L'Europe et le destin de la démocratie
ISBN :
9782378710378
Editeur :
Auteur :
Info :
104
pages -
Broché -
2019
-
Prix 12,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
La construction européenne est en danger. Au moment où ce livre est imprimé, on ne sait pas encore si le Royaume Uni quittera l'Union ou pas. Au moins trois pays de l'est européen, Hongrie, Pologne, Slovaquie remettent en cause ses valeurs fondatrices. D'autres les bravent. Des partis nationalistes et populistes gagnent du terrain électoral en Italie, en France, en Allemagne même où la CDU, menacée sur son aile droite, fait mine de s'écarter du projet européen tel qu'on le croyait partagé avec la France.
Pourtant la construction européenne n'a jamais été aussi nécessaire à l'avenir des peuples qui la composent. Leur promettre plus de souveraineté, plus de maîtrise de leur avenir, hors de l'Union européenne, c'est les tromper effrontément. Que peut un pays, même de 80 millions d'habitants, face aux États-continents de 300 millions à un milliard et demi de femmes et d'hommes, avec qui il faut aujourd'hui discuter, négocier, compromettre, sur les échanges commerciaux, les flux financiers, les migrations, la gestion écologique de la planète ? C'est en faveur de notre « Terre-patrie », comme l'a dénommée Edgar Morin, que tous les humains doivent être patriotes aujourd'hui.
Il faut donc reprendre avec une ferme volonté la construction de l'Union européenne, avec les pays qui sont aujourd'hui conscients de cet impératif d'union, puis avec ceux qui acquerront peu à peu cette conscience. Mais, pour ce faire, il faut aussi « comprendre » l'Europe, en avoir une vision suffisamment critique, voire déconstruite, pour en raffermir les bases avant d'en approfondir l'Union. C'est ce qu'ont tenté le philosophe Olivier Abel et l'économiste Jean Matouk, qui, l'un comme l'autre, voient l'Union européenne comme un tabernacle de la démocratie.
Pourtant la construction européenne n'a jamais été aussi nécessaire à l'avenir des peuples qui la composent. Leur promettre plus de souveraineté, plus de maîtrise de leur avenir, hors de l'Union européenne, c'est les tromper effrontément. Que peut un pays, même de 80 millions d'habitants, face aux États-continents de 300 millions à un milliard et demi de femmes et d'hommes, avec qui il faut aujourd'hui discuter, négocier, compromettre, sur les échanges commerciaux, les flux financiers, les migrations, la gestion écologique de la planète ? C'est en faveur de notre « Terre-patrie », comme l'a dénommée Edgar Morin, que tous les humains doivent être patriotes aujourd'hui.
Il faut donc reprendre avec une ferme volonté la construction de l'Union européenne, avec les pays qui sont aujourd'hui conscients de cet impératif d'union, puis avec ceux qui acquerront peu à peu cette conscience. Mais, pour ce faire, il faut aussi « comprendre » l'Europe, en avoir une vision suffisamment critique, voire déconstruite, pour en raffermir les bases avant d'en approfondir l'Union. C'est ce qu'ont tenté le philosophe Olivier Abel et l'économiste Jean Matouk, qui, l'un comme l'autre, voient l'Union européenne comme un tabernacle de la démocratie.
La construction européenne est en danger. Au moment où ce livre est imprimé, on ne sait pas encore si le Royaume Uni quittera l'Union ou pas. Au moins trois pays de l'est européen, Hongrie, Pologne, Slovaquie remettent en cause ses valeurs fondatrices. D'autres les bravent. Des partis nationalistes et populistes gagnent du terrain électoral en Italie, en France, en Allemagne même où la CDU, menacée sur son aile droite, fait mine de s'écarter du projet européen tel qu'on le croyait partagé avec la France.
Pourtant la construction européenne n'a jamais été aussi nécessaire à l'avenir des peuples qui la composent. Leur promettre plus de souveraineté, plus de maîtrise de leur avenir, hors de l'Union européenne, c'est les tromper effrontément. Que peut un pays, même de 80 millions d'habitants, face aux États-continents de 300 millions à un milliard et demi de femmes et d'hommes, avec qui il faut aujourd'hui discuter, négocier, compromettre, sur les échanges commerciaux, les flux financiers, les migrations, la gestion écologique de la planète ? C'est en faveur de notre « Terre-patrie », comme l'a dénommée Edgar Morin, que tous les humains doivent être patriotes aujourd'hui.
Il faut donc reprendre avec une ferme volonté la construction de l'Union européenne, avec les pays qui sont aujourd'hui conscients de cet impératif d'union, puis avec ceux qui acquerront peu à peu cette conscience. Mais, pour ce faire, il faut aussi « comprendre » l'Europe, en avoir une vision suffisamment critique, voire déconstruite, pour en raffermir les bases avant d'en approfondir l'Union. C'est ce qu'ont tenté le philosophe Olivier Abel et l'économiste Jean Matouk, qui, l'un comme l'autre, voient l'Union européenne comme un tabernacle de la démocratie.
Pourtant la construction européenne n'a jamais été aussi nécessaire à l'avenir des peuples qui la composent. Leur promettre plus de souveraineté, plus de maîtrise de leur avenir, hors de l'Union européenne, c'est les tromper effrontément. Que peut un pays, même de 80 millions d'habitants, face aux États-continents de 300 millions à un milliard et demi de femmes et d'hommes, avec qui il faut aujourd'hui discuter, négocier, compromettre, sur les échanges commerciaux, les flux financiers, les migrations, la gestion écologique de la planète ? C'est en faveur de notre « Terre-patrie », comme l'a dénommée Edgar Morin, que tous les humains doivent être patriotes aujourd'hui.
Il faut donc reprendre avec une ferme volonté la construction de l'Union européenne, avec les pays qui sont aujourd'hui conscients de cet impératif d'union, puis avec ceux qui acquerront peu à peu cette conscience. Mais, pour ce faire, il faut aussi « comprendre » l'Europe, en avoir une vision suffisamment critique, voire déconstruite, pour en raffermir les bases avant d'en approfondir l'Union. C'est ce qu'ont tenté le philosophe Olivier Abel et l'économiste Jean Matouk, qui, l'un comme l'autre, voient l'Union européenne comme un tabernacle de la démocratie.