Le destin d'Israël
Sous-titre :
ou Israël aux derniers jours de l'économie actuelle
ISBN :
50752
Editeur :
Auteur :
Info :
394
pages -
1976
-
Prix 15,40 €
Thèmes :
4e de couverture :
Au début du siècle dernier, le protestantisme de langue française était malade : ou bien la doctrine des Réformateurs avait été conservée, mais dans des églises froides et sans vie, ou bien l'on rejetait plus ou moins ouvertement l'enseignement de la Réforme, quand ce n'était pas celui de l'Écriture Sainte.
Pourtant, vers 1820, à Genève quelques étudiants en théologie désirent avec ferveur revenir aux sources de l'évangile. De leurs prières et de leurs recherches naquit ce mouvement de l'Esprit, ce souffle qui vivifia nos églises, le réveil.
Emile GUERS était l'un d'eux, et s'il eut à souffrir de la part des autorités religieuses de son temps, comme du reste César Malan, Merle d'Aubigné, et d'autres, son ministère fut henni, puisqu'il est à l'origine de l'Eglise de la Pélisserie.
GUERS écrivit plusieurs ouvrages religieux. Il aimait tout spécialement, et d'une affection ardente, le peuple d'Israël, et dans notre XXe siècle, ou « nous voyons la Prophétie devenir Histoire » (pour reprendre l'expression du Professeur Lamorte) le DESTIN D'ISRAËL d'Emile Guers prend un singulier relief. On oublie, en le lisant, qu'il fut écrit il y a plus de 100 ans.
Si donc son auteur, à la lumière de la Prophétie, a « vu » se lever le jour glorieux du Christ, combien plus actuel encore ce devrait être pour nous !
Puisse ce livre, en nous ouvrant les yeux, contribuer vraiment à nous faire « aimer Son apparition ».
(2 Tim. 4, v. 8).
Pourtant, vers 1820, à Genève quelques étudiants en théologie désirent avec ferveur revenir aux sources de l'évangile. De leurs prières et de leurs recherches naquit ce mouvement de l'Esprit, ce souffle qui vivifia nos églises, le réveil.
Emile GUERS était l'un d'eux, et s'il eut à souffrir de la part des autorités religieuses de son temps, comme du reste César Malan, Merle d'Aubigné, et d'autres, son ministère fut henni, puisqu'il est à l'origine de l'Eglise de la Pélisserie.
GUERS écrivit plusieurs ouvrages religieux. Il aimait tout spécialement, et d'une affection ardente, le peuple d'Israël, et dans notre XXe siècle, ou « nous voyons la Prophétie devenir Histoire » (pour reprendre l'expression du Professeur Lamorte) le DESTIN D'ISRAËL d'Emile Guers prend un singulier relief. On oublie, en le lisant, qu'il fut écrit il y a plus de 100 ans.
Si donc son auteur, à la lumière de la Prophétie, a « vu » se lever le jour glorieux du Christ, combien plus actuel encore ce devrait être pour nous !
Puisse ce livre, en nous ouvrant les yeux, contribuer vraiment à nous faire « aimer Son apparition ».
(2 Tim. 4, v. 8).
Au début du siècle dernier, le protestantisme de langue française était malade : ou bien la doctrine des Réformateurs avait été conservée, mais dans des églises froides et sans vie, ou bien l'on rejetait plus ou moins ouvertement l'enseignement de la Réforme, quand ce n'était pas celui de l'Écriture Sainte.
Pourtant, vers 1820, à Genève quelques étudiants en théologie désirent avec ferveur revenir aux sources de l'évangile. De leurs prières et de leurs recherches naquit ce mouvement de l'Esprit, ce souffle qui vivifia nos églises, le réveil.
Emile GUERS était l'un d'eux, et s'il eut à souffrir de la part des autorités religieuses de son temps, comme du reste César Malan, Merle d'Aubigné, et d'autres, son ministère fut henni, puisqu'il est à l'origine de l'Eglise de la Pélisserie.
GUERS écrivit plusieurs ouvrages religieux. Il aimait tout spécialement, et d'une affection ardente, le peuple d'Israël, et dans notre XXe siècle, ou « nous voyons la Prophétie devenir Histoire » (pour reprendre l'expression du Professeur Lamorte) le DESTIN D'ISRAËL d'Emile Guers prend un singulier relief. On oublie, en le lisant, qu'il fut écrit il y a plus de 100 ans.
Si donc son auteur, à la lumière de la Prophétie, a « vu » se lever le jour glorieux du Christ, combien plus actuel encore ce devrait être pour nous !
Puisse ce livre, en nous ouvrant les yeux, contribuer vraiment à nous faire « aimer Son apparition ».
(2 Tim. 4, v. 8).
Pourtant, vers 1820, à Genève quelques étudiants en théologie désirent avec ferveur revenir aux sources de l'évangile. De leurs prières et de leurs recherches naquit ce mouvement de l'Esprit, ce souffle qui vivifia nos églises, le réveil.
Emile GUERS était l'un d'eux, et s'il eut à souffrir de la part des autorités religieuses de son temps, comme du reste César Malan, Merle d'Aubigné, et d'autres, son ministère fut henni, puisqu'il est à l'origine de l'Eglise de la Pélisserie.
GUERS écrivit plusieurs ouvrages religieux. Il aimait tout spécialement, et d'une affection ardente, le peuple d'Israël, et dans notre XXe siècle, ou « nous voyons la Prophétie devenir Histoire » (pour reprendre l'expression du Professeur Lamorte) le DESTIN D'ISRAËL d'Emile Guers prend un singulier relief. On oublie, en le lisant, qu'il fut écrit il y a plus de 100 ans.
Si donc son auteur, à la lumière de la Prophétie, a « vu » se lever le jour glorieux du Christ, combien plus actuel encore ce devrait être pour nous !
Puisse ce livre, en nous ouvrant les yeux, contribuer vraiment à nous faire « aimer Son apparition ».
(2 Tim. 4, v. 8).