Immortelle randonnée
Sous-titre :
Compostelle malgré moi
ISBN :
9782352210610
Editeur :
Auteur :
Info :
258
pages -
Broché -
2013
-
Prix 19,50 €
Thèmes :
4e de couverture :
Parmi les champs de ronces, une étoile.
Jean Christophe Rufin s'est essayé au chemin de Compostelle et l'on peut affirmer sans sourciller que cela lui a plutôt bien réussi. L'homme a choisi un peu au hasard d'inscrire ses pas dans le camino del Norte, espace encore sauvage et préservé au regard de l'autoroute pèlerine qu'est devenu le camino Frances. On le suit dans ses pérégrinations d'un autre âge, de ses débuts hésitants de chemineau à la lisière du vagabondage, à l'accomplissement ultime de l'homme dans l'effort et la pénitence. On retrouve avec bonheur la voix singulière de l'écrivain, fidèle au style précis et enlevé de ses précédents ouvrages. On tente de découvrir l'homme, on le sent parfois se dérober, finalement rétif à dévoiler ses véritables émois intérieurs mais ce n'est souvent là que l'expression d'une certaine forme de pudeur. On pense le perdre en route, gagné par la peur de l'abandon puis on se ressaisit avec lui, lecteur forçat emporté dans le sillage des bagnards de la route. Car le chemin est un compagnon exigeant, il vous rompt aussi sûrement le cœur et les ligaments qu'il éprouve votre esprit, comme les mirages taraudent la gorge d'un assoiffé. S'il est une vérité troublante et essentielle du chemin, c'est que celui-ci vous dépouille jusqu'à l'âme et c'est seulement parvenu à ce stade ultime de nudité que renaîtra le souffle de la Vie. Un récit captivant par l'évocation des beautés insoupçonnées du chemin, les tourments du voyageur supplicié par la douleur, la faim, le dénivelé ou les ronflements et les tranches de vies pittoresques des autochtones et des pèlerins glanées tout au long de la route. Ultreïa e sus eïa !
Jean Christophe Rufin s'est essayé au chemin de Compostelle et l'on peut affirmer sans sourciller que cela lui a plutôt bien réussi. L'homme a choisi un peu au hasard d'inscrire ses pas dans le camino del Norte, espace encore sauvage et préservé au regard de l'autoroute pèlerine qu'est devenu le camino Frances. On le suit dans ses pérégrinations d'un autre âge, de ses débuts hésitants de chemineau à la lisière du vagabondage, à l'accomplissement ultime de l'homme dans l'effort et la pénitence. On retrouve avec bonheur la voix singulière de l'écrivain, fidèle au style précis et enlevé de ses précédents ouvrages. On tente de découvrir l'homme, on le sent parfois se dérober, finalement rétif à dévoiler ses véritables émois intérieurs mais ce n'est souvent là que l'expression d'une certaine forme de pudeur. On pense le perdre en route, gagné par la peur de l'abandon puis on se ressaisit avec lui, lecteur forçat emporté dans le sillage des bagnards de la route. Car le chemin est un compagnon exigeant, il vous rompt aussi sûrement le cœur et les ligaments qu'il éprouve votre esprit, comme les mirages taraudent la gorge d'un assoiffé. S'il est une vérité troublante et essentielle du chemin, c'est que celui-ci vous dépouille jusqu'à l'âme et c'est seulement parvenu à ce stade ultime de nudité que renaîtra le souffle de la Vie. Un récit captivant par l'évocation des beautés insoupçonnées du chemin, les tourments du voyageur supplicié par la douleur, la faim, le dénivelé ou les ronflements et les tranches de vies pittoresques des autochtones et des pèlerins glanées tout au long de la route. Ultreïa e sus eïa !
Parmi les champs de ronces, une étoile.
Jean Christophe Rufin s'est essayé au chemin de Compostelle et l'on peut affirmer sans sourciller que cela lui a plutôt bien réussi. L'homme a choisi un peu au hasard d'inscrire ses pas dans le camino del Norte, espace encore sauvage et préservé au regard de l'autoroute pèlerine qu'est devenu le camino Frances. On le suit dans ses pérégrinations d'un autre âge, de ses débuts hésitants de chemineau à la lisière du vagabondage, à l'accomplissement ultime de l'homme dans l'effort et la pénitence. On retrouve avec bonheur la voix singulière de l'écrivain, fidèle au style précis et enlevé de ses précédents ouvrages. On tente de découvrir l'homme, on le sent parfois se dérober, finalement rétif à dévoiler ses véritables émois intérieurs mais ce n'est souvent là que l'expression d'une certaine forme de pudeur. On pense le perdre en route, gagné par la peur de l'abandon puis on se ressaisit avec lui, lecteur forçat emporté dans le sillage des bagnards de la route. Car le chemin est un compagnon exigeant, il vous rompt aussi sûrement le cœur et les ligaments qu'il éprouve votre esprit, comme les mirages taraudent la gorge d'un assoiffé. S'il est une vérité troublante et essentielle du chemin, c'est que celui-ci vous dépouille jusqu'à l'âme et c'est seulement parvenu à ce stade ultime de nudité que renaîtra le souffle de la Vie. Un récit captivant par l'évocation des beautés insoupçonnées du chemin, les tourments du voyageur supplicié par la douleur, la faim, le dénivelé ou les ronflements et les tranches de vies pittoresques des autochtones et des pèlerins glanées tout au long de la route. Ultreïa e sus eïa !
Jean Christophe Rufin s'est essayé au chemin de Compostelle et l'on peut affirmer sans sourciller que cela lui a plutôt bien réussi. L'homme a choisi un peu au hasard d'inscrire ses pas dans le camino del Norte, espace encore sauvage et préservé au regard de l'autoroute pèlerine qu'est devenu le camino Frances. On le suit dans ses pérégrinations d'un autre âge, de ses débuts hésitants de chemineau à la lisière du vagabondage, à l'accomplissement ultime de l'homme dans l'effort et la pénitence. On retrouve avec bonheur la voix singulière de l'écrivain, fidèle au style précis et enlevé de ses précédents ouvrages. On tente de découvrir l'homme, on le sent parfois se dérober, finalement rétif à dévoiler ses véritables émois intérieurs mais ce n'est souvent là que l'expression d'une certaine forme de pudeur. On pense le perdre en route, gagné par la peur de l'abandon puis on se ressaisit avec lui, lecteur forçat emporté dans le sillage des bagnards de la route. Car le chemin est un compagnon exigeant, il vous rompt aussi sûrement le cœur et les ligaments qu'il éprouve votre esprit, comme les mirages taraudent la gorge d'un assoiffé. S'il est une vérité troublante et essentielle du chemin, c'est que celui-ci vous dépouille jusqu'à l'âme et c'est seulement parvenu à ce stade ultime de nudité que renaîtra le souffle de la Vie. Un récit captivant par l'évocation des beautés insoupçonnées du chemin, les tourments du voyageur supplicié par la douleur, la faim, le dénivelé ou les ronflements et les tranches de vies pittoresques des autochtones et des pèlerins glanées tout au long de la route. Ultreïa e sus eïa !