La notion de pardon chez Kierkegaard
Sous-titre :
Ou Kierkegaard lecteur de l'épître aux Romains
ISBN :
9782711608270
Editeur :
Auteur :
Info :
150
pages -
Broché -
2002
-
Prix 31,00 €

Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Chrétienne, d'ordre essentiellement théologique, la notion dialectique de pardon repose, chez Kierkegaard, sur une conception particulièrement originale du rapport du péché originel au péché individuel puisque, selon lui, sans le premier péché d'Adam, l'homme eût ignoré, d'une ignorance ontologique, le genre humain et l'histoire. Évitant d'assimiler le péché originel à une maladie héréditaire, le penseur danois part en effet d'une idée qu'il existe, dans la Création, une incompatibilité de nature entre le domaine de la spécificité et celui de la spiritualité qui, selon l'opinion courante, constitue néanmoins les déterminations également essentielles de la condition humaine.
L'auteur du présent ouvrage, saisi d'étonnement, voir d'angoisse, devant cette nouvelle interprétation de l'Écriture fut spontanément conduit à cheminer aux côtés de Kierkegaard pour mieux saisir cette parole de l'Épître aux romains : « le juste vivra par la foi », c'est à dire, selon Kierkegaard, de la foi au pardon.
Aude-Marie LHOTE, Docteur en philosophie de l'Université de Paris-IV, poursuit actuellement une recherche personnelle sur les rapports de la Bible et de la Tragédie antique et prépare lune thèse d'État sur l'œuvre exégétique de Claudel.
L'auteur du présent ouvrage, saisi d'étonnement, voir d'angoisse, devant cette nouvelle interprétation de l'Écriture fut spontanément conduit à cheminer aux côtés de Kierkegaard pour mieux saisir cette parole de l'Épître aux romains : « le juste vivra par la foi », c'est à dire, selon Kierkegaard, de la foi au pardon.
Aude-Marie LHOTE, Docteur en philosophie de l'Université de Paris-IV, poursuit actuellement une recherche personnelle sur les rapports de la Bible et de la Tragédie antique et prépare lune thèse d'État sur l'œuvre exégétique de Claudel.
Chrétienne, d'ordre essentiellement théologique, la notion dialectique de pardon repose, chez Kierkegaard, sur une conception particulièrement originale du rapport du péché originel au péché individuel puisque, selon lui, sans le premier péché d'Adam, l'homme eût ignoré, d'une ignorance ontologique, le genre humain et l'histoire. Évitant d'assimiler le péché originel à une maladie héréditaire, le penseur danois part en effet d'une idée qu'il existe, dans la Création, une incompatibilité de nature entre le domaine de la spécificité et celui de la spiritualité qui, selon l'opinion courante, constitue néanmoins les déterminations également essentielles de la condition humaine.
L'auteur du présent ouvrage, saisi d'étonnement, voir d'angoisse, devant cette nouvelle interprétation de l'Écriture fut spontanément conduit à cheminer aux côtés de Kierkegaard pour mieux saisir cette parole de l'Épître aux romains : « le juste vivra par la foi », c'est à dire, selon Kierkegaard, de la foi au pardon.
Aude-Marie LHOTE, Docteur en philosophie de l'Université de Paris-IV, poursuit actuellement une recherche personnelle sur les rapports de la Bible et de la Tragédie antique et prépare lune thèse d'État sur l'œuvre exégétique de Claudel.
L'auteur du présent ouvrage, saisi d'étonnement, voir d'angoisse, devant cette nouvelle interprétation de l'Écriture fut spontanément conduit à cheminer aux côtés de Kierkegaard pour mieux saisir cette parole de l'Épître aux romains : « le juste vivra par la foi », c'est à dire, selon Kierkegaard, de la foi au pardon.
Aude-Marie LHOTE, Docteur en philosophie de l'Université de Paris-IV, poursuit actuellement une recherche personnelle sur les rapports de la Bible et de la Tragédie antique et prépare lune thèse d'État sur l'œuvre exégétique de Claudel.