Les cinq rouleaux
Sous-titre :
Le chant des chants - Ruth - Comme ou les Lamentations - Paroles du sage - Esther
ISBN :
9782070272112
Editeur :
Auteur :
Info :
240
pages -
Broché -
2005
-
Prix 23,40 €
Thèmes :
4e de couverture :
Cinq textes de la Bible sont réunis par la tradition juive sous le nom de Cinq Rouleaux parce qu'ils sont destinés à des fêtes religieuses : Le Chant des chants est lu à Pâques, Ruth à la Pentecôte, Comme ou les Lamentations pour l'anniversaire de la destruction du Temple par Nabuchodonosor, Paroles du Sage pour la fête des Tabernacles, Esther pour la fête de Pourim on des Sorts.
Cette traduction, qui est une tension vers l'équivalence formelle, d'Henri Meschonnic, spécialiste de la linguistique et de la poétique, donne une présentation originale et nouvelle de textes pourtant fort connus (sous d'autres titres comme Le Cantique des cantiques ou L'Ecclésiaste) et tient compte des travaux des linguistes de la traduction et de la récitation rituelle. Pour l'auteur, traduire des textes bibliques signifie « inclure au langage poétique moderne le langage de la Bible que des siècles de rationalisme français avaient travesti ». « J'ai voulu rendre, dit-il, et je crois qu'on ne l'avait jamais tenté, les accents et les pauses dont la hiérarchie complexe fait la modulation du verset biblique, son rythme et parfois son sens. »
Chaque rouleau est précédé d'un commentaire du traducteur qui s'est tout particulièrement préoccupé de la question des genres et des tons ; le livre s'ouvre sur une introduction générale consacrée à la poétique de la traduction.
Cette traduction, qui est une tension vers l'équivalence formelle, d'Henri Meschonnic, spécialiste de la linguistique et de la poétique, donne une présentation originale et nouvelle de textes pourtant fort connus (sous d'autres titres comme Le Cantique des cantiques ou L'Ecclésiaste) et tient compte des travaux des linguistes de la traduction et de la récitation rituelle. Pour l'auteur, traduire des textes bibliques signifie « inclure au langage poétique moderne le langage de la Bible que des siècles de rationalisme français avaient travesti ». « J'ai voulu rendre, dit-il, et je crois qu'on ne l'avait jamais tenté, les accents et les pauses dont la hiérarchie complexe fait la modulation du verset biblique, son rythme et parfois son sens. »
Chaque rouleau est précédé d'un commentaire du traducteur qui s'est tout particulièrement préoccupé de la question des genres et des tons ; le livre s'ouvre sur une introduction générale consacrée à la poétique de la traduction.
Cinq textes de la Bible sont réunis par la tradition juive sous le nom de Cinq Rouleaux parce qu'ils sont destinés à des fêtes religieuses : Le Chant des chants est lu à Pâques, Ruth à la Pentecôte, Comme ou les Lamentations pour l'anniversaire de la destruction du Temple par Nabuchodonosor, Paroles du Sage pour la fête des Tabernacles, Esther pour la fête de Pourim on des Sorts.
Cette traduction, qui est une tension vers l'équivalence formelle, d'Henri Meschonnic, spécialiste de la linguistique et de la poétique, donne une présentation originale et nouvelle de textes pourtant fort connus (sous d'autres titres comme Le Cantique des cantiques ou L'Ecclésiaste) et tient compte des travaux des linguistes de la traduction et de la récitation rituelle. Pour l'auteur, traduire des textes bibliques signifie « inclure au langage poétique moderne le langage de la Bible que des siècles de rationalisme français avaient travesti ». « J'ai voulu rendre, dit-il, et je crois qu'on ne l'avait jamais tenté, les accents et les pauses dont la hiérarchie complexe fait la modulation du verset biblique, son rythme et parfois son sens. »
Chaque rouleau est précédé d'un commentaire du traducteur qui s'est tout particulièrement préoccupé de la question des genres et des tons ; le livre s'ouvre sur une introduction générale consacrée à la poétique de la traduction.
