L'Église de l'antiquité tardive
Sous-titre :
303-604
ISBN :
9782020087476
Editeur :
Auteur :
Info :
314
pages -
Broché -
1985
-
Prix 8,80 €
Thèmes :
4e de couverture :
"H.-I. Marou décrit remarquablement ces formes populaires de piété qui se développent, ces nouvelles liturgies qui s'élaborent, ces nouvelles relations, au plan politique, qui se nouent entre les chrétiens et le pouvoir, bref l'éclosion de ces Christiana tempora, de certaines structures de chrétienté dont le Moyen Âge gardera le souvenir nostalgique et erroné."
Michel Meslin, Esprit.
"Le soin qu'il met à décrire le cadre politico-social où se développera la vie de l'Église pendant le Bas-Empire, puis sous les Byzantins, la multiplication de cartes très opportunes, l'insistance mise sur la description des cérémonies de culte ou des formes de dévotion apportent autant de touches concrètes (...).
Ce maître des études religieuses ne sacrifie point l'étude du mouvement des idées ni l'œuvre des maîtres de la pensée chrétienne. Les péripéties de la crise aérienne, les querelles christologiques des Vème et VIème siècles, les efforts des grands conciles, si souvent traversés par l'esprit de secte ou de domination, font l'objet de chapitres très solides et précis."
André Latreille, Le Monde.
Henri-Irénée Marrou (1904-1977)
Normalien, Soutient sa thèse en 1937 sur Saint-Augustin et la fin de la culture antique. Titulaire de la chaire d'histoire ancienne du christianisme à la Sorbonne. Archéologue, épigraphiste, musicologue et historien, il s'est imposé comme l'un de nos grands spécialistes de l'Antiquité.
Michel Meslin, Esprit.
"Le soin qu'il met à décrire le cadre politico-social où se développera la vie de l'Église pendant le Bas-Empire, puis sous les Byzantins, la multiplication de cartes très opportunes, l'insistance mise sur la description des cérémonies de culte ou des formes de dévotion apportent autant de touches concrètes (...).
Ce maître des études religieuses ne sacrifie point l'étude du mouvement des idées ni l'œuvre des maîtres de la pensée chrétienne. Les péripéties de la crise aérienne, les querelles christologiques des Vème et VIème siècles, les efforts des grands conciles, si souvent traversés par l'esprit de secte ou de domination, font l'objet de chapitres très solides et précis."
André Latreille, Le Monde.
Henri-Irénée Marrou (1904-1977)
Normalien, Soutient sa thèse en 1937 sur Saint-Augustin et la fin de la culture antique. Titulaire de la chaire d'histoire ancienne du christianisme à la Sorbonne. Archéologue, épigraphiste, musicologue et historien, il s'est imposé comme l'un de nos grands spécialistes de l'Antiquité.
"H.-I. Marou décrit remarquablement ces formes populaires de piété qui se développent, ces nouvelles liturgies qui s'élaborent, ces nouvelles relations, au plan politique, qui se nouent entre les chrétiens et le pouvoir, bref l'éclosion de ces Christiana tempora, de certaines structures de chrétienté dont le Moyen Âge gardera le souvenir nostalgique et erroné."
Michel Meslin, Esprit.
"Le soin qu'il met à décrire le cadre politico-social où se développera la vie de l'Église pendant le Bas-Empire, puis sous les Byzantins, la multiplication de cartes très opportunes, l'insistance mise sur la description des cérémonies de culte ou des formes de dévotion apportent autant de touches concrètes (...).
Ce maître des études religieuses ne sacrifie point l'étude du mouvement des idées ni l'œuvre des maîtres de la pensée chrétienne. Les péripéties de la crise aérienne, les querelles christologiques des Vème et VIème siècles, les efforts des grands conciles, si souvent traversés par l'esprit de secte ou de domination, font l'objet de chapitres très solides et précis."
André Latreille, Le Monde.
Henri-Irénée Marrou (1904-1977)
Normalien, Soutient sa thèse en 1937 sur Saint-Augustin et la fin de la culture antique. Titulaire de la chaire d'histoire ancienne du christianisme à la Sorbonne. Archéologue, épigraphiste, musicologue et historien, il s'est imposé comme l'un de nos grands spécialistes de l'Antiquité.
Michel Meslin, Esprit.
"Le soin qu'il met à décrire le cadre politico-social où se développera la vie de l'Église pendant le Bas-Empire, puis sous les Byzantins, la multiplication de cartes très opportunes, l'insistance mise sur la description des cérémonies de culte ou des formes de dévotion apportent autant de touches concrètes (...).
Ce maître des études religieuses ne sacrifie point l'étude du mouvement des idées ni l'œuvre des maîtres de la pensée chrétienne. Les péripéties de la crise aérienne, les querelles christologiques des Vème et VIème siècles, les efforts des grands conciles, si souvent traversés par l'esprit de secte ou de domination, font l'objet de chapitres très solides et précis."
André Latreille, Le Monde.
Henri-Irénée Marrou (1904-1977)
Normalien, Soutient sa thèse en 1937 sur Saint-Augustin et la fin de la culture antique. Titulaire de la chaire d'histoire ancienne du christianisme à la Sorbonne. Archéologue, épigraphiste, musicologue et historien, il s'est imposé comme l'un de nos grands spécialistes de l'Antiquité.