Étienne Durand et les siens (1657-1749)
Sous-titre :
Un siècle de résistance pacifique en Vivarais
ISBN :
9782859981273
Editeur :
Auteur :
Info :
150
pages -
Broché -
1994
-
Prix 4,90 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Si l'on connaît bien la famille Durand en la personne des deux figures légendaires que furent Marie, protestante irréductible, enfermée à la Tour de Constance à Aigues-Mortes de 1730 à 1768, et son frère Pierre (1700-1732), pasteur du Désert et martyr pour sa foi à l'âge de trente-deux ans, on sait bien peu de choses sur leur famille.
Avec cet ouvrage, Etienne Gamonnet, à qui nous devons les Lettres de Marie Durand, prisonnière à la Tour de Constance (1730-1768), publiées aux Presses du Languedoc voilà quelques années, se penche sur le père, Etienne Durand (1657-1749) et sa femme Claudine Gamonnet, en se fondant sur un texte inédit, le Mémoire d'Etienne Durand, qui relate les événements de 1619 à 1728, ainsi que sur différents actes notariés inconnus ou peu utilisés.
Pour Etienne Gamonnet, l'auteur, il s'agit de montrer comment le peuple vivarois a su résister pacifiquement à l'intolérance, lors de la révocation de l'édit de Nantes en 1685, maintenant la continuité de la foi réformée, comme le firent Claude Brousson ou Antoine Court. Une « voie médiane » qui n'est ni résignation ni violence, et dont cet ouvrage montre enfin la modernité.
Avec cet ouvrage, Etienne Gamonnet, à qui nous devons les Lettres de Marie Durand, prisonnière à la Tour de Constance (1730-1768), publiées aux Presses du Languedoc voilà quelques années, se penche sur le père, Etienne Durand (1657-1749) et sa femme Claudine Gamonnet, en se fondant sur un texte inédit, le Mémoire d'Etienne Durand, qui relate les événements de 1619 à 1728, ainsi que sur différents actes notariés inconnus ou peu utilisés.
Pour Etienne Gamonnet, l'auteur, il s'agit de montrer comment le peuple vivarois a su résister pacifiquement à l'intolérance, lors de la révocation de l'édit de Nantes en 1685, maintenant la continuité de la foi réformée, comme le firent Claude Brousson ou Antoine Court. Une « voie médiane » qui n'est ni résignation ni violence, et dont cet ouvrage montre enfin la modernité.
Si l'on connaît bien la famille Durand en la personne des deux figures légendaires que furent Marie, protestante irréductible, enfermée à la Tour de Constance à Aigues-Mortes de 1730 à 1768, et son frère Pierre (1700-1732), pasteur du Désert et martyr pour sa foi à l'âge de trente-deux ans, on sait bien peu de choses sur leur famille.
Avec cet ouvrage, Etienne Gamonnet, à qui nous devons les Lettres de Marie Durand, prisonnière à la Tour de Constance (1730-1768), publiées aux Presses du Languedoc voilà quelques années, se penche sur le père, Etienne Durand (1657-1749) et sa femme Claudine Gamonnet, en se fondant sur un texte inédit, le Mémoire d'Etienne Durand, qui relate les événements de 1619 à 1728, ainsi que sur différents actes notariés inconnus ou peu utilisés.
Pour Etienne Gamonnet, l'auteur, il s'agit de montrer comment le peuple vivarois a su résister pacifiquement à l'intolérance, lors de la révocation de l'édit de Nantes en 1685, maintenant la continuité de la foi réformée, comme le firent Claude Brousson ou Antoine Court. Une « voie médiane » qui n'est ni résignation ni violence, et dont cet ouvrage montre enfin la modernité.
Avec cet ouvrage, Etienne Gamonnet, à qui nous devons les Lettres de Marie Durand, prisonnière à la Tour de Constance (1730-1768), publiées aux Presses du Languedoc voilà quelques années, se penche sur le père, Etienne Durand (1657-1749) et sa femme Claudine Gamonnet, en se fondant sur un texte inédit, le Mémoire d'Etienne Durand, qui relate les événements de 1619 à 1728, ainsi que sur différents actes notariés inconnus ou peu utilisés.
Pour Etienne Gamonnet, l'auteur, il s'agit de montrer comment le peuple vivarois a su résister pacifiquement à l'intolérance, lors de la révocation de l'édit de Nantes en 1685, maintenant la continuité de la foi réformée, comme le firent Claude Brousson ou Antoine Court. Une « voie médiane » qui n'est ni résignation ni violence, et dont cet ouvrage montre enfin la modernité.