La naissance des religions
Sous-titre :
De la préhistoire aux religions universalistes
ISBN :
9782200263461
Editeur :
Auteur :
Frédéric LENOIR (préface), Yves LAMBERT
Info :
512
pages -
Broché -
2009
-
Prix 33,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
« Voici un livre d'un intérêt exceptionnel pour qui s'intéresse à l'histoire comparée des religions. L'ambition de son auteur était immense : essayer d'expliquer l'évolution des religions depuis les peuples chasseurs-cueilleurs jusqu'à l'époque moderne en la mettant en relation avec les principaux tournants de l'histoire. »
Rien de moins. Frédéric Lenoir, dans sa préface, situe toute la démesure apparente d'une ambition intellectuelle comme notre époque n'en ose plus guère. Il est vrai que la tâche était gigantesque, le savoir à maîtriser, propre à nourrir plusieurs siècles de querelles d'érudits, le risque, constant et « fou » pour le chercheur confirmé qu'était Yves Lambert. Il fallait ne pas avoir peur pour tenter cette gageure, ou être de taille à surmonter les pires peurs. Ce qui fut le cas.
Ce livre sans équivalent possible nous plonge au cœur de l'histoire et des préoccupations religieuses de l'humanité. Même inachevé, hélas, il témoigne d'une cohérence et d'une acuité de vision qui donnent à penser que son auteur avait totalement raison, et que seule une ambition aussi exagérée que la sienne pouvait, sur ce sujet, atteindre la simplicité et l'évidence des vérités fondamentales.
Yves LAMBERT, né en 1946, décédé au terme d'une longue maladie en 2006, a fait une entrée remarquée dans le champ de la sociologie religieuse avec la publication en 1985 de Dieu change en Bretagne. Devenu chercheur puis directeur de recherches au Groupe Société, Religions, Laïcités (CNRS-EPHE), il conçoit dès le début des années 1990 le projet de cet ouvrage de synthèse auquel le reste de sa vie a été voué.
Préface de Frédéric LENOIR.
Rien de moins. Frédéric Lenoir, dans sa préface, situe toute la démesure apparente d'une ambition intellectuelle comme notre époque n'en ose plus guère. Il est vrai que la tâche était gigantesque, le savoir à maîtriser, propre à nourrir plusieurs siècles de querelles d'érudits, le risque, constant et « fou » pour le chercheur confirmé qu'était Yves Lambert. Il fallait ne pas avoir peur pour tenter cette gageure, ou être de taille à surmonter les pires peurs. Ce qui fut le cas.
Ce livre sans équivalent possible nous plonge au cœur de l'histoire et des préoccupations religieuses de l'humanité. Même inachevé, hélas, il témoigne d'une cohérence et d'une acuité de vision qui donnent à penser que son auteur avait totalement raison, et que seule une ambition aussi exagérée que la sienne pouvait, sur ce sujet, atteindre la simplicité et l'évidence des vérités fondamentales.
Yves LAMBERT, né en 1946, décédé au terme d'une longue maladie en 2006, a fait une entrée remarquée dans le champ de la sociologie religieuse avec la publication en 1985 de Dieu change en Bretagne. Devenu chercheur puis directeur de recherches au Groupe Société, Religions, Laïcités (CNRS-EPHE), il conçoit dès le début des années 1990 le projet de cet ouvrage de synthèse auquel le reste de sa vie a été voué.
Préface de Frédéric LENOIR.
« Voici un livre d'un intérêt exceptionnel pour qui s'intéresse à l'histoire comparée des religions. L'ambition de son auteur était immense : essayer d'expliquer l'évolution des religions depuis les peuples chasseurs-cueilleurs jusqu'à l'époque moderne en la mettant en relation avec les principaux tournants de l'histoire. »
Rien de moins. Frédéric Lenoir, dans sa préface, situe toute la démesure apparente d'une ambition intellectuelle comme notre époque n'en ose plus guère. Il est vrai que la tâche était gigantesque, le savoir à maîtriser, propre à nourrir plusieurs siècles de querelles d'érudits, le risque, constant et « fou » pour le chercheur confirmé qu'était Yves Lambert. Il fallait ne pas avoir peur pour tenter cette gageure, ou être de taille à surmonter les pires peurs. Ce qui fut le cas.
Ce livre sans équivalent possible nous plonge au cœur de l'histoire et des préoccupations religieuses de l'humanité. Même inachevé, hélas, il témoigne d'une cohérence et d'une acuité de vision qui donnent à penser que son auteur avait totalement raison, et que seule une ambition aussi exagérée que la sienne pouvait, sur ce sujet, atteindre la simplicité et l'évidence des vérités fondamentales.
Yves LAMBERT, né en 1946, décédé au terme d'une longue maladie en 2006, a fait une entrée remarquée dans le champ de la sociologie religieuse avec la publication en 1985 de Dieu change en Bretagne. Devenu chercheur puis directeur de recherches au Groupe Société, Religions, Laïcités (CNRS-EPHE), il conçoit dès le début des années 1990 le projet de cet ouvrage de synthèse auquel le reste de sa vie a été voué.
Préface de Frédéric LENOIR.
Rien de moins. Frédéric Lenoir, dans sa préface, situe toute la démesure apparente d'une ambition intellectuelle comme notre époque n'en ose plus guère. Il est vrai que la tâche était gigantesque, le savoir à maîtriser, propre à nourrir plusieurs siècles de querelles d'érudits, le risque, constant et « fou » pour le chercheur confirmé qu'était Yves Lambert. Il fallait ne pas avoir peur pour tenter cette gageure, ou être de taille à surmonter les pires peurs. Ce qui fut le cas.
Ce livre sans équivalent possible nous plonge au cœur de l'histoire et des préoccupations religieuses de l'humanité. Même inachevé, hélas, il témoigne d'une cohérence et d'une acuité de vision qui donnent à penser que son auteur avait totalement raison, et que seule une ambition aussi exagérée que la sienne pouvait, sur ce sujet, atteindre la simplicité et l'évidence des vérités fondamentales.
Yves LAMBERT, né en 1946, décédé au terme d'une longue maladie en 2006, a fait une entrée remarquée dans le champ de la sociologie religieuse avec la publication en 1985 de Dieu change en Bretagne. Devenu chercheur puis directeur de recherches au Groupe Société, Religions, Laïcités (CNRS-EPHE), il conçoit dès le début des années 1990 le projet de cet ouvrage de synthèse auquel le reste de sa vie a été voué.
Préface de Frédéric LENOIR.