L'apologie qui nuit à l'Église
Sous-titre :
Révisions hagiographiques de l'attitude de Pie XII envers les juifs
ISBN :
9782204097444
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
318
pages -
Broché -
2012
-
Prix 25,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
« Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique »
(Martin Rhonheimer).
« S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la « grande bienveillance de l'Église », et leur rappeler qu'« au milieu de [leurs] angoisses », ils ont « senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour », serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui »
(Michael R. Marrus).
« L'apologie (...) est grande consommatrice d'à -peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus »
(Fadiey Lovsky).
Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.
Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.
« Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique »
(Martin Rhonheimer).
« S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la « grande bienveillance de l'Église », et leur rappeler qu'« au milieu de [leurs] angoisses », ils ont « senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour », serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui »
(Michael R. Marrus).
« L'apologie (...) est grande consommatrice d'à -peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus »
(Fadiey Lovsky).
Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.
Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.
Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
« Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique »
(Martin Rhonheimer).
« S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la « grande bienveillance de l'Église », et leur rappeler qu'« au milieu de [leurs] angoisses », ils ont « senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour », serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui »
(Michael R. Marrus).
« L'apologie (...) est grande consommatrice d'à -peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus »
(Fadiey Lovsky).
Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.
Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.
« Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique »
(Martin Rhonheimer).
« S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la « grande bienveillance de l'Église », et leur rappeler qu'« au milieu de [leurs] angoisses », ils ont « senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour », serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui »
(Michael R. Marrus).
« L'apologie (...) est grande consommatrice d'à -peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus »
(Fadiey Lovsky).
Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.
Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.
Avis :
"L'apologie (n'importe quelle apologie) est grande consommatrice d’à -peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus"
(Fadiey Lovsky, préfacier du livre).
Il ne sert à rien de jeter un voile pudique sur les fautes des membres et des dignitaires de l'Église. Au contraire, la dissimulation, ou pire, le déni, ne font que rendre plus intolérable la prise de conscience, par les fidèles, de la condition pécheresse de l'institution. L'apologie rétrospective de l'attitude de l'Église durant la seconde guerre mondiale ne fait qu'entretenir les blessures du passé.
Tout en reconnaissant que la relation entre l'Église et les Juifs s'est considérablement améliorée depuis le concile Vatican II (1965), cet ouvrage dénonce, à travers plusieurs exemples, les résurgences inquiétantes d'entreprises d’auto-justification rétrospective, majoritairement fondées sur une relecture révisionniste de l'histoire. L'auteur déconstruit de telles lectures à la lumière de documents incontestables.
Pourtant sa démarche porte un jugement sur l'agir et le non-agir de Pie XII, Menahem Macina se propose surtout de mettre un terme à ce qui, au fil du temps, s'est établi comme un dialogue de sourds et une source de conflits inexplicables. A partir de déclarations de repentir de pasteurs et de dignitaires chrétiens de l'époque, il invite plutôt l'Église et ses fidèles à renoncer à l'apologie en répondant à l'appel à la repentance, qui parcourt les Écritures, par la conversion du cœur et la reconnaissance publique de ce qui fut regrettable dans la chrétienté d'alors.
Dans ce cadre plus large, cet essai est un appel au renoncement à toute apologie rétrospective révisionniste de l'Église, au profit de la transparence et de la repentance des agirs de l'Église dans l'histoire.
(Fadiey Lovsky, préfacier du livre).
Il ne sert à rien de jeter un voile pudique sur les fautes des membres et des dignitaires de l'Église. Au contraire, la dissimulation, ou pire, le déni, ne font que rendre plus intolérable la prise de conscience, par les fidèles, de la condition pécheresse de l'institution. L'apologie rétrospective de l'attitude de l'Église durant la seconde guerre mondiale ne fait qu'entretenir les blessures du passé.
Tout en reconnaissant que la relation entre l'Église et les Juifs s'est considérablement améliorée depuis le concile Vatican II (1965), cet ouvrage dénonce, à travers plusieurs exemples, les résurgences inquiétantes d'entreprises d’auto-justification rétrospective, majoritairement fondées sur une relecture révisionniste de l'histoire. L'auteur déconstruit de telles lectures à la lumière de documents incontestables.
