Jean Calvin de la réforme à la révolution
ISBN :
9782738484871
Editeur :
Auteur :
Info :
160
pages -
Broché -
1999
-
Prix 13,75 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Oui, la vie sur terre est digne et noble. Oui, ce que l'homme accomplit au long de son parcours terrestre mérite respect et confiance. C'est ce qu'affirment ceux qu'on appellera les Réformateurs, des croyants intègres qui puisent leurs certitudes dans les Écritures, dans les témoignages laissés par les acteurs d'une immense odyssée de l'esprit.
Le dernier de ces rénovateurs, Jean Calvin, natif de Noyon en Picardie, va plus loin dans son interprétation, en scrutant la vie quotidienne des hommes de son temps. Il valorise le travail et sa juste rétribution, l'argent, cette « bonne créature de Dieu ». Il justifie le prêt à intérêt - prohibé alors sous le nom d'usure quel qu'en fût le taux - indispensable à la vie économique. Il prescrit une réglementation du travail, une assistance à la formation professionnelle. Il réhabilite les sciences du concret, dont il préconise l'enseignement, et les découvertes scientifiques. Il jette les bases de la révolution industrielle.
Surtout, Jean Calvin ébauche un projet de société en organisant une Église nouvelle, qui est confiée aux paroissiens, qui est une association de citoyens, dont certains ont la charge d'un service social à vocations multiples. Une construction qui porte en germe l'émancipation de l'être humain, l'exercice d'une souveraineté par le peuple et finalement la notion de droits de l'homme. C'est l'amorce d'une révolution qui peu à peu conquiert la planète, qui associe trois composantes : éducation, liberté, responsabilité. Le coup d'envoi d'une autre civilisation.
Rémi TEISSIER du CROS est d'ascendance cévenole et genevoise, protestant de formation et de conviction. Une carrière d'administrateur et de diplomate l'a conduit d'Afrique en Asie et dans le Pacifique. Il est l'auteur d'un ouvrage sur la société et la culture coréennes, publié à l'issue d'un séjour de quatre années à Séoul, où il était ambassadeur, et d'une chronique familiale centrée sur l'industrie de la soie dans les Cévennes du XIXe siècle.
Le dernier de ces rénovateurs, Jean Calvin, natif de Noyon en Picardie, va plus loin dans son interprétation, en scrutant la vie quotidienne des hommes de son temps. Il valorise le travail et sa juste rétribution, l'argent, cette « bonne créature de Dieu ». Il justifie le prêt à intérêt - prohibé alors sous le nom d'usure quel qu'en fût le taux - indispensable à la vie économique. Il prescrit une réglementation du travail, une assistance à la formation professionnelle. Il réhabilite les sciences du concret, dont il préconise l'enseignement, et les découvertes scientifiques. Il jette les bases de la révolution industrielle.
Surtout, Jean Calvin ébauche un projet de société en organisant une Église nouvelle, qui est confiée aux paroissiens, qui est une association de citoyens, dont certains ont la charge d'un service social à vocations multiples. Une construction qui porte en germe l'émancipation de l'être humain, l'exercice d'une souveraineté par le peuple et finalement la notion de droits de l'homme. C'est l'amorce d'une révolution qui peu à peu conquiert la planète, qui associe trois composantes : éducation, liberté, responsabilité. Le coup d'envoi d'une autre civilisation.
Rémi TEISSIER du CROS est d'ascendance cévenole et genevoise, protestant de formation et de conviction. Une carrière d'administrateur et de diplomate l'a conduit d'Afrique en Asie et dans le Pacifique. Il est l'auteur d'un ouvrage sur la société et la culture coréennes, publié à l'issue d'un séjour de quatre années à Séoul, où il était ambassadeur, et d'une chronique familiale centrée sur l'industrie de la soie dans les Cévennes du XIXe siècle.
Oui, la vie sur terre est digne et noble. Oui, ce que l'homme accomplit au long de son parcours terrestre mérite respect et confiance. C'est ce qu'affirment ceux qu'on appellera les Réformateurs, des croyants intègres qui puisent leurs certitudes dans les Écritures, dans les témoignages laissés par les acteurs d'une immense odyssée de l'esprit.
Le dernier de ces rénovateurs, Jean Calvin, natif de Noyon en Picardie, va plus loin dans son interprétation, en scrutant la vie quotidienne des hommes de son temps. Il valorise le travail et sa juste rétribution, l'argent, cette « bonne créature de Dieu ». Il justifie le prêt à intérêt - prohibé alors sous le nom d'usure quel qu'en fût le taux - indispensable à la vie économique. Il prescrit une réglementation du travail, une assistance à la formation professionnelle. Il réhabilite les sciences du concret, dont il préconise l'enseignement, et les découvertes scientifiques. Il jette les bases de la révolution industrielle.
Surtout, Jean Calvin ébauche un projet de société en organisant une Église nouvelle, qui est confiée aux paroissiens, qui est une association de citoyens, dont certains ont la charge d'un service social à vocations multiples. Une construction qui porte en germe l'émancipation de l'être humain, l'exercice d'une souveraineté par le peuple et finalement la notion de droits de l'homme. C'est l'amorce d'une révolution qui peu à peu conquiert la planète, qui associe trois composantes : éducation, liberté, responsabilité. Le coup d'envoi d'une autre civilisation.
Rémi TEISSIER du CROS est d'ascendance cévenole et genevoise, protestant de formation et de conviction. Une carrière d'administrateur et de diplomate l'a conduit d'Afrique en Asie et dans le Pacifique. Il est l'auteur d'un ouvrage sur la société et la culture coréennes, publié à l'issue d'un séjour de quatre années à Séoul, où il était ambassadeur, et d'une chronique familiale centrée sur l'industrie de la soie dans les Cévennes du XIXe siècle.
Le dernier de ces rénovateurs, Jean Calvin, natif de Noyon en Picardie, va plus loin dans son interprétation, en scrutant la vie quotidienne des hommes de son temps. Il valorise le travail et sa juste rétribution, l'argent, cette « bonne créature de Dieu ». Il justifie le prêt à intérêt - prohibé alors sous le nom d'usure quel qu'en fût le taux - indispensable à la vie économique. Il prescrit une réglementation du travail, une assistance à la formation professionnelle. Il réhabilite les sciences du concret, dont il préconise l'enseignement, et les découvertes scientifiques. Il jette les bases de la révolution industrielle.
Surtout, Jean Calvin ébauche un projet de société en organisant une Église nouvelle, qui est confiée aux paroissiens, qui est une association de citoyens, dont certains ont la charge d'un service social à vocations multiples. Une construction qui porte en germe l'émancipation de l'être humain, l'exercice d'une souveraineté par le peuple et finalement la notion de droits de l'homme. C'est l'amorce d'une révolution qui peu à peu conquiert la planète, qui associe trois composantes : éducation, liberté, responsabilité. Le coup d'envoi d'une autre civilisation.
Rémi TEISSIER du CROS est d'ascendance cévenole et genevoise, protestant de formation et de conviction. Une carrière d'administrateur et de diplomate l'a conduit d'Afrique en Asie et dans le Pacifique. Il est l'auteur d'un ouvrage sur la société et la culture coréennes, publié à l'issue d'un séjour de quatre années à Séoul, où il était ambassadeur, et d'une chronique familiale centrée sur l'industrie de la soie dans les Cévennes du XIXe siècle.