Israël-Palestine, une guerre de religion ?
ISBN :
9782227475625
Editeur :
Auteur :
Info :
62
pages -
Broché -
2006
-
Prix : 6,90 €
Votre prix : 1,04 €
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Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
« L'évacuation du religieux hors du champ politique a rendu l'Européen incapable de concevoir une guerre de religion proprement dite, c'est-à-dire une guerre pour la religion ou, du moins, dont la religion est la principale justification. Or, il faut se rendre à l'évidence, la “vraie” guerre des religions est revenue. »
Élie Barnavi
Élie Barnavi est professeur émérite d'histoire moderne à l'université Tel-Aviv. Il est conseiller scientifique du musée de l'Europe en cours de création à Bruxelles, et a été ambassadeur d'Israël en France de 2000 à 2002.
GUERRE ET RELIGION
aucune guerre n'est sainte, même si la religion fût parfois à l'origine de la guerre.
Élie Barnavi
Élie Barnavi est professeur émérite d'histoire moderne à l'université Tel-Aviv. Il est conseiller scientifique du musée de l'Europe en cours de création à Bruxelles, et a été ambassadeur d'Israël en France de 2000 à 2002.
GUERRE ET RELIGION
aucune guerre n'est sainte, même si la religion fût parfois à l'origine de la guerre.
« L'évacuation du religieux hors du champ politique a rendu l'Européen incapable de concevoir une guerre de religion proprement dite, c'est-à-dire une guerre pour la religion ou, du moins, dont la religion est la principale justification. Or, il faut se rendre à l'évidence, la “vraie” guerre des religions est revenue. »
Élie Barnavi
Élie Barnavi est professeur émérite d'histoire moderne à l'université Tel-Aviv. Il est conseiller scientifique du musée de l'Europe en cours de création à Bruxelles, et a été ambassadeur d'Israël en France de 2000 à 2002.
GUERRE ET RELIGION
aucune guerre n'est sainte, même si la religion fût parfois à l'origine de la guerre.
Élie Barnavi
Élie Barnavi est professeur émérite d'histoire moderne à l'université Tel-Aviv. Il est conseiller scientifique du musée de l'Europe en cours de création à Bruxelles, et a été ambassadeur d'Israël en France de 2000 à 2002.
GUERRE ET RELIGION
aucune guerre n'est sainte, même si la religion fût parfois à l'origine de la guerre.
Avis :
L’auteur, ancien ambassadeur d’Israël en France et professeur d’Histoire moderne (spécialiste des guerres de religion en France) répond à la question par l’affirmative après avoir dressé une typologie des conflits religieux, ce qui le conduit d’ailleurs à distinguer intégrisme et fondamentalisme et à montrer que dans l’Islam l’Etat est né pour servir la religion, ce qui explique l’instrumentalisation du politique dans ces pays.
Les historiens avaient abandonné depuis longtemps les explications religieuses des conflits. L’auteur fait donc preuve de nouveauté en redonnant place aux causes « spirituelles » ; surtout en quelques lignes il analyse les forces, les faiblesses et les idéologies des différents partis ou systèmes bellicistes.
Les historiens avaient abandonné depuis longtemps les explications religieuses des conflits. L’auteur fait donc preuve de nouveauté en redonnant place aux causes « spirituelles » ; surtout en quelques lignes il analyse les forces, les faiblesses et les idéologies des différents partis ou systèmes bellicistes.
L’auteur, ancien ambassadeur d’Israël en France et professeur d’Histoire moderne (spécialiste des guerres de religion en France) répond à la question par l’affirmative après avoir dressé une typologie des conflits religieux, ce qui le conduit d’ailleurs à distinguer intégrisme et fondamentalisme et à montrer que dans l’Islam l’Etat est né pour servir la religion, ce qui explique l’instrumentalisation du politique dans ces pays.
Les historiens avaient abandonné depuis longtemps les explications religieuses des conflits. L’auteur fait donc preuve de nouveauté en redonnant place aux causes « spirituelles » ; surtout en quelques lignes il analyse les forces, les faiblesses et les idéologies des différents partis ou systèmes bellicistes.
Les historiens avaient abandonné depuis longtemps les explications religieuses des conflits. L’auteur fait donc preuve de nouveauté en redonnant place aux causes « spirituelles » ; surtout en quelques lignes il analyse les forces, les faiblesses et les idéologies des différents partis ou systèmes bellicistes.