Féeries anatomiques : généalogie du corps faustien
ISBN :
9782246645818
Editeur :
Auteur :
Info :
382
pages -
2003
-
Prix 22,40 €
Thèmes :
4e de couverture :
Depuis que les exploits de la biologie génétique ont offert à l'homme moderne les moyens d'infléchir son destin - manipulations, diagnostic prénatal, clonage, etc. - deux attitudes, d'ordinaire, se font face : d'un côté, des « comités d'éthique », traditionnellement frileux, voire conservateurs, qui tentent de « moraliser » les sciences du vivant ; de l'autre, des docteurs Folamour tout disposés à s'aventurer, à travers le corps humain, vers des expérimentations déraisonnables. C'est pour dénoncer la vanité de cet affrontement, et pour en questionner le socle métaphysique, que Michel Onfray a choisi, avec ce livre, de jeter les bases d'une véritable « bio-éthique libertaire » qui ne manquera pas de séduire - ou de provoquer.
De la transgénèse au « sperme numérique », de l'éloge subtil du clonage à une défense paradoxale de l'euthanasie ou à une attaque en règle des soins palliatifs, d'une réactivation des thèses antiques sur le suicide à une célébration de la chirurgie de la greffe, ce livre définit ainsi un « corps faustien » : déchristianisé, donc post-chrétien, ouvragé par l'artifice, libre et structuré par une énergie vitaliste.
Avec ces Féeries anatomiques, Michel Onfray, philosophe résolument « technophile », soutient que la technoscience n'est pas une catastrophe en soi. Il y développe sa critique radicale des visions idéalistes de la chair. Et son parti pris, iconoclaste mais argumenté, en faveur d'une éthique passionnément hédoniste lance un débat promis au tumulte.
Michel Onfray est né en 1959. Il vient de démissionner de l'Education nationale après vingt ans d'enseignement pour créer une Université populaire à Caen - où il enseigne une contre-histoire philosophique de la philosophie. Il est, de plus, l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages dans lesquels il traite de questions éthiques (La Sculpture de soi), politiques (Politique du rebelle) ou érotiques (Théorie du corps amoureux).
De la transgénèse au « sperme numérique », de l'éloge subtil du clonage à une défense paradoxale de l'euthanasie ou à une attaque en règle des soins palliatifs, d'une réactivation des thèses antiques sur le suicide à une célébration de la chirurgie de la greffe, ce livre définit ainsi un « corps faustien » : déchristianisé, donc post-chrétien, ouvragé par l'artifice, libre et structuré par une énergie vitaliste.
Avec ces Féeries anatomiques, Michel Onfray, philosophe résolument « technophile », soutient que la technoscience n'est pas une catastrophe en soi. Il y développe sa critique radicale des visions idéalistes de la chair. Et son parti pris, iconoclaste mais argumenté, en faveur d'une éthique passionnément hédoniste lance un débat promis au tumulte.
Michel Onfray est né en 1959. Il vient de démissionner de l'Education nationale après vingt ans d'enseignement pour créer une Université populaire à Caen - où il enseigne une contre-histoire philosophique de la philosophie. Il est, de plus, l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages dans lesquels il traite de questions éthiques (La Sculpture de soi), politiques (Politique du rebelle) ou érotiques (Théorie du corps amoureux).
Depuis que les exploits de la biologie génétique ont offert à l'homme moderne les moyens d'infléchir son destin - manipulations, diagnostic prénatal, clonage, etc. - deux attitudes, d'ordinaire, se font face : d'un côté, des « comités d'éthique », traditionnellement frileux, voire conservateurs, qui tentent de « moraliser » les sciences du vivant ; de l'autre, des docteurs Folamour tout disposés à s'aventurer, à travers le corps humain, vers des expérimentations déraisonnables. C'est pour dénoncer la vanité de cet affrontement, et pour en questionner le socle métaphysique, que Michel Onfray a choisi, avec ce livre, de jeter les bases d'une véritable « bio-éthique libertaire » qui ne manquera pas de séduire - ou de provoquer.
De la transgénèse au « sperme numérique », de l'éloge subtil du clonage à une défense paradoxale de l'euthanasie ou à une attaque en règle des soins palliatifs, d'une réactivation des thèses antiques sur le suicide à une célébration de la chirurgie de la greffe, ce livre définit ainsi un « corps faustien » : déchristianisé, donc post-chrétien, ouvragé par l'artifice, libre et structuré par une énergie vitaliste.
Avec ces Féeries anatomiques, Michel Onfray, philosophe résolument « technophile », soutient que la technoscience n'est pas une catastrophe en soi. Il y développe sa critique radicale des visions idéalistes de la chair. Et son parti pris, iconoclaste mais argumenté, en faveur d'une éthique passionnément hédoniste lance un débat promis au tumulte.
Michel Onfray est né en 1959. Il vient de démissionner de l'Education nationale après vingt ans d'enseignement pour créer une Université populaire à Caen - où il enseigne une contre-histoire philosophique de la philosophie. Il est, de plus, l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages dans lesquels il traite de questions éthiques (La Sculpture de soi), politiques (Politique du rebelle) ou érotiques (Théorie du corps amoureux).
De la transgénèse au « sperme numérique », de l'éloge subtil du clonage à une défense paradoxale de l'euthanasie ou à une attaque en règle des soins palliatifs, d'une réactivation des thèses antiques sur le suicide à une célébration de la chirurgie de la greffe, ce livre définit ainsi un « corps faustien » : déchristianisé, donc post-chrétien, ouvragé par l'artifice, libre et structuré par une énergie vitaliste.
Avec ces Féeries anatomiques, Michel Onfray, philosophe résolument « technophile », soutient que la technoscience n'est pas une catastrophe en soi. Il y développe sa critique radicale des visions idéalistes de la chair. Et son parti pris, iconoclaste mais argumenté, en faveur d'une éthique passionnément hédoniste lance un débat promis au tumulte.
Michel Onfray est né en 1959. Il vient de démissionner de l'Education nationale après vingt ans d'enseignement pour créer une Université populaire à Caen - où il enseigne une contre-histoire philosophique de la philosophie. Il est, de plus, l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages dans lesquels il traite de questions éthiques (La Sculpture de soi), politiques (Politique du rebelle) ou érotiques (Théorie du corps amoureux).