L'exil de la parole
Sous-titre :
Du silence biblique au silence d'Auschwitz
ISBN :
9782020031608
Editeur :
Auteur :
Info :
270
pages -
1970
-
Prix 23,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
La Bible n'est-elle pas le livre de la Parole, par excellence ? N'est-ce pas à travers la Bible que l'homme a recueilli et continue de recueillir le témoignage de la parole de Dieu, de celle des hommes, du dialogue enfin qui relie ces deux paroles dans l'Alliance ? Or, renversant complètement l'éclairage classique des textes, André Neher découvre et décrit le silence dans la Bible, non comme une suspension passagère du langage, mais comme le Royaume authentique du Verbe.
Puisée aux sources de la tradition juive, cette analyse serrée d'un thème biblique, qui renouvelle la vision de tous les autres, conduit aussi à une vision nouvelle de questions dramatiques de notre temps. Car au centre du livre d'André Neher se situe l'événement d'Auschwitz, haut-lieu de la rencontre avec le silence, pour l'homme du XXe siècle. Ainsi mis à l'épreuve de l'histoire contemporaine, ce thème fournit l'audacieux argument d'une théologie du défi, interrogeant l'homme d'aujourd'hui sur ses responsabilités devant la parole de Dieu et devant son silence.
André Neher
Né à Obernai en 1914. Après avoir été professeur à l'université de Strasbourg, il s'installe à Jérusalem où il est décédé en 1988.
Parmi ses nombreux ouvrages, traduits en plusieurs langues, quelques titres classiques : Amos (1950), l'Essence du prophétisme (1955), Moïse et la Vocation juive (1956, Le Seuil), Jérémie (1960), Histoire biblique du peuple d'Israël (1962, en collaboration avec sa femme Renée Neher-Bernheim), l'Existence juive (1962, Le Seuil), le Puits de l'exil, la théologie dialectique du Maharal de Prague (1966), Clefs pour le judaïsme (1977), Jérusalem, vécu juif et message (1984), Faust et le Maharal de Prague, le mythe et le réel (1986).
Ses cours, ses conférences, son activité dans l'université et dans la cité en France et en Israël, ont fait de lui l'un des représentants les plus rayonnants de la pensée juive contemporaine.
Puisée aux sources de la tradition juive, cette analyse serrée d'un thème biblique, qui renouvelle la vision de tous les autres, conduit aussi à une vision nouvelle de questions dramatiques de notre temps. Car au centre du livre d'André Neher se situe l'événement d'Auschwitz, haut-lieu de la rencontre avec le silence, pour l'homme du XXe siècle. Ainsi mis à l'épreuve de l'histoire contemporaine, ce thème fournit l'audacieux argument d'une théologie du défi, interrogeant l'homme d'aujourd'hui sur ses responsabilités devant la parole de Dieu et devant son silence.
André Neher
Né à Obernai en 1914. Après avoir été professeur à l'université de Strasbourg, il s'installe à Jérusalem où il est décédé en 1988.
Parmi ses nombreux ouvrages, traduits en plusieurs langues, quelques titres classiques : Amos (1950), l'Essence du prophétisme (1955), Moïse et la Vocation juive (1956, Le Seuil), Jérémie (1960), Histoire biblique du peuple d'Israël (1962, en collaboration avec sa femme Renée Neher-Bernheim), l'Existence juive (1962, Le Seuil), le Puits de l'exil, la théologie dialectique du Maharal de Prague (1966), Clefs pour le judaïsme (1977), Jérusalem, vécu juif et message (1984), Faust et le Maharal de Prague, le mythe et le réel (1986).
Ses cours, ses conférences, son activité dans l'université et dans la cité en France et en Israël, ont fait de lui l'un des représentants les plus rayonnants de la pensée juive contemporaine.
La Bible n'est-elle pas le livre de la Parole, par excellence ? N'est-ce pas à travers la Bible que l'homme a recueilli et continue de recueillir le témoignage de la parole de Dieu, de celle des hommes, du dialogue enfin qui relie ces deux paroles dans l'Alliance ? Or, renversant complètement l'éclairage classique des textes, André Neher découvre et décrit le silence dans la Bible, non comme une suspension passagère du langage, mais comme le Royaume authentique du Verbe.
Puisée aux sources de la tradition juive, cette analyse serrée d'un thème biblique, qui renouvelle la vision de tous les autres, conduit aussi à une vision nouvelle de questions dramatiques de notre temps. Car au centre du livre d'André Neher se situe l'événement d'Auschwitz, haut-lieu de la rencontre avec le silence, pour l'homme du XXe siècle. Ainsi mis à l'épreuve de l'histoire contemporaine, ce thème fournit l'audacieux argument d'une théologie du défi, interrogeant l'homme d'aujourd'hui sur ses responsabilités devant la parole de Dieu et devant son silence.
André Neher
Né à Obernai en 1914. Après avoir été professeur à l'université de Strasbourg, il s'installe à Jérusalem où il est décédé en 1988.
Parmi ses nombreux ouvrages, traduits en plusieurs langues, quelques titres classiques : Amos (1950), l'Essence du prophétisme (1955), Moïse et la Vocation juive (1956, Le Seuil), Jérémie (1960), Histoire biblique du peuple d'Israël (1962, en collaboration avec sa femme Renée Neher-Bernheim), l'Existence juive (1962, Le Seuil), le Puits de l'exil, la théologie dialectique du Maharal de Prague (1966), Clefs pour le judaïsme (1977), Jérusalem, vécu juif et message (1984), Faust et le Maharal de Prague, le mythe et le réel (1986).
Ses cours, ses conférences, son activité dans l'université et dans la cité en France et en Israël, ont fait de lui l'un des représentants les plus rayonnants de la pensée juive contemporaine.
Puisée aux sources de la tradition juive, cette analyse serrée d'un thème biblique, qui renouvelle la vision de tous les autres, conduit aussi à une vision nouvelle de questions dramatiques de notre temps. Car au centre du livre d'André Neher se situe l'événement d'Auschwitz, haut-lieu de la rencontre avec le silence, pour l'homme du XXe siècle. Ainsi mis à l'épreuve de l'histoire contemporaine, ce thème fournit l'audacieux argument d'une théologie du défi, interrogeant l'homme d'aujourd'hui sur ses responsabilités devant la parole de Dieu et devant son silence.
André Neher
Né à Obernai en 1914. Après avoir été professeur à l'université de Strasbourg, il s'installe à Jérusalem où il est décédé en 1988.
Parmi ses nombreux ouvrages, traduits en plusieurs langues, quelques titres classiques : Amos (1950), l'Essence du prophétisme (1955), Moïse et la Vocation juive (1956, Le Seuil), Jérémie (1960), Histoire biblique du peuple d'Israël (1962, en collaboration avec sa femme Renée Neher-Bernheim), l'Existence juive (1962, Le Seuil), le Puits de l'exil, la théologie dialectique du Maharal de Prague (1966), Clefs pour le judaïsme (1977), Jérusalem, vécu juif et message (1984), Faust et le Maharal de Prague, le mythe et le réel (1986).
Ses cours, ses conférences, son activité dans l'université et dans la cité en France et en Israël, ont fait de lui l'un des représentants les plus rayonnants de la pensée juive contemporaine.