La vie vivante : contre les nouveaux pudibonds
ISBN :
9782352041399
Editeur :
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Info :
276
pages -
Broché -
2011
-
Prix : 22,50 €
Votre prix : 2,03 €
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Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Nous vivons un extraordinaire paradoxe. Les technoprophètes de la modernité tiennent le corps en horreur. Numérique, nanotechnologies, intelligence artificielle, posthumanisme, gender studies... Les nouveaux pudibonds veulent nous « libérer » de la chair et du réel.
Au cœur de la mutation anthropologique, technologique et historique en cours, des logiques redoutables sont à l'œuvre. Elles vont dans le sens d'une dématérialisation progressive de notre rapport au monde. Le biologique témoignerait d'une « infirmité » dont il faudrait s'émanciper au plus vite.
Ainsi, sous couvert de « libération », la nouvelle pudibonderie conforte étrangement ce qu'il y a de pire dans le puritanisme religieux hérité du XIXe siècle. Et pas seulement au sujet des mœurs. Dans le discours néolibéral, l'adjectif « performant » désigne le Bien suprême. Mais ni le « système » ni ses logiciels ne savent prendre en compte des choses aussi fondamentales que la confiance, la solidarité, l'empathie, la gratuité, la cohésion sociale.
La Vie vivante, celle qu'il faut défendre bec et ongles, c'est celle qui échappe aux algorithmes des ordinateurs, à l'hégémonie des « experts » et des dominants, qui confondent « ce qui se compte » avec ce qui compte.
Jean-Claude Guillebaud, écrivain et journaliste, lauréat du prix Albert-Londres, est éditorialiste au Nouvel Observateur. Son cycle d'essais, « Enquête sur le désarroi contemporain », qui a connu un grand succès public, en France et à l'étranger, a été couronné par de nombreux prix. Il entame avec ce livre une « Enquête sur les nouvelles dominations » et nous invite à la résistance.
Au cœur de la mutation anthropologique, technologique et historique en cours, des logiques redoutables sont à l'œuvre. Elles vont dans le sens d'une dématérialisation progressive de notre rapport au monde. Le biologique témoignerait d'une « infirmité » dont il faudrait s'émanciper au plus vite.
Ainsi, sous couvert de « libération », la nouvelle pudibonderie conforte étrangement ce qu'il y a de pire dans le puritanisme religieux hérité du XIXe siècle. Et pas seulement au sujet des mœurs. Dans le discours néolibéral, l'adjectif « performant » désigne le Bien suprême. Mais ni le « système » ni ses logiciels ne savent prendre en compte des choses aussi fondamentales que la confiance, la solidarité, l'empathie, la gratuité, la cohésion sociale.
La Vie vivante, celle qu'il faut défendre bec et ongles, c'est celle qui échappe aux algorithmes des ordinateurs, à l'hégémonie des « experts » et des dominants, qui confondent « ce qui se compte » avec ce qui compte.
Jean-Claude Guillebaud, écrivain et journaliste, lauréat du prix Albert-Londres, est éditorialiste au Nouvel Observateur. Son cycle d'essais, « Enquête sur le désarroi contemporain », qui a connu un grand succès public, en France et à l'étranger, a été couronné par de nombreux prix. Il entame avec ce livre une « Enquête sur les nouvelles dominations » et nous invite à la résistance.
Nous vivons un extraordinaire paradoxe. Les technoprophètes de la modernité tiennent le corps en horreur. Numérique, nanotechnologies, intelligence artificielle, posthumanisme, gender studies... Les nouveaux pudibonds veulent nous « libérer » de la chair et du réel.
Au cœur de la mutation anthropologique, technologique et historique en cours, des logiques redoutables sont à l'œuvre. Elles vont dans le sens d'une dématérialisation progressive de notre rapport au monde. Le biologique témoignerait d'une « infirmité » dont il faudrait s'émanciper au plus vite.
Ainsi, sous couvert de « libération », la nouvelle pudibonderie conforte étrangement ce qu'il y a de pire dans le puritanisme religieux hérité du XIXe siècle. Et pas seulement au sujet des mœurs. Dans le discours néolibéral, l'adjectif « performant » désigne le Bien suprême. Mais ni le « système » ni ses logiciels ne savent prendre en compte des choses aussi fondamentales que la confiance, la solidarité, l'empathie, la gratuité, la cohésion sociale.
La Vie vivante, celle qu'il faut défendre bec et ongles, c'est celle qui échappe aux algorithmes des ordinateurs, à l'hégémonie des « experts » et des dominants, qui confondent « ce qui se compte » avec ce qui compte.
Jean-Claude Guillebaud, écrivain et journaliste, lauréat du prix Albert-Londres, est éditorialiste au Nouvel Observateur. Son cycle d'essais, « Enquête sur le désarroi contemporain », qui a connu un grand succès public, en France et à l'étranger, a été couronné par de nombreux prix. Il entame avec ce livre une « Enquête sur les nouvelles dominations » et nous invite à la résistance.
Au cœur de la mutation anthropologique, technologique et historique en cours, des logiques redoutables sont à l'œuvre. Elles vont dans le sens d'une dématérialisation progressive de notre rapport au monde. Le biologique témoignerait d'une « infirmité » dont il faudrait s'émanciper au plus vite.
Ainsi, sous couvert de « libération », la nouvelle pudibonderie conforte étrangement ce qu'il y a de pire dans le puritanisme religieux hérité du XIXe siècle. Et pas seulement au sujet des mœurs. Dans le discours néolibéral, l'adjectif « performant » désigne le Bien suprême. Mais ni le « système » ni ses logiciels ne savent prendre en compte des choses aussi fondamentales que la confiance, la solidarité, l'empathie, la gratuité, la cohésion sociale.
La Vie vivante, celle qu'il faut défendre bec et ongles, c'est celle qui échappe aux algorithmes des ordinateurs, à l'hégémonie des « experts » et des dominants, qui confondent « ce qui se compte » avec ce qui compte.
Jean-Claude Guillebaud, écrivain et journaliste, lauréat du prix Albert-Londres, est éditorialiste au Nouvel Observateur. Son cycle d'essais, « Enquête sur le désarroi contemporain », qui a connu un grand succès public, en France et à l'étranger, a été couronné par de nombreux prix. Il entame avec ce livre une « Enquête sur les nouvelles dominations » et nous invite à la résistance.
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