Le salut ne vient pas d'Hitler
Sous-titre :
Un mennonite déporté à Natzweiler et Buchenwald
ISBN :
9791090740075
Editeur :
Auteur :
Info :
136
pages -
Broché -
2016
-
Prix 9,00 €

Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Jean-Paul Kremer a 17 ans lorsqu'il est jeté dans les camps : d'abord celui de Natzweiler-Struthof, en Alsace, puis celui de Buchenwald. Son crime ? Avoir refusé le salut nazi au lycée, l'incorporation dans la Wehrmacht et le serment de fidélité à Hitler.
Sa résistance est une résistance spirituelle. Protestant, appartenant à la minorité des mennonites d'Alsace, il juge l'idéologie hitlérienne incompatible avec ses convictions. En conséquence, il vivra le calvaire des "déportés pour la foi". A la différence des communistes, ces derniers sont peu nombreux dans les camps, et sont rarement en mesure d'organiser une solidarité confessionnelle.
Ils forment, par leurs trajectoires dispersées, une Eglise fidèle, persécutée, en lambeaux, que le récit de Jean-Paul Kremer documente de façon vraiment originale. Car en plus d'être un témoin du vécu concentrationnaire et de la Résistance française à Buchenwald, il fut un témoin du Christ au sein de la plus grande tragédie de l'Histoire.
Sa résistance est une résistance spirituelle. Protestant, appartenant à la minorité des mennonites d'Alsace, il juge l'idéologie hitlérienne incompatible avec ses convictions. En conséquence, il vivra le calvaire des "déportés pour la foi". A la différence des communistes, ces derniers sont peu nombreux dans les camps, et sont rarement en mesure d'organiser une solidarité confessionnelle.
Ils forment, par leurs trajectoires dispersées, une Eglise fidèle, persécutée, en lambeaux, que le récit de Jean-Paul Kremer documente de façon vraiment originale. Car en plus d'être un témoin du vécu concentrationnaire et de la Résistance française à Buchenwald, il fut un témoin du Christ au sein de la plus grande tragédie de l'Histoire.
Jean-Paul Kremer a 17 ans lorsqu'il est jeté dans les camps : d'abord celui de Natzweiler-Struthof, en Alsace, puis celui de Buchenwald. Son crime ? Avoir refusé le salut nazi au lycée, l'incorporation dans la Wehrmacht et le serment de fidélité à Hitler.
Sa résistance est une résistance spirituelle. Protestant, appartenant à la minorité des mennonites d'Alsace, il juge l'idéologie hitlérienne incompatible avec ses convictions. En conséquence, il vivra le calvaire des "déportés pour la foi". A la différence des communistes, ces derniers sont peu nombreux dans les camps, et sont rarement en mesure d'organiser une solidarité confessionnelle.
Ils forment, par leurs trajectoires dispersées, une Eglise fidèle, persécutée, en lambeaux, que le récit de Jean-Paul Kremer documente de façon vraiment originale. Car en plus d'être un témoin du vécu concentrationnaire et de la Résistance française à Buchenwald, il fut un témoin du Christ au sein de la plus grande tragédie de l'Histoire.
Sa résistance est une résistance spirituelle. Protestant, appartenant à la minorité des mennonites d'Alsace, il juge l'idéologie hitlérienne incompatible avec ses convictions. En conséquence, il vivra le calvaire des "déportés pour la foi". A la différence des communistes, ces derniers sont peu nombreux dans les camps, et sont rarement en mesure d'organiser une solidarité confessionnelle.
Ils forment, par leurs trajectoires dispersées, une Eglise fidèle, persécutée, en lambeaux, que le récit de Jean-Paul Kremer documente de façon vraiment originale. Car en plus d'être un témoin du vécu concentrationnaire et de la Résistance française à Buchenwald, il fut un témoin du Christ au sein de la plus grande tragédie de l'Histoire.
Voir aussi :