L'aveuglement féministe
ISBN :
9782846211925
Editeur :
Auteur :
Georges MONTCRIOL (texte)
Collection :
Info :
80
pages -
Broché -
2014
-
Prix 9,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
S'il est évident que, dans de nombreux pays du monde, la femme reste soumise à un statut misérable, il en va tout différemment dans nos sociétés où elle s'est émancipée de la tutelle masculine. Alors que les féministes soutiennent que le pouvoir appartient encore aux hommes, c'est dans les lieux de pouvoir et dans les médias qu'on célèbre pourtant la « libération » des femmes, en les invitant à des « combats » futurs ; depuis quand un maître exhorte-t-il ses esclaves à se révolter contre lui ? N'y aurait-il pas là quelque raison de se méfier, et se demander si les féministes, à revendiquer l'autonomie par la pratique d'un métier, n'ont pas été les « idiotes utiles » de l'ordre capitaliste dans l'extension de son emprise sur les masses ?
Sans préjugé et sans passion mais sur un ton où l'ironie s'allie à la causticité, l'auteur, s'appuyant sur une solide argumentation, désacralisant au passage quelques idoles, montre que le féminisme, loin d'énoncer la vérité sur la condition des femmes, fait bien souvent preuve d'un singulier aveuglement : illusion sur la nature de son action, interprétation imaginaire de l'histoire, image caricaturale du passé et injustice scandaleuse envers les hommes, méconnaissance de la différence des sexes qui atteint aujourd'hui son point culminant avec le « mariage pour tous » et la théorie du genre...
Les femmes pourraient bien se montrer un jour nettement moins convaincues des progrès dont leur condition est censée avoir bénéficié depuis l'essor du mouvement féministe, vaste mystification.
Georges Montcriol, normalien, agrégé de philosophie,
a enseigné à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1976 à 2007.
Sans préjugé et sans passion mais sur un ton où l'ironie s'allie à la causticité, l'auteur, s'appuyant sur une solide argumentation, désacralisant au passage quelques idoles, montre que le féminisme, loin d'énoncer la vérité sur la condition des femmes, fait bien souvent preuve d'un singulier aveuglement : illusion sur la nature de son action, interprétation imaginaire de l'histoire, image caricaturale du passé et injustice scandaleuse envers les hommes, méconnaissance de la différence des sexes qui atteint aujourd'hui son point culminant avec le « mariage pour tous » et la théorie du genre...
Les femmes pourraient bien se montrer un jour nettement moins convaincues des progrès dont leur condition est censée avoir bénéficié depuis l'essor du mouvement féministe, vaste mystification.
Georges Montcriol, normalien, agrégé de philosophie,
a enseigné à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1976 à 2007.
S'il est évident que, dans de nombreux pays du monde, la femme reste soumise à un statut misérable, il en va tout différemment dans nos sociétés où elle s'est émancipée de la tutelle masculine. Alors que les féministes soutiennent que le pouvoir appartient encore aux hommes, c'est dans les lieux de pouvoir et dans les médias qu'on célèbre pourtant la « libération » des femmes, en les invitant à des « combats » futurs ; depuis quand un maître exhorte-t-il ses esclaves à se révolter contre lui ? N'y aurait-il pas là quelque raison de se méfier, et se demander si les féministes, à revendiquer l'autonomie par la pratique d'un métier, n'ont pas été les « idiotes utiles » de l'ordre capitaliste dans l'extension de son emprise sur les masses ?
Sans préjugé et sans passion mais sur un ton où l'ironie s'allie à la causticité, l'auteur, s'appuyant sur une solide argumentation, désacralisant au passage quelques idoles, montre que le féminisme, loin d'énoncer la vérité sur la condition des femmes, fait bien souvent preuve d'un singulier aveuglement : illusion sur la nature de son action, interprétation imaginaire de l'histoire, image caricaturale du passé et injustice scandaleuse envers les hommes, méconnaissance de la différence des sexes qui atteint aujourd'hui son point culminant avec le « mariage pour tous » et la théorie du genre...