Pourtant sa démarche porte un jugement sur l'agir et le non-agir de Pie XII, Menahem Macina se propose surtout de mettre un terme à ce qui, au fil du temps, s'est établi comme un dialogue de sourds et une source de conflits inexplicables. A partir de déclarations de repentir de pasteurs et de dignitaires chrétiens de l'époque, il invite plutôt l'Église et ses fidèles à renoncer à l'apologie en répondant à l'appel à la repentance, qui parcourt les Écritures, par la conversion du cœur et la reconnaissance publique de ce qui fut regrettable dans la chrétienté d'alors.
Dans ce cadre plus large, cet essai est un appel au renoncement à toute apologie rétrospective révisionniste de l'Église, au profit de la transparence et de la repentance des agirs de l'Église dans l'histoire.
"L'apologie (n'importe quelle apologie) est grande consommatrice d’à -peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus"
(Fadiey Lovsky, préfacier du livre).
Il ne sert à rien de jeter un voile pudique sur les fautes des membres et des dignitaires de l'Église. Au contraire, la dissimulation, ou pire, le déni, ne font que rendre plus intolérable la prise de conscience, par les fidèles, de la condition pécheresse de l'institution. L'apologie rétrospective de l'attitude de l'Église durant la seconde guerre mondiale ne fait qu'entretenir les blessures du passé.
Tout en reconnaissant que la relation entre l'Église et les Juifs s'est considérablement améliorée depuis le concile Vatican II (1965), cet ouvrage dénonce, à travers plusieurs exemples, les résurgences inquiétantes d'entreprises d’auto-justification rétrospective, majoritairement fondées sur une relecture révisionniste de l'histoire. L'auteur déconstruit de telles lectures à la lumière de documents incontestables.
Pourtant sa démarche porte un jugement sur l'agir et le non-agir de Pie XII, Menahem Macina se propose surtout de mettre un terme à ce qui, au fil du temps, s'est établi comme un dialogue de sourds et une source de conflits inexplicables. A partir de déclarations de repentir de pasteurs et de dignitaires chrétiens de l'époque, il invite plutôt l'Église et ses fidèles à renoncer à l'apologie en répondant à l'appel à la repentance, qui parcourt les Écritures, par la conversion du cœur et la reconnaissance publique de ce qui fut regrettable dans la chrétienté d'alors.
Dans ce cadre plus large, cet essai est un appel au renoncement à toute apologie rétrospective révisionniste de l'Église, au profit de la transparence et de la repentance des agirs de l'Église dans l'histoire.
(Fadiey Lovsky, préfacier du livre).
Il ne sert à rien de jeter un voile pudique sur les fautes des membres et des dignitaires de l'Église. Au contraire, la dissimulation, ou pire, le déni, ne font que rendre plus intolérable la prise de conscience, par les fidèles, de la condition pécheresse de l'institution. L'apologie rétrospective de l'attitude de l'Église durant la seconde guerre mondiale ne fait qu'entretenir les blessures du passé.
Tout en reconnaissant que la relation entre l'Église et les Juifs s'est considérablement améliorée depuis le concile Vatican II (1965), cet ouvrage dénonce, à travers plusieurs exemples, les résurgences inquiétantes d'entreprises d’auto-justification rétrospective, majoritairement fondées sur une relecture révisionniste de l'histoire. L'auteur déconstruit de telles lectures à la lumière de documents incontestables.
Pourtant sa démarche porte un jugement sur l'agir et le non-agir de Pie XII, Menahem Macina se propose surtout de mettre un terme à ce qui, au fil du temps, s'est établi comme un dialogue de sourds et une source de conflits inexplicables. A partir de déclarations de repentir de pasteurs et de dignitaires chrétiens de l'époque, il invite plutôt l'Église et ses fidèles à renoncer à l'apologie en répondant à l'appel à la repentance, qui parcourt les Écritures, par la conversion du cœur et la reconnaissance publique de ce qui fut regrettable dans la chrétienté d'alors.
Dans ce cadre plus large, cet essai est un appel au renoncement à toute apologie rétrospective révisionniste de l'Église, au profit de la transparence et de la repentance des agirs de l'Église dans l'histoire.


