Étincelles 5 - Pourquoi je crois en Dieu
ISBN :
9782905464750
Editeur :
Auteur :
Info :
30
pages -
Agrafé -
2004
-
Prix 1,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Cornelius Van Til (1895-1987) a enseigné au Westminster Theological Seminary de Philadelphie (Etats-Unis), de 1929 jusqu'à sa mort. Auteur prolifique, il est connu pour sa défense de la foi chrétienne évangélique et, avec Francis Schaeffer, il a été, au XXème siècle, un des grands « défenseurs de la foi ». Il écrit :
« Dans cette petite brochure, j'ai essayé de préciser, en termes simples, pourquoi je crois au Dieu trinitaire de la Bible. Je crois en ce Dieu parce qu'il me dit lui-même qui il est, qui je suis et ce qu'il a fait, pour moi et pour les hommes, en Christ et par le Saint-Esprit.
J'ai été élevé sur le fondement de la Bible comprise comme Parole de Dieu. Mais maintenant que je suis adulte, puis-je continuer de croire au Dieu de la Bible ? Est-ce que je puis encore croire au soleil qui a éclairé le petit garçon en sabots de bois que j'étais en Hollande ?
Je pourrais ne plus croire en rien tout autant que croire que le Dieu de la Bible est toujours là comme fondement de tout. Puis-je voir les poutres qui soutiennent le plancher sur lequel je marche ? Je dois supposer, ou présupposer, qu'elles sont bien dessous, sans cela je ne pourrais pas marcher sur ce plancher ! »
« Dans cette petite brochure, j'ai essayé de préciser, en termes simples, pourquoi je crois au Dieu trinitaire de la Bible. Je crois en ce Dieu parce qu'il me dit lui-même qui il est, qui je suis et ce qu'il a fait, pour moi et pour les hommes, en Christ et par le Saint-Esprit.
J'ai été élevé sur le fondement de la Bible comprise comme Parole de Dieu. Mais maintenant que je suis adulte, puis-je continuer de croire au Dieu de la Bible ? Est-ce que je puis encore croire au soleil qui a éclairé le petit garçon en sabots de bois que j'étais en Hollande ?
Je pourrais ne plus croire en rien tout autant que croire que le Dieu de la Bible est toujours là comme fondement de tout. Puis-je voir les poutres qui soutiennent le plancher sur lequel je marche ? Je dois supposer, ou présupposer, qu'elles sont bien dessous, sans cela je ne pourrais pas marcher sur ce plancher ! »
Cornelius Van Til (1895-1987) a enseigné au Westminster Theological Seminary de Philadelphie (Etats-Unis), de 1929 jusqu'à sa mort. Auteur prolifique, il est connu pour sa défense de la foi chrétienne évangélique et, avec Francis Schaeffer, il a été, au XXème siècle, un des grands « défenseurs de la foi ». Il écrit :
« Dans cette petite brochure, j'ai essayé de préciser, en termes simples, pourquoi je crois au Dieu trinitaire de la Bible. Je crois en ce Dieu parce qu'il me dit lui-même qui il est, qui je suis et ce qu'il a fait, pour moi et pour les hommes, en Christ et par le Saint-Esprit.
J'ai été élevé sur le fondement de la Bible comprise comme Parole de Dieu. Mais maintenant que je suis adulte, puis-je continuer de croire au Dieu de la Bible ? Est-ce que je puis encore croire au soleil qui a éclairé le petit garçon en sabots de bois que j'étais en Hollande ?
Je pourrais ne plus croire en rien tout autant que croire que le Dieu de la Bible est toujours là comme fondement de tout. Puis-je voir les poutres qui soutiennent le plancher sur lequel je marche ? Je dois supposer, ou présupposer, qu'elles sont bien dessous, sans cela je ne pourrais pas marcher sur ce plancher ! »
« Dans cette petite brochure, j'ai essayé de préciser, en termes simples, pourquoi je crois au Dieu trinitaire de la Bible. Je crois en ce Dieu parce qu'il me dit lui-même qui il est, qui je suis et ce qu'il a fait, pour moi et pour les hommes, en Christ et par le Saint-Esprit.
J'ai été élevé sur le fondement de la Bible comprise comme Parole de Dieu. Mais maintenant que je suis adulte, puis-je continuer de croire au Dieu de la Bible ? Est-ce que je puis encore croire au soleil qui a éclairé le petit garçon en sabots de bois que j'étais en Hollande ?
Je pourrais ne plus croire en rien tout autant que croire que le Dieu de la Bible est toujours là comme fondement de tout. Puis-je voir les poutres qui soutiennent le plancher sur lequel je marche ? Je dois supposer, ou présupposer, qu'elles sont bien dessous, sans cela je ne pourrais pas marcher sur ce plancher ! »