Cette traduction, qui est une tension vers l'équivalence formelle, d'Henri Meschonnic, spécialiste de la linguistique et de la poétique, donne une présentation originale et nouvelle de textes pourtant fort connus (sous d'autres titres comme Le Cantique des cantiques ou L'Ecclésiaste) et tient compte des travaux des linguistes de la traduction et de la récitation rituelle. Pour l'auteur, traduire des textes bibliques signifie « inclure au langage poétique moderne le langage de la Bible que des siècles de rationalisme français avaient travesti ». « J'ai voulu rendre, dit-il, et je crois qu'on ne l'avait jamais tenté, les accents et les pauses dont la hiérarchie complexe fait la modulation du verset biblique, son rythme et parfois son sens. »
Chaque rouleau est précédé d'un commentaire du traducteur qui s'est tout particulièrement préoccupé de la question des genres et des tons ; le livre s'ouvre sur une introduction générale consacrée à la poétique de la traduction.
Avis :
Aussi convaincus que nous puissions l’être de la beauté des textes bibliques, l’habitude de la fréquentation tend à en faire disparaître l’originalité. Car la Parole est aussi magnificence du Verbe, Beauté formelle – la Parole de Dieu est certes discours, révélation d’un message et d’une personne, mais elle est texte, poésie ; elle révèle Dieu dans son architecture même, dans l’harmonie de sa composition, dans la beauté âpre de son style ; cette beauté participe à la connaissance de Dieu, celle de sa gloire, et conduit à l’adoration. C’est pour cela que la traduction de Meschonnic nous paraît si digne de lecture.
Les cinq rouleaux (Le Chant des chants, Ruth, les Lamentations, Paroles du Sage, Esther), c’est la volonté de respecter la spécificité du rythme de la langue hébraïque, les accents, les pauses, le mystère, qui participent de manière fondamentale au sens et que les traductions modernes évincent par souci de clarté. Cette traduction nous réintroduit dans le texte biblique par un angle nouveau, celui de la poésie et de la profondeur de la sagesse de Dieu. Le résultat décontenance : magnifique.
Les cinq rouleaux (Le Chant des chants, Ruth, les Lamentations, Paroles du Sage, Esther), c’est la volonté de respecter la spécificité du rythme de la langue hébraïque, les accents, les pauses, le mystère, qui participent de manière fondamentale au sens et que les traductions modernes évincent par souci de clarté. Cette traduction nous réintroduit dans le texte biblique par un angle nouveau, celui de la poésie et de la profondeur de la sagesse de Dieu. Le résultat décontenance : magnifique.
Aussi convaincus que nous puissions l’être de la beauté des textes bibliques, l’habitude de la fréquentation tend à en faire disparaître l’originalité. Car la Parole est aussi magnificence du Verbe, Beauté formelle – la Parole de Dieu est certes discours, révélation d’un message et d’une personne, mais elle est texte, poésie ; elle révèle Dieu dans son architecture même, dans l’harmonie de sa composition, dans la beauté âpre de son style ; cette beauté participe à la connaissance de Dieu, celle de sa gloire, et conduit à l’adoration. C’est pour cela que la traduction de Meschonnic nous paraît si digne de lecture.
Les cinq rouleaux (Le Chant des chants, Ruth, les Lamentations, Paroles du Sage, Esther), c’est la volonté de respecter la spécificité du rythme de la langue hébraïque, les accents, les pauses, le mystère, qui participent de manière fondamentale au sens et que les traductions modernes évincent par souci de clarté. Cette traduction nous réintroduit dans le texte biblique par un angle nouveau, celui de la poésie et de la profondeur de la sagesse de Dieu. Le résultat décontenance : magnifique.
Les cinq rouleaux (Le Chant des chants, Ruth, les Lamentations, Paroles du Sage, Esther), c’est la volonté de respecter la spécificité du rythme de la langue hébraïque, les accents, les pauses, le mystère, qui participent de manière fondamentale au sens et que les traductions modernes évincent par souci de clarté. Cette traduction nous réintroduit dans le texte biblique par un angle nouveau, celui de la poésie et de la profondeur de la sagesse de Dieu. Le résultat décontenance : magnifique.