Histoire du Gois
ISBN :
9782367469300
Editeur :
Auteur :
Info :
96
pages -
Broché -
2018
-
Prix 15,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Johan Vincent, docteur en histoire, chercheur associé au TEMOS (FRE 2015 CNRS), est l'auteur de cinq livres, dont l'ouvrage épuisé Le passage du Gois menacé. Un grand projet d'endiguement de la baie de Bourgneuf durant la Seconde Guerre mondiale, et d'une cinquantaine d'articles scientifiques sur les thématiques du tourisme balnéaire, du patrimoine maritime, des risques naturels et des enjeux fonciers.
Le passage du Gois, une route sous la mer : elle n'émerge que durant les quelques heures de la marée basse, pour permettre aux véhicules et aux passants d'aller et venir sur l'île de Noirmoutier. L'emprunter en voiture, à pied, à vélo, c'est vivre une expérience peu commune. Sur plus de 4 km, cette merveille naturelle, désormais aménagée par l'homme, excite les mystères, attise la curiosité, ravive les craintes.
La construction du pont de Noirmoutier – un nouvel accès terrestre au sud de l'île depuis 1971, qui n'avait auparavant que le Gois – n'a rien enlevé aux charmes de l'endroit. Il reste un lieu de passage privilégié, un espace où se pratique avec ferveur la pêche à pied, un site véritablement entre terre et mer propre à la rêverie, un paysage unique où les couleurs changent chaque jour. Mais la rêverie peut aussi être propice aux cauchemars : le Gois rassemble ainsi toutes sortes d'histoires, tant puisées dans plus de deux siècles d'existence que dans les mésaventures contemporaines des plus inconscients. Il représente un trait d'union exceptionnel, entre une île et un continent.
Le passage du Gois, une route sous la mer : elle n'émerge que durant les quelques heures de la marée basse, pour permettre aux véhicules et aux passants d'aller et venir sur l'île de Noirmoutier. L'emprunter en voiture, à pied, à vélo, c'est vivre une expérience peu commune. Sur plus de 4 km, cette merveille naturelle, désormais aménagée par l'homme, excite les mystères, attise la curiosité, ravive les craintes.
La construction du pont de Noirmoutier – un nouvel accès terrestre au sud de l'île depuis 1971, qui n'avait auparavant que le Gois – n'a rien enlevé aux charmes de l'endroit. Il reste un lieu de passage privilégié, un espace où se pratique avec ferveur la pêche à pied, un site véritablement entre terre et mer propre à la rêverie, un paysage unique où les couleurs changent chaque jour. Mais la rêverie peut aussi être propice aux cauchemars : le Gois rassemble ainsi toutes sortes d'histoires, tant puisées dans plus de deux siècles d'existence que dans les mésaventures contemporaines des plus inconscients. Il représente un trait d'union exceptionnel, entre une île et un continent.
Johan Vincent, docteur en histoire, chercheur associé au TEMOS (FRE 2015 CNRS), est l'auteur de cinq livres, dont l'ouvrage épuisé Le passage du Gois menacé. Un grand projet d'endiguement de la baie de Bourgneuf durant la Seconde Guerre mondiale, et d'une cinquantaine d'articles scientifiques sur les thématiques du tourisme balnéaire, du patrimoine maritime, des risques naturels et des enjeux fonciers.
Le passage du Gois, une route sous la mer : elle n'émerge que durant les quelques heures de la marée basse, pour permettre aux véhicules et aux passants d'aller et venir sur l'île de Noirmoutier. L'emprunter en voiture, à pied, à vélo, c'est vivre une expérience peu commune. Sur plus de 4 km, cette merveille naturelle, désormais aménagée par l'homme, excite les mystères, attise la curiosité, ravive les craintes.
La construction du pont de Noirmoutier – un nouvel accès terrestre au sud de l'île depuis 1971, qui n'avait auparavant que le Gois – n'a rien enlevé aux charmes de l'endroit. Il reste un lieu de passage privilégié, un espace où se pratique avec ferveur la pêche à pied, un site véritablement entre terre et mer propre à la rêverie, un paysage unique où les couleurs changent chaque jour. Mais la rêverie peut aussi être propice aux cauchemars : le Gois rassemble ainsi toutes sortes d'histoires, tant puisées dans plus de deux siècles d'existence que dans les mésaventures contemporaines des plus inconscients. Il représente un trait d'union exceptionnel, entre une île et un continent.
Le passage du Gois, une route sous la mer : elle n'émerge que durant les quelques heures de la marée basse, pour permettre aux véhicules et aux passants d'aller et venir sur l'île de Noirmoutier. L'emprunter en voiture, à pied, à vélo, c'est vivre une expérience peu commune. Sur plus de 4 km, cette merveille naturelle, désormais aménagée par l'homme, excite les mystères, attise la curiosité, ravive les craintes.
La construction du pont de Noirmoutier – un nouvel accès terrestre au sud de l'île depuis 1971, qui n'avait auparavant que le Gois – n'a rien enlevé aux charmes de l'endroit. Il reste un lieu de passage privilégié, un espace où se pratique avec ferveur la pêche à pied, un site véritablement entre terre et mer propre à la rêverie, un paysage unique où les couleurs changent chaque jour. Mais la rêverie peut aussi être propice aux cauchemars : le Gois rassemble ainsi toutes sortes d'histoires, tant puisées dans plus de deux siècles d'existence que dans les mésaventures contemporaines des plus inconscients. Il représente un trait d'union exceptionnel, entre une île et un continent.


