L'évangile et l'Église chez Luther
ISBN :
9782204030809
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
293
pages -
Broché -
1989
-
Prix 20,00 €

Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Dans ce nouveau livre Fauteur, qui a déjà publié deux ouvrages sur le Réformateur, nous présente successivement la spiritualité de Luther, ses conceptions relatives à l'Église et enfin l'image qu'on s'est faite de Luther au long des siècles ou bien à travers des approches spécifiques telles que celles du catholicisme ou du marxisme.
Dans une première partie, il montre comment le thème de la liberté chrétienne est au cœur de la spiritualité luthérienne. Mais il rappelle en même temps qu'il n'y a pas chez Luther de retrait dans l'intériorité pieuse. Avant même la Révolution française, Luther aurait revendiqué les droits de l'homme...
La seconde partie du triptyque que constitue le présent ouvrage est consacrée à l'Église. On a souvent accusé Luther d'individualisme et de subjectivisme. Il se serait contenté de l'Église invisible. Marc Lienhard met en évidence combien l'Église, peuple des fidèles nourri par l'Évangile et par les sacrements et desservi par des ministres, était importante pour Luther. Il montre la genèse de l'ecclésiologie de Luther, la comparant aux tendances ecclésiologiques de la fin du Moyen Age et examinant comment Luther a compris la continuité de l'Église et son propre rôle dans l'histoire. Enfin, il aborde le douloureux problème de la division de l'Église, soulignant l'enchevêtrement inextricable des facteurs doctrinaux et des facteurs socio-politiques.
La troisième partie traite des images souvent contradictoires qu'on s'est faites de Luther en fonction des préjugés confessionnels, nationaux ou idéologiques. Sans prétendre parvenir à une image « objective », il est possible de relativiser certains points de vue. Et, à cette fin, l'auteur s'efforce de laisser constamment la parole à Luther lui-même pour mieux manifester la complexité et l'actualité saisissante de ce témoin exceptionnel de l'Évangile que fut Martin Luther.
Dans une première partie, il montre comment le thème de la liberté chrétienne est au cœur de la spiritualité luthérienne. Mais il rappelle en même temps qu'il n'y a pas chez Luther de retrait dans l'intériorité pieuse. Avant même la Révolution française, Luther aurait revendiqué les droits de l'homme...
La seconde partie du triptyque que constitue le présent ouvrage est consacrée à l'Église. On a souvent accusé Luther d'individualisme et de subjectivisme. Il se serait contenté de l'Église invisible. Marc Lienhard met en évidence combien l'Église, peuple des fidèles nourri par l'Évangile et par les sacrements et desservi par des ministres, était importante pour Luther. Il montre la genèse de l'ecclésiologie de Luther, la comparant aux tendances ecclésiologiques de la fin du Moyen Age et examinant comment Luther a compris la continuité de l'Église et son propre rôle dans l'histoire. Enfin, il aborde le douloureux problème de la division de l'Église, soulignant l'enchevêtrement inextricable des facteurs doctrinaux et des facteurs socio-politiques.
La troisième partie traite des images souvent contradictoires qu'on s'est faites de Luther en fonction des préjugés confessionnels, nationaux ou idéologiques. Sans prétendre parvenir à une image « objective », il est possible de relativiser certains points de vue. Et, à cette fin, l'auteur s'efforce de laisser constamment la parole à Luther lui-même pour mieux manifester la complexité et l'actualité saisissante de ce témoin exceptionnel de l'Évangile que fut Martin Luther.
Dans ce nouveau livre Fauteur, qui a déjà publié deux ouvrages sur le Réformateur, nous présente successivement la spiritualité de Luther, ses conceptions relatives à l'Église et enfin l'image qu'on s'est faite de Luther au long des siècles ou bien à travers des approches spécifiques telles que celles du catholicisme ou du marxisme.
Dans une première partie, il montre comment le thème de la liberté chrétienne est au cœur de la spiritualité luthérienne. Mais il rappelle en même temps qu'il n'y a pas chez Luther de retrait dans l'intériorité pieuse. Avant même la Révolution française, Luther aurait revendiqué les droits de l'homme...
La seconde partie du triptyque que constitue le présent ouvrage est consacrée à l'Église. On a souvent accusé Luther d'individualisme et de subjectivisme. Il se serait contenté de l'Église invisible. Marc Lienhard met en évidence combien l'Église, peuple des fidèles nourri par l'Évangile et par les sacrements et desservi par des ministres, était importante pour Luther. Il montre la genèse de l'ecclésiologie de Luther, la comparant aux tendances ecclésiologiques de la fin du Moyen Age et examinant comment Luther a compris la continuité de l'Église et son propre rôle dans l'histoire. Enfin, il aborde le douloureux problème de la division de l'Église, soulignant l'enchevêtrement inextricable des facteurs doctrinaux et des facteurs socio-politiques.
La troisième partie traite des images souvent contradictoires qu'on s'est faites de Luther en fonction des préjugés confessionnels, nationaux ou idéologiques. Sans prétendre parvenir à une image « objective », il est possible de relativiser certains points de vue. Et, à cette fin, l'auteur s'efforce de laisser constamment la parole à Luther lui-même pour mieux manifester la complexité et l'actualité saisissante de ce témoin exceptionnel de l'Évangile que fut Martin Luther.
Dans une première partie, il montre comment le thème de la liberté chrétienne est au cœur de la spiritualité luthérienne. Mais il rappelle en même temps qu'il n'y a pas chez Luther de retrait dans l'intériorité pieuse. Avant même la Révolution française, Luther aurait revendiqué les droits de l'homme...
La seconde partie du triptyque que constitue le présent ouvrage est consacrée à l'Église. On a souvent accusé Luther d'individualisme et de subjectivisme. Il se serait contenté de l'Église invisible. Marc Lienhard met en évidence combien l'Église, peuple des fidèles nourri par l'Évangile et par les sacrements et desservi par des ministres, était importante pour Luther. Il montre la genèse de l'ecclésiologie de Luther, la comparant aux tendances ecclésiologiques de la fin du Moyen Age et examinant comment Luther a compris la continuité de l'Église et son propre rôle dans l'histoire. Enfin, il aborde le douloureux problème de la division de l'Église, soulignant l'enchevêtrement inextricable des facteurs doctrinaux et des facteurs socio-politiques.
La troisième partie traite des images souvent contradictoires qu'on s'est faites de Luther en fonction des préjugés confessionnels, nationaux ou idéologiques. Sans prétendre parvenir à une image « objective », il est possible de relativiser certains points de vue. Et, à cette fin, l'auteur s'efforce de laisser constamment la parole à Luther lui-même pour mieux manifester la complexité et l'actualité saisissante de ce témoin exceptionnel de l'Évangile que fut Martin Luther.