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Jeanne d'Albret

image Jeanne d'Albret




Disponibilité

Épuisé
Prix à titre indicatif. Contactez-nous pour plus de renseignements.
Sous-titre :
La mère passionnée d'Henri IV
ISBN :
9782262011284
Editeur :
Auteur :
Info :
378 pages - Broché - - Prix 22,50 € Livraison reduite
Thèmes :
4e de couverture :
Mère de Henri IV, dernière reine de Navarre, souveraine réformatrice et chef de parti, toujours passionnée, Jeanne d'Albret eut une vie relativement courte (1528-1572) remplie d'émotions et d'aventures. Nièce de François Ier, héritière de la Basse-Navarre, de la vicomté de Béarn, du comté de Foix et d'autres vastes domaines dans le Sud-Ouest qu'avait rassemblés la brillante lignée issue de Gaston Fébus, elle attirait de nombreux prétendants. Elle en choisit un par amour, Antoine de Bourbon, le premier prince du sang de France, descendant de Saint Louis. Ce fut le temps du bonheur, vite dissipé par les infidélités et la mort prématurée d'un mari inconstant. Il lui restait deux enfants, un pays libre, et une ardente spiritualité que lui avait inspirée sa mère, la mystique Marguerite d'Angoulême. Disciple de Calvin, elle se voua à l'évangélisation de son peuple, malgré la pression de ses puissants voisins, les rois catholiques de France et d'Espagne ; mais sous son règne le Béarn fut le seul Etat où la Réforme s'imposa sans persécutions. Princesse capétienne, élevée en France, doublement proche du trône par sa naissance et son mariage, elle n'oublia jamais cette origine, et elle éleva son fils autant en protestant rigoureux qu'en prince français. A ces deux sources, Henri IV puisa ce qui ferait de lui le souverain réunificateur de l'Edit de Nantes. Morte à Paris où elle était venue pour le mariage de son fils avec la future "Reine Margot", à la veille de la Saint-Barthélemy, Jeanne ne sut jamais qu'il régnerait au prix de ce à quoi elle avait consacré sa vie. Le Béarn redevint catholique et perdit son indépendance plusieurs fois séculaire, mais une prestigieuse dynastie issue d'elle régna désormais jusqu'à la Révolution sur le trône de France.

Françoise Kermina, après des études de droit, s'est consacrée à l'histoire et a été accueillie chez Perrin où elle a publié une dizaine d'ouvrages, dont Charette, Fersen, Christine de Suède. Avec Jeanne d'Albret, elle revient à Henri IV dont elle avait déjà étudié le règne à travers Marie de Médicis, une de ses premières biographies.
Mère de Henri IV, dernière reine de Navarre, souveraine réformatrice et chef de parti, toujours passionnée, Jeanne d'Albret eut une vie relativement courte (1528-1572) remplie d'émotions et d'aventures. Nièce de François Ier, héritière de la Basse-Navarre, de la vicomté de Béarn, du comté de Foix et d'autres vastes domaines dans le Sud-Ouest qu'avait rassemblés la brillante lignée issue de Gaston Fébus, elle attirait de nombreux prétendants. Elle en choisit un par amour, Antoine de Bourbon, le premier prince du sang de France, descendant de Saint Louis. Ce fut le temps du bonheur, vite dissipé par les infidélités et la mort prématurée d'un mari inconstant. Il lui restait deux enfants, un pays libre, et une ardente spiritualité que lui avait inspirée sa mère, la mystique Marguerite d'Angoulême. Disciple de Calvin, elle se voua à l'évangélisation de son peuple, malgré la pression de ses puissants voisins, les rois catholiques de France et d'Espagne ; mais sous son règne le Béarn fut le seul Etat où la Réforme s'imposa sans persécutions. Princesse capétienne, élevée en France, doublement proche du trône par sa naissance et son mariage, elle n'oublia jamais cette origine, et elle éleva son fils autant en protestant rigoureux qu'en prince français. A ces deux sources, Henri IV puisa ce qui ferait de lui le souverain réunificateur de l'Edit de Nantes. Morte à Paris où elle était venue pour le mariage de son fils avec la future "Reine Margot", à la veille de la Saint-Barthélemy, Jeanne ne sut jamais qu'il régnerait au prix de ce à quoi elle avait consacré sa vie. Le Béarn redevint catholique et perdit son indépendance plusieurs fois séculaire, mais une prestigieuse dynastie issue d'elle régna désormais jusqu'à la Révolution sur le trône de France.

Françoise Kermina, après des études de droit, s'est consacrée à l'histoire et a été accueillie chez Perrin où elle a publié une dizaine d'ouvrages, dont Charette, Fersen, Christine de Suède. Avec Jeanne d'Albret, elle revient à Henri IV dont elle avait déjà étudié le règne à travers Marie de Médicis, une de ses premières biographies.

Jeanne d'Albret - La mère passionnée d'Henri IV - par Françoise KERMINA - Editeur Perrin


Tél. : Alès 04.66.86.16.61 - Cholet 02.41.58.01.17 - Rennes 09.73.88.08.09