L'épervier de Maheux
ISBN :
9782810509560
Editeur :
Auteur :
Info :
378
pages -
Broché -
2022
-
Prix 12,90 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
L'Épervier de Maheux est le prix Goncourt qui remporta le plus grand succès populaire : deux millions d'exemplaires vendus au moment de son couronnement. Fallait-il que le lecteur se retrouve dans la France encore rurale de l'après-guerre, où l'homme vit durement dans une nature magnifique et impitoyable. L'histoire de la famille Reilhan, ces hommes indissociables des montagnes, berceau et adversaire tout à la fois, est racontée d'une plume qui maîtrise les éléments et les sortilèges propres au mythe.
Dans Le Figaro, André Brincourt écrivait : "Jean Carrière tirerait plutôt fierté de ses parentages. Loin de les dissimuler il les exhibe, il prend place au soleil et se mesure aux grands noms : Ramuz, Giono, Bosco, Chamson" (22 juillet 1972). Ces références suffisent amplement pour assurer au roman de Jean Carrière une belle postérité littéraire.
Dans Le Figaro, André Brincourt écrivait : "Jean Carrière tirerait plutôt fierté de ses parentages. Loin de les dissimuler il les exhibe, il prend place au soleil et se mesure aux grands noms : Ramuz, Giono, Bosco, Chamson" (22 juillet 1972). Ces références suffisent amplement pour assurer au roman de Jean Carrière une belle postérité littéraire.
L'Épervier de Maheux est le prix Goncourt qui remporta le plus grand succès populaire : deux millions d'exemplaires vendus au moment de son couronnement. Fallait-il que le lecteur se retrouve dans la France encore rurale de l'après-guerre, où l'homme vit durement dans une nature magnifique et impitoyable. L'histoire de la famille Reilhan, ces hommes indissociables des montagnes, berceau et adversaire tout à la fois, est racontée d'une plume qui maîtrise les éléments et les sortilèges propres au mythe.
Dans Le Figaro, André Brincourt écrivait : "Jean Carrière tirerait plutôt fierté de ses parentages. Loin de les dissimuler il les exhibe, il prend place au soleil et se mesure aux grands noms : Ramuz, Giono, Bosco, Chamson" (22 juillet 1972). Ces références suffisent amplement pour assurer au roman de Jean Carrière une belle postérité littéraire.
Dans Le Figaro, André Brincourt écrivait : "Jean Carrière tirerait plutôt fierté de ses parentages. Loin de les dissimuler il les exhibe, il prend place au soleil et se mesure aux grands noms : Ramuz, Giono, Bosco, Chamson" (22 juillet 1972). Ces références suffisent amplement pour assurer au roman de Jean Carrière une belle postérité littéraire.