoire avec un certain nombre de figures qui paraissent relever du roman, et dans laquelle, à côté de notabilités comme les Théophile Gide ou Jean-Baptiste Chastanier, émergent de belles personnalités féminines : ainsi découvre-t-on Marquèze de Barjac qui consolide la seigneurie, Marie-Gabrielle d'Audibert qui, par son mariage ducal, avalisé par Louis XIV, marque l'apogée de la famille, Marie Mathieu, dite la Grande Marie, prophétesse que Jean Cavalier ne parviendra pas à arracher à la mort, l'intrigante Marie Bringer qui relève la seigneurie de sa décadence, Anne Gide, la rebelle huguenote, objet d'une affaire d'Etat, Marguerite Roux qui, elle, sauve son mari de la guillotine.
Illusion ! On découvre avec étonnement qu'au fil des siècles la Lussanenque est terre de passage, terre d'accueil, terre de luttes : colonisation gallo-romaine liée à la voie Nîmes-Alba au long de laquelle s'égrènent ces villas dont les empreintes demeurent dans la toponymie, enjeux de la Féodalité avec l'essor d'une Seigneurie de Lussan qui sera érigée en comté, implantation de la Réforme, vague du Prophétisme et révolte des Camisards, Révolution et contre-Révolution...
A Lussan, une riche histoire locale s'articule non seulement avec celle du département du Gard, lors de la Révolution en particulier, mais aussi avec l'histoire de France, avec la véritable saga de la famille seigneuriale des Audibert, mêlée aux luttes pour la conquête du Trône lors des guerres dites de religion et jouant son destin dans l'orbite de la famille royale, trouvant sa consécration dans le mariage de Marie-Gabrielle d'Audibert avec un fils du roi d'Angleterre en exil, Jacques II.
Parallèlement à cet éloignement, on voit se constituer une bourgeoisie lussanaise entreprenante, prenant en main le développement économique de la région avec l'expansion du mouton et le travail de la laine, ensuite avec la sériciculture, Lussan possédant même trois filatures à la fin du dix-neuvième siècle. On suivra en particulier, sur quatre siècles, l'ascension des Gide, consacrée en 1947 par le prix Nobel de littérature de l'un de leurs descendants.
Une histoire avec un certain nombre de figures qui paraissent relever du roman, et dans laquelle, à côté de notabilités comme les Théophile Gide ou Jean-Baptiste Chastanier, émergent de belles personnalités féminines : ainsi découvre-t-on Marquèze de Barjac qui consolide la seigneurie, Marie-Gabrielle d'Audibert qui, par son mariage ducal, avalisé par Louis XIV, marque l'apogée de la famille, Marie Mathieu, dite la Grande Marie, prophétesse que Jean Cavalier ne parviendra pas à arracher à la mort, l'intrigante Marie Bringer qui relève la seigneurie de sa décadence, Anne Gide, la rebelle huguenote, objet d'une affaire d'Etat, Marguerite Roux qui, elle, sauve son mari de la guillotine.
Lussan, village paisible sommeillant à l'écart des grands ensembles urbains, sur fond de garrigue ensoleillée et de ciel bleu, dans les marges du temps et de l'espace ?
Illusion ! On découvre avec étonnement qu'au fil des siècles la Lussanenque est terre de passage, terre d'accueil, terre de luttes : colonisation gallo-romaine liée à la voie Nîmes-Alba au long de laquelle s'égrènent ces villas dont les empreintes demeurent dans la toponymie, enjeux de la Féodalité avec l'essor d'une Seigneurie de Lussan qui sera érigée en comté, implantation de la Réforme, vague du Prophétisme et révolte des Camisards, Révolution et contre-Révolution...
A Lussan, une riche histoire locale s'articule non seulement avec celle du département du Gard, lors de la Révolution en particulier, mais aussi avec l'histoire de France, avec la véritable saga de la famille seigneuriale des Audibert, mêlée aux luttes pour la conquête du Trône lors des guerres dites de religion et jouant son destin dans l'orbite de la famille royale, trouvant sa consécration dans le mariage de Marie-Gabrielle d'Audibert avec un fils du roi d'Angleterre en exil, Jacques II.
Parallèlement à cet éloignement, on voit se constituer une bourgeoisie lussanaise entreprenante, prenant en main le développement économique de la région avec l'expansion du mouton et le travail de la laine, ensuite avec la sériciculture, Lussan possédant même trois filatures à la fin du dix-neuvième siècle. On suivra en particulier, sur quatre siècles, l'ascension des Gide, consacrée en 1947 par le prix Nobel de littérature de l'un de leurs descendants.
Une histoire avec un certain nombre de figures qui paraissent relever du roman, et dans laquelle, à côté de notabilités comme les Théophile Gide ou Jean-Baptiste Chastanier, émergent de belles personnalités féminines : ainsi découvre-t-on Marquèze de Barjac qui consolide la seigneurie, Marie-Gabrielle d'Audibert qui, par son mariage ducal, avalisé par Louis XIV, marque l'apogée de la famille, Marie Mathieu, dite la Grande Marie, prophétesse que Jean Cavalier ne parviendra pas à arracher à la mort, l'intrigante Marie Bringer qui relève la seigneurie de sa décadence, Anne Gide, la rebelle huguenote, objet d'une affaire d'Etat, Marguerite Roux qui, elle, sauve son mari de la guillotine.
Illusion ! On découvre avec étonnement qu'au fil des siècles la Lussanenque est terre de passage, terre d'accueil, terre de luttes : colonisation gallo-romaine liée à la voie Nîmes-Alba au long de laquelle s'égrènent ces villas dont les empreintes demeurent dans la toponymie, enjeux de la Féodalité avec l'essor d'une Seigneurie de Lussan qui sera érigée en comté, implantation de la Réforme, vague du Prophétisme et révolte des Camisards, Révolution et contre-Révolution...
A Lussan, une riche histoire locale s'articule non seulement avec celle du département du Gard, lors de la Révolution en particulier, mais aussi avec l'histoire de France, avec la véritable saga de la famille seigneuriale des Audibert, mêlée aux luttes pour la conquête du Trône lors des guerres dites de religion et jouant son destin dans l'orbite de la famille royale, trouvant sa consécration dans le mariage de Marie-Gabrielle d'Audibert avec un fils du roi d'Angleterre en exil, Jacques II.
Parallèlement à cet éloignement, on voit se constituer une bourgeoisie lussanaise entreprenante, prenant en main le développement économique de la région avec l'expansion du mouton et le travail de la laine, ensuite avec la sériciculture, Lussan possédant même trois filatures à la fin du dix-neuvième siècle. On suivra en particulier, sur quatre siècles, l'ascension des Gide, consacrée en 1947 par le prix Nobel de littérature de l'un de leurs descendants.
Une histoire avec un certain nombre de figures qui paraissent relever du roman, et dans laquelle, à côté de notabilités comme les Théophile Gide ou Jean-Baptiste Chastanier, émergent de belles personnalités féminines : ainsi découvre-t-on Marquèze de Barjac qui consolide la seigneurie, Marie-Gabrielle d'Audibert qui, par son mariage ducal, avalisé par Louis XIV, marque l'apogée de la famille, Marie Mathieu, dite la Grande Marie, prophétesse que Jean Cavalier ne parviendra pas à arracher à la mort, l'intrigante Marie Bringer qui relève la seigneurie de sa décadence, Anne Gide, la rebelle huguenote, objet d'une affaire d'Etat, Marguerite Roux qui, elle, sauve son mari de la guillotine.


