Le maquis Bir-Hakeim
Sous-titre :
Chroniques : La résistance en Cévenne & en Languedoc
ISBN :
9782750413743
Editeur :
Auteur :
Info :
237
pages -
Broché -
1990
-
Prix 15,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Voilà l'intérêt de ce livre : c'est la chronique, fidèle et précise ; des misères et des gloires d'un de ces "maquis" nés du refus et de l'espoir en de multiples points de France, le plus souvent dans les massifs montagneux qui retrouvaient ainsi leur éternelle valeur de refuges. Comment ce groupe9 créé en mai 1943 dans la mouvance toulousaine, sous l'appellation glorieuse du premier succès éclatant remporté par la France Libre, transféré en octobre dans la région de Clermont-l'Hérault puis dans k bassin de la Cèze gardoise, avant de se rabattre vers l'ouestf vers l'Aigoual et le Causset où il devait être à peu près anéanti dans un combat trop inégal, ressuscita avant de s'intégrer en apothéose dans la prodigieuse chevauchée de la Libération qui devait le conduire jusqu'au-delà du Rhin ; c'est toute la matière de l'ouvrage. Mais qu'on ne s'y trompe pas ! Si cette chronique est toujours précise, méticuleuse même, elle ne sombre jamais dans la lassitude d'un catalogue. C'est que les auteurs avaient pour eux avec la connaissance intime d'événements qu'ils avaient personnellement vécus ; ce don de sympathie qui irradie la donnée brute et la fait vivante aux yeux du lecteur.
C'est ce qui leur a permis de tisser le plus naturellement du monde ; sans jamais donner l'impression qu'ils "brodaient" sur et autour des faits, cette matière interstitielle sur laquelle sont piqués les événements et qui constitue proprement te cours de l'histoire. Dans ce tissu où s'inscrivent drames et exploits, suivant un déroulement chronologique simple mais par des itinéraires géographiques complexes, la trame profonde reste bien l'homme, dans ses réactions imprévisibles ou contradictoires, dans ses efforts de dépassement ou dans ses réajustements sans grandeur à la sollicitation de l'intérêt ou de la peur. C'est parce qu'ils ont vécu ces heures, parce qu'ils ont côtoyé ces hommes, que R. Maruéjol et A. Vielzeuf sont entrés de plain-pied, sans effort, dans ta vérité psychologique de ce tout complexe, qu'on nomme la Résistance.
C'est ce qui leur a permis de tisser le plus naturellement du monde ; sans jamais donner l'impression qu'ils "brodaient" sur et autour des faits, cette matière interstitielle sur laquelle sont piqués les événements et qui constitue proprement te cours de l'histoire. Dans ce tissu où s'inscrivent drames et exploits, suivant un déroulement chronologique simple mais par des itinéraires géographiques complexes, la trame profonde reste bien l'homme, dans ses réactions imprévisibles ou contradictoires, dans ses efforts de dépassement ou dans ses réajustements sans grandeur à la sollicitation de l'intérêt ou de la peur. C'est parce qu'ils ont vécu ces heures, parce qu'ils ont côtoyé ces hommes, que R. Maruéjol et A. Vielzeuf sont entrés de plain-pied, sans effort, dans ta vérité psychologique de ce tout complexe, qu'on nomme la Résistance.
Voilà l'intérêt de ce livre : c'est la chronique, fidèle et précise ; des misères et des gloires d'un de ces "maquis" nés du refus et de l'espoir en de multiples points de France, le plus souvent dans les massifs montagneux qui retrouvaient ainsi leur éternelle valeur de refuges. Comment ce groupe9 créé en mai 1943 dans la mouvance toulousaine, sous l'appellation glorieuse du premier succès éclatant remporté par la France Libre, transféré en octobre dans la région de Clermont-l'Hérault puis dans k bassin de la Cèze gardoise, avant de se rabattre vers l'ouestf vers l'Aigoual et le Causset où il devait être à peu près anéanti dans un combat trop inégal, ressuscita avant de s'intégrer en apothéose dans la prodigieuse chevauchée de la Libération qui devait le conduire jusqu'au-delà du Rhin ; c'est toute la matière de l'ouvrage. Mais qu'on ne s'y trompe pas ! Si cette chronique est toujours précise, méticuleuse même, elle ne sombre jamais dans la lassitude d'un catalogue. C'est que les auteurs avaient pour eux avec la connaissance intime d'événements qu'ils avaient personnellement vécus ; ce don de sympathie qui irradie la donnée brute et la fait vivante aux yeux du lecteur.
C'est ce qui leur a permis de tisser le plus naturellement du monde ; sans jamais donner l'impression qu'ils "brodaient" sur et autour des faits, cette matière interstitielle sur laquelle sont piqués les événements et qui constitue proprement te cours de l'histoire. Dans ce tissu où s'inscrivent drames et exploits, suivant un déroulement chronologique simple mais par des itinéraires géographiques complexes, la trame profonde reste bien l'homme, dans ses réactions imprévisibles ou contradictoires, dans ses efforts de dépassement ou dans ses réajustements sans grandeur à la sollicitation de l'intérêt ou de la peur. C'est parce qu'ils ont vécu ces heures, parce qu'ils ont côtoyé ces hommes, que R. Maruéjol et A. Vielzeuf sont entrés de plain-pied, sans effort, dans ta vérité psychologique de ce tout complexe, qu'on nomme la Résistance.
C'est ce qui leur a permis de tisser le plus naturellement du monde ; sans jamais donner l'impression qu'ils "brodaient" sur et autour des faits, cette matière interstitielle sur laquelle sont piqués les événements et qui constitue proprement te cours de l'histoire. Dans ce tissu où s'inscrivent drames et exploits, suivant un déroulement chronologique simple mais par des itinéraires géographiques complexes, la trame profonde reste bien l'homme, dans ses réactions imprévisibles ou contradictoires, dans ses efforts de dépassement ou dans ses réajustements sans grandeur à la sollicitation de l'intérêt ou de la peur. C'est parce qu'ils ont vécu ces heures, parce qu'ils ont côtoyé ces hommes, que R. Maruéjol et A. Vielzeuf sont entrés de plain-pied, sans effort, dans ta vérité psychologique de ce tout complexe, qu'on nomme la Résistance.