Les femmes pourraient bien se montrer un jour nettement moins convaincues des progrès dont leur condition est censée avoir bénéficié depuis l'essor du mouvement féministe, vaste mystification.
Georges Montcriol, normalien, agrégé de philosophie,
a enseigné à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1976 à 2007.
Sans préjugé et sans passion mais sur un ton où l'ironie s'allie à la causticité, l'auteur, s'appuyant sur une solide argumentation, désacralisant au passage quelques idoles, montre que le féminisme, loin d'énoncer la vérité sur la condition des femmes, fait bien souvent preuve d'un singulier aveuglement : illusion sur la nature de son action, interprétation imaginaire de l'histoire, image caricaturale du passé et injustice scandaleuse envers les hommes, méconnaissance de la différence des sexes qui atteint aujourd'hui son point culminant avec le « mariage pour tous » et la théorie du genre...
Les femmes pourraient bien se montrer un jour nettement moins convaincues des progrès dont leur condition est censée avoir bénéficié depuis l'essor du mouvement féministe, vaste mystification.
Georges Montcriol, normalien, agrégé de philosophie,
a enseigné à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1976 à 2007.
Avis :
Pourfendre la vulgate féministe, c’est, pour l’auteur, noter un premier fait paradoxal : les féministes soutiennent que, dans notre société, le pouvoir est aux mains des hommes, mais c’est pourtant dans tous les lieux de pouvoir, et d’abord dans les média, qu’on ne cesse de célébrer la « libération » des femmes, et d’applaudir à leurs combats futurs. A-t-on jamais vu le maître exhorter ses esclaves à se révolter contre lui ! Toute femme devrait donc s’interroger : si l’on me caresse dans le sens du poil avec autant d’insistance depuis si longtemps, ne devrais-je pas me méfier ? Sans préjugés et sans passion, tout en désacralisant quelques idoles, l’auteur montre que le féminisme, loin d’énoncer la vérité sur la condition des femmes, fait preuve en réalité d’un aveuglement à manifestations multiples. Mêlant argumentation précise et ironie acerbe, il analyse ces effets : méconnaissance de la différence des sexes, interprétation imaginaire de l’histoire, image caricaturale du passé, injustice scandaleuse envers les hommes, illusion sur le sens de sa propre action. À ses yeux, le féminisme pourrait bien constituer une mystification ayant conduit les femmes dans l’impasse. Il est fort possible qu’un jour elles se montrent beaucoup moins convaincues des progrès dont leur condition est censée avoir bénéficié depuis l’essor du mouvement féministe.
Pourfendre la vulgate féministe, c’est, pour l’auteur, noter un premier fait paradoxal : les féministes soutiennent que, dans notre société, le pouvoir est aux mains des hommes, mais c’est pourtant dans tous les lieux de pouvoir, et d’abord dans les média, qu’on ne cesse de célébrer la « libération » des femmes, et d’applaudir à leurs combats futurs. A-t-on jamais vu le maître exhorter ses esclaves à se révolter contre lui ! Toute femme devrait donc s’interroger : si l’on me caresse dans le sens du poil avec autant d’insistance depuis si longtemps, ne devrais-je pas me méfier ? Sans préjugés et sans passion, tout en désacralisant quelques idoles, l’auteur montre que le féminisme, loin d’énoncer la vérité sur la condition des femmes, fait preuve en réalité d’un aveuglement à manifestations multiples. Mêlant argumentation précise et ironie acerbe, il analyse ces effets : méconnaissance de la différence des sexes, interprétation imaginaire de l’histoire, image caricaturale du passé, injustice scandaleuse envers les hommes, illusion sur le sens de sa propre action. À ses yeux, le féminisme pourrait bien constituer une mystification ayant conduit les femmes dans l’impasse. Il est fort possible qu’un jour elles se montrent beaucoup moins convaincues des progrès dont leur condition est censée avoir bénéficié depuis l’essor du mouvement féministe.