Les jésuites et la société française
Sous-titre :
XIXe-XXe siècles
ISBN :
9782708968424
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
288
pages -
Broché -
2001
-
Prix 7,50 €
Thèmes :
4e de couverture :
"SJ" ! Ces deux initiales de la "Société de Jésus" ont fait longtemps frémir ses nombreux adversaires dans et hors de l' Église catholique. Universellement supprimée en 1773 par le pape Clément XIV, sous la pression de la cour d' Espagne, la Compagnie de Jésus n' a été rétablie qu' en 1814. Les jésuites deviennent alors d' actifs militants de la cause catholique dans la société française. D' abord hostiles à "l' esprit du Siècle"- celui de la raison et de la science triomphantes-, ces professeurs, prédicateurs ou théologiens ont, à la faveur de la "crise moderniste", entrepris de réinvestir la culture de leur époque. Des années 1930 au concile Vatican II, ils sont allés jusqu'à penser un christianisme qui assumerait, voire dépasserait, les propositions de la modernité.
Qu'en est-il aujourd'hui de cet "humanisme chrétien" dont ils se sont voulus des maîtres d' œuvre dans un monde qualifié de post-moderne ?
Qu'en est-il aujourd'hui de cet "humanisme chrétien" dont ils se sont voulus des maîtres d' œuvre dans un monde qualifié de post-moderne ?
"SJ" ! Ces deux initiales de la "Société de Jésus" ont fait longtemps frémir ses nombreux adversaires dans et hors de l' Église catholique. Universellement supprimée en 1773 par le pape Clément XIV, sous la pression de la cour d' Espagne, la Compagnie de Jésus n' a été rétablie qu' en 1814. Les jésuites deviennent alors d' actifs militants de la cause catholique dans la société française. D' abord hostiles à "l' esprit du Siècle"- celui de la raison et de la science triomphantes-, ces professeurs, prédicateurs ou théologiens ont, à la faveur de la "crise moderniste", entrepris de réinvestir la culture de leur époque. Des années 1930 au concile Vatican II, ils sont allés jusqu'à penser un christianisme qui assumerait, voire dépasserait, les propositions de la modernité.
Qu'en est-il aujourd'hui de cet "humanisme chrétien" dont ils se sont voulus des maîtres d' œuvre dans un monde qualifié de post-moderne ?
Qu'en est-il aujourd'hui de cet "humanisme chrétien" dont ils se sont voulus des maîtres d' œuvre dans un monde qualifié de post-moderne ?