Gap-Francès
Sous-titre :
Une commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, en Gévaudan, au milieu du XVe siècle
ISBN :
9782956083108
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
391
pages -
Broché -
2018
-
Prix 23,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Née en 1166 sur le mont Lozère, la commanderie de Gap-Francès dépendait, au sein de l'ordre des hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, du grand prieuré de Saint-Gilles dans la langue de Provence.
À partir de l'actuel hameau de l'Hôpital où se trouvait son siège, la commanderie s'étendit peu à peu, durant les trois siècles suivants, dans la plupart des régions du Gévaudan, regroupant ses possessions au sein d'une dizaine de membres et constituant ainsi une très grosse seigneurie rurale... Il est possible, grâce à un terrier réalisé de 1444-1445, d'en connaître l'importance : si, bien évidemment, à travers ce document la réserve seigneuriale nous échappe en grande partie, il n'en est pas de même de la censive que se partageaient alors, à quelques unités près, 637 personnes. Grâce aux reconnaissances, souvent très précises, de ces tenanciers, nous pouvons nous faire une bonne idée, non seulement de la nature et de l'importance de biens concédés, mais aussi du statut des hommes et de celui de la terre. À cela s'ajoutent de nombreux renseignements sur la démographie, sur la situation économique de la région, le type de production, le grand essor de l'élevage à cette époque et sur les revenus que le commandeur tirait annuellement de l'ensemble des terres concédées.
À partir de l'actuel hameau de l'Hôpital où se trouvait son siège, la commanderie s'étendit peu à peu, durant les trois siècles suivants, dans la plupart des régions du Gévaudan, regroupant ses possessions au sein d'une dizaine de membres et constituant ainsi une très grosse seigneurie rurale... Il est possible, grâce à un terrier réalisé de 1444-1445, d'en connaître l'importance : si, bien évidemment, à travers ce document la réserve seigneuriale nous échappe en grande partie, il n'en est pas de même de la censive que se partageaient alors, à quelques unités près, 637 personnes. Grâce aux reconnaissances, souvent très précises, de ces tenanciers, nous pouvons nous faire une bonne idée, non seulement de la nature et de l'importance de biens concédés, mais aussi du statut des hommes et de celui de la terre. À cela s'ajoutent de nombreux renseignements sur la démographie, sur la situation économique de la région, le type de production, le grand essor de l'élevage à cette époque et sur les revenus que le commandeur tirait annuellement de l'ensemble des terres concédées.
Née en 1166 sur le mont Lozère, la commanderie de Gap-Francès dépendait, au sein de l'ordre des hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, du grand prieuré de Saint-Gilles dans la langue de Provence.
À partir de l'actuel hameau de l'Hôpital où se trouvait son siège, la commanderie s'étendit peu à peu, durant les trois siècles suivants, dans la plupart des régions du Gévaudan, regroupant ses possessions au sein d'une dizaine de membres et constituant ainsi une très grosse seigneurie rurale... Il est possible, grâce à un terrier réalisé de 1444-1445, d'en connaître l'importance : si, bien évidemment, à travers ce document la réserve seigneuriale nous échappe en grande partie, il n'en est pas de même de la censive que se partageaient alors, à quelques unités près, 637 personnes. Grâce aux reconnaissances, souvent très précises, de ces tenanciers, nous pouvons nous faire une bonne idée, non seulement de la nature et de l'importance de biens concédés, mais aussi du statut des hommes et de celui de la terre. À cela s'ajoutent de nombreux renseignements sur la démographie, sur la situation économique de la région, le type de production, le grand essor de l'élevage à cette époque et sur les revenus que le commandeur tirait annuellement de l'ensemble des terres concédées.
À partir de l'actuel hameau de l'Hôpital où se trouvait son siège, la commanderie s'étendit peu à peu, durant les trois siècles suivants, dans la plupart des régions du Gévaudan, regroupant ses possessions au sein d'une dizaine de membres et constituant ainsi une très grosse seigneurie rurale... Il est possible, grâce à un terrier réalisé de 1444-1445, d'en connaître l'importance : si, bien évidemment, à travers ce document la réserve seigneuriale nous échappe en grande partie, il n'en est pas de même de la censive que se partageaient alors, à quelques unités près, 637 personnes. Grâce aux reconnaissances, souvent très précises, de ces tenanciers, nous pouvons nous faire une bonne idée, non seulement de la nature et de l'importance de biens concédés, mais aussi du statut des hommes et de celui de la terre. À cela s'ajoutent de nombreux renseignements sur la démographie, sur la situation économique de la région, le type de production, le grand essor de l'élevage à cette époque et sur les revenus que le commandeur tirait annuellement de l'ensemble des terres concédées.