Les larmes de Jean d'Estremau
Sous-titre :
Cy-devant ministre de Bellocq, en Béarn - ou sermon sur les paroles du livre de l'Exode ch. III Vers 2, prononcé à Amsterdam en 1687
ISBN :
9782951144125
Editeur :
Auteur :
Info :
119
pages -
Broché -
1998
-
Prix 7,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Le sermon de Jean d'Estremau, ministre de Bellocq en Béarn, a été prononcé à Amsterdam en 1687 et édité en 1688 dans cette même ville. Il fut ensuite adressé à l'Eglise de Bellocq accompagné d'une Lettre [...] à ses brebis, qui ont eu le malheur de succomber sous la violence de la persecution... C'est un sermon sur EX. 3, 2, dont le titre, Les Larmes, renvoie à la repentance de l'auteur et à la confession publique de son péché d'apostasie, intervenue sur le chemin de l'exil à l'époque de la révocation de l'édit de Nantes.
Ce sermon est unique car d'une part, il est le seul écrit par Jean d'Estremau qui nous soit parvenu et d'autre part, nous n'avons pas connaissance d'autre sermon qui contienne la confession d'une abjuration. Ce texte donc présente un double interêt pour le lecteur aujourd'hui : le témoignage public d'une apostasie surmontée dans le pardon - et nous en avons peu- et un exemple de ce qu'était la rhétorique réformée dans cette période de persécutions.
Le discours entier est un foisonnement d'images, de métaphores et d'antithèses parfois violentes. C'est en fait un formidable tissu d'événements et de citations dont l'ampleur se veut à la mesure d'une idée fondamentale et constante : le triomphe de Christ sur les obstacles qui se dressent devant les élus. Derrière cette pensée se trouve l'expérience personnelle d'Estremau, parfois exprimée de façon très implicite.
Ce sermon est unique car d'une part, il est le seul écrit par Jean d'Estremau qui nous soit parvenu et d'autre part, nous n'avons pas connaissance d'autre sermon qui contienne la confession d'une abjuration. Ce texte donc présente un double interêt pour le lecteur aujourd'hui : le témoignage public d'une apostasie surmontée dans le pardon - et nous en avons peu- et un exemple de ce qu'était la rhétorique réformée dans cette période de persécutions.
Le discours entier est un foisonnement d'images, de métaphores et d'antithèses parfois violentes. C'est en fait un formidable tissu d'événements et de citations dont l'ampleur se veut à la mesure d'une idée fondamentale et constante : le triomphe de Christ sur les obstacles qui se dressent devant les élus. Derrière cette pensée se trouve l'expérience personnelle d'Estremau, parfois exprimée de façon très implicite.
Le sermon de Jean d'Estremau, ministre de Bellocq en Béarn, a été prononcé à Amsterdam en 1687 et édité en 1688 dans cette même ville. Il fut ensuite adressé à l'Eglise de Bellocq accompagné d'une Lettre [...] à ses brebis, qui ont eu le malheur de succomber sous la violence de la persecution... C'est un sermon sur EX. 3, 2, dont le titre, Les Larmes, renvoie à la repentance de l'auteur et à la confession publique de son péché d'apostasie, intervenue sur le chemin de l'exil à l'époque de la révocation de l'édit de Nantes.
Ce sermon est unique car d'une part, il est le seul écrit par Jean d'Estremau qui nous soit parvenu et d'autre part, nous n'avons pas connaissance d'autre sermon qui contienne la confession d'une abjuration. Ce texte donc présente un double interêt pour le lecteur aujourd'hui : le témoignage public d'une apostasie surmontée dans le pardon - et nous en avons peu- et un exemple de ce qu'était la rhétorique réformée dans cette période de persécutions.
Le discours entier est un foisonnement d'images, de métaphores et d'antithèses parfois violentes. C'est en fait un formidable tissu d'événements et de citations dont l'ampleur se veut à la mesure d'une idée fondamentale et constante : le triomphe de Christ sur les obstacles qui se dressent devant les élus. Derrière cette pensée se trouve l'expérience personnelle d'Estremau, parfois exprimée de façon très implicite.
Ce sermon est unique car d'une part, il est le seul écrit par Jean d'Estremau qui nous soit parvenu et d'autre part, nous n'avons pas connaissance d'autre sermon qui contienne la confession d'une abjuration. Ce texte donc présente un double interêt pour le lecteur aujourd'hui : le témoignage public d'une apostasie surmontée dans le pardon - et nous en avons peu- et un exemple de ce qu'était la rhétorique réformée dans cette période de persécutions.
Le discours entier est un foisonnement d'images, de métaphores et d'antithèses parfois violentes. C'est en fait un formidable tissu d'événements et de citations dont l'ampleur se veut à la mesure d'une idée fondamentale et constante : le triomphe de Christ sur les obstacles qui se dressent devant les élus. Derrière cette pensée se trouve l'expérience personnelle d'Estremau, parfois exprimée de façon très implicite.
Avis :
Edition critique présentée et commentée par Georges Sicard-Arpin
Edition critique présentée et commentée par Georges Sicard-Arpin