L’Église comme projet
Sous-titre :
Signer le Royaume
ISBN :
9782940508730
Editeur :
Auteur :
Félix MOSER (préface), Didier HALTER
Info :
112
pages -
2022
-
Prix 18,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
L’avenir des Églises est sujet à pessimisme. Dans le même temps, la thématique du projet devient omniprésente. Mais l’Église « comme » projet, qu’est-ce que cela veut dire ?
Didier Halter, directeur de l’Office protestant de la formation (opf) en Suisse romande, livre un essai stimulant en prenant la notion de projet comme point de départ de sa réflexion, qu’il articule autour de métaphores musicales.
L’Acte 1, à partir d’une anthropologie du projet, propose une véritable relecture des catégories de Création et de Royaume de Dieu. L’Église en est-elle le signe ?
Après un interlude qui définit les orientations que sont le « sens » et le « lien », l’Acte 2 aborde l’Église comme instrument : sont ainsi thématisées, dans une perspective plus pratique, les questions de son action, de ses structures, de sa gouvernance.
Un regard global sur les défis d’une ecclésiologie pour aujourd’hui.
« En développant cette lecture résolument théologique, Didier Halter fait pièce aux discours fatalistes. L’Église se construit prioritairement avec des pierres vivantes. » Extrait de la préface de Félix Moser
Didier Halter, directeur de l’Office protestant de la formation (opf) en Suisse romande, livre un essai stimulant en prenant la notion de projet comme point de départ de sa réflexion, qu’il articule autour de métaphores musicales.
L’Acte 1, à partir d’une anthropologie du projet, propose une véritable relecture des catégories de Création et de Royaume de Dieu. L’Église en est-elle le signe ?
Après un interlude qui définit les orientations que sont le « sens » et le « lien », l’Acte 2 aborde l’Église comme instrument : sont ainsi thématisées, dans une perspective plus pratique, les questions de son action, de ses structures, de sa gouvernance.
Un regard global sur les défis d’une ecclésiologie pour aujourd’hui.
« En développant cette lecture résolument théologique, Didier Halter fait pièce aux discours fatalistes. L’Église se construit prioritairement avec des pierres vivantes. » Extrait de la préface de Félix Moser
L’avenir des Églises est sujet à pessimisme. Dans le même temps, la thématique du projet devient omniprésente. Mais l’Église « comme » projet, qu’est-ce que cela veut dire ?
Didier Halter, directeur de l’Office protestant de la formation (opf) en Suisse romande, livre un essai stimulant en prenant la notion de projet comme point de départ de sa réflexion, qu’il articule autour de métaphores musicales.
L’Acte 1, à partir d’une anthropologie du projet, propose une véritable relecture des catégories de Création et de Royaume de Dieu. L’Église en est-elle le signe ?
Après un interlude qui définit les orientations que sont le « sens » et le « lien », l’Acte 2 aborde l’Église comme instrument : sont ainsi thématisées, dans une perspective plus pratique, les questions de son action, de ses structures, de sa gouvernance.
Un regard global sur les défis d’une ecclésiologie pour aujourd’hui.
« En développant cette lecture résolument théologique, Didier Halter fait pièce aux discours fatalistes. L’Église se construit prioritairement avec des pierres vivantes. » Extrait de la préface de Félix Moser
Didier Halter, directeur de l’Office protestant de la formation (opf) en Suisse romande, livre un essai stimulant en prenant la notion de projet comme point de départ de sa réflexion, qu’il articule autour de métaphores musicales.
L’Acte 1, à partir d’une anthropologie du projet, propose une véritable relecture des catégories de Création et de Royaume de Dieu. L’Église en est-elle le signe ?
Après un interlude qui définit les orientations que sont le « sens » et le « lien », l’Acte 2 aborde l’Église comme instrument : sont ainsi thématisées, dans une perspective plus pratique, les questions de son action, de ses structures, de sa gouvernance.
Un regard global sur les défis d’une ecclésiologie pour aujourd’hui.
« En développant cette lecture résolument théologique, Didier Halter fait pièce aux discours fatalistes. L’Église se construit prioritairement avec des pierres vivantes. » Extrait de la préface de Félix Moser