Jean Calvin et la tradition calvinienne
ISBN :
9782204021562
Editeur :
Auteur :
Info :
149
pages -
Broché -
1984
-
Prix : 13,70 €
Votre prix : 2,06 €
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Thèmes :
4e de couverture :
Austère, sévère, parfois même cruel — on lui reprochera longtemps l'exécution de Michel Servet à Genève —, tel apparaît souvent Jean Calvin. Albert-Marie Schmidt, sans effacer la rigueur théologique du réformateur français, trace de lui un portrait beaucoup plus riche et nuancé. Il le montre ouvert à l'humanisme, avant que la persécution ne l'oblige à affirmer vigoureusement ses convictions et à établir à Genève une sorte de cité de Dieu surprenante, à la stricte organisation. Mais Albert-Marie Schmidt tient aussi à donner de Calvin le portrait d'un expert dans les jeux d'adresse, d'un homme voué au culte de l'amitié et d'un penseur au langage simple et <• direct accessible à tous, toutes choses que la tradition calvinienne poursuivra jusqu'à nos jours.
Albert-Marie Schmidt (1901-1966) a été longtemps professeur aux universités de Caen et de Lille. Reconnu comme l'un des meilleurs spécialistes de l'humanisme du XVIe siècle, il fut aussi mêlé, notamment avec Raymond Queneau et François Mauriac, à bien des recherches littéraires vivantes de notre époque. Il appartenait avec conviction à l'Eglise réformée, et son regard sur Calvin était autant celui d'un humaniste, sensible à toutes les valeurs du cœur et de l'esprit, que celui d'un historien à la sérieuse information.
Albert-Marie Schmidt (1901-1966) a été longtemps professeur aux universités de Caen et de Lille. Reconnu comme l'un des meilleurs spécialistes de l'humanisme du XVIe siècle, il fut aussi mêlé, notamment avec Raymond Queneau et François Mauriac, à bien des recherches littéraires vivantes de notre époque. Il appartenait avec conviction à l'Eglise réformée, et son regard sur Calvin était autant celui d'un humaniste, sensible à toutes les valeurs du cœur et de l'esprit, que celui d'un historien à la sérieuse information.
Austère, sévère, parfois même cruel — on lui reprochera longtemps l'exécution de Michel Servet à Genève —, tel apparaît souvent Jean Calvin. Albert-Marie Schmidt, sans effacer la rigueur théologique du réformateur français, trace de lui un portrait beaucoup plus riche et nuancé. Il le montre ouvert à l'humanisme, avant que la persécution ne l'oblige à affirmer vigoureusement ses convictions et à établir à Genève une sorte de cité de Dieu surprenante, à la stricte organisation. Mais Albert-Marie Schmidt tient aussi à donner de Calvin le portrait d'un expert dans les jeux d'adresse, d'un homme voué au culte de l'amitié et d'un penseur au langage simple et <• direct accessible à tous, toutes choses que la tradition calvinienne poursuivra jusqu'à nos jours.
Albert-Marie Schmidt (1901-1966) a été longtemps professeur aux universités de Caen et de Lille. Reconnu comme l'un des meilleurs spécialistes de l'humanisme du XVIe siècle, il fut aussi mêlé, notamment avec Raymond Queneau et François Mauriac, à bien des recherches littéraires vivantes de notre époque. Il appartenait avec conviction à l'Eglise réformée, et son regard sur Calvin était autant celui d'un humaniste, sensible à toutes les valeurs du cœur et de l'esprit, que celui d'un historien à la sérieuse information.
Albert-Marie Schmidt (1901-1966) a été longtemps professeur aux universités de Caen et de Lille. Reconnu comme l'un des meilleurs spécialistes de l'humanisme du XVIe siècle, il fut aussi mêlé, notamment avec Raymond Queneau et François Mauriac, à bien des recherches littéraires vivantes de notre époque. Il appartenait avec conviction à l'Eglise réformée, et son regard sur Calvin était autant celui d'un humaniste, sensible à toutes les valeurs du cœur et de l'esprit, que celui d'un historien à la sérieuse information.