Le Potager de la foi
ISBN :
9791093638171
Editeur :
Auteur :
Info :
Broché -
2021
-
Prix 11,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Ce livre a pris corps lorsque, à cause de ma mauvaise santé, je ne savais pas si je récolterais, au printemps, les fèves et les pois que j'avais semés à l'automne. Je liais en quelque sorte ma vie au rythme de la nature. La mort elle-même ne pourra pas me séparer de cette nature, qui m'a encouragé jusqu'ici, à travers les légumes.
Selon le mythe gréco-romain, dans les métamorphoses d'Ovide, l'âme de Philémon et Baucis s'est concentrée, après la mort, dans un chêne pour l'un, dans un tilleul pour l'autre, les feuillages s'entrecroisant afin que continue la longue vie amoureuse et généreuse menée par le couple.
La mort défait ce que la naissance avait rassemblé, nous dit Marc-Aurèle dans « Pensée pour moi-même ». Toutefois, tous ces éléments déliés reviennent au Tout de la nature sous d'autres formes. La mort est une transformation. Rien n'est perdu. Rien n'est catastrophique. Là est, selon nous, une des significations de la résurrection de Jésus.
Selon le mythe gréco-romain, dans les métamorphoses d'Ovide, l'âme de Philémon et Baucis s'est concentrée, après la mort, dans un chêne pour l'un, dans un tilleul pour l'autre, les feuillages s'entrecroisant afin que continue la longue vie amoureuse et généreuse menée par le couple.
La mort défait ce que la naissance avait rassemblé, nous dit Marc-Aurèle dans « Pensée pour moi-même ». Toutefois, tous ces éléments déliés reviennent au Tout de la nature sous d'autres formes. La mort est une transformation. Rien n'est perdu. Rien n'est catastrophique. Là est, selon nous, une des significations de la résurrection de Jésus.
Ce livre a pris corps lorsque, à cause de ma mauvaise santé, je ne savais pas si je récolterais, au printemps, les fèves et les pois que j'avais semés à l'automne. Je liais en quelque sorte ma vie au rythme de la nature. La mort elle-même ne pourra pas me séparer de cette nature, qui m'a encouragé jusqu'ici, à travers les légumes.
Selon le mythe gréco-romain, dans les métamorphoses d'Ovide, l'âme de Philémon et Baucis s'est concentrée, après la mort, dans un chêne pour l'un, dans un tilleul pour l'autre, les feuillages s'entrecroisant afin que continue la longue vie amoureuse et généreuse menée par le couple.
La mort défait ce que la naissance avait rassemblé, nous dit Marc-Aurèle dans « Pensée pour moi-même ». Toutefois, tous ces éléments déliés reviennent au Tout de la nature sous d'autres formes. La mort est une transformation. Rien n'est perdu. Rien n'est catastrophique. Là est, selon nous, une des significations de la résurrection de Jésus.
Selon le mythe gréco-romain, dans les métamorphoses d'Ovide, l'âme de Philémon et Baucis s'est concentrée, après la mort, dans un chêne pour l'un, dans un tilleul pour l'autre, les feuillages s'entrecroisant afin que continue la longue vie amoureuse et généreuse menée par le couple.
La mort défait ce que la naissance avait rassemblé, nous dit Marc-Aurèle dans « Pensée pour moi-même ». Toutefois, tous ces éléments déliés reviennent au Tout de la nature sous d'autres formes. La mort est une transformation. Rien n'est perdu. Rien n'est catastrophique. Là est, selon nous, une des significations de la résurrection de Jésus.