Épopée en Cévenne
ISBN :
9782869711402
Editeur :
Auteur :
Info :
207
pages -
Broché -
1989
-
Prix 20,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
…Mais voilà : sur des événements importants, un nom, une date, la mémoire flanche. Nous nous en apercevons à tout instant, et en faisons la remarque. Son geste de nous servir à boire reste en suspens, tandis que son visage s'éclaire :
— Heureusement, il y a Aimé. J'ai tous ses livres, vous pensez bien.
Aimé, c'est Vielzeuf : « …Et la Cévennes s'embrasa », « Les Bandits », « Au temps des longues nuits », « Demain du sang noir... », « Ardente Cévennes », « Compagnons de la liberté », etc. C'est le pédagogue consciencieux, au geste rapide et précis, à l'œil vif et scrutateur qui, avec la patience de ses ancêtres cévenols s'acharnant sur leur terre rebelle, arrache aux hommes, aux lieux et aux documents leur vérité pour en recomposer la geste de la Résistance en Pays d'Oc. C'est cet honnête homme que les succès littéraires et la notoriété croissante n'ont pas gâté, qui a su garder intacte la fraîcheur de son cœur et sincère la modestie de son âme, qui a veillé à préserver ses amitiés comme la simplicité de sa vie. Et si les personnages de ses récits ont cette densité de chair et de sang, ils la doivent à son souci de l'exactitude et de la vérité historique. Il se hâte, sacrifiant au devoir qu'il s'est imposé repos et loisirs : les rangs des témoins s'éclaircissent au fil des années.
Car, avant que la littérature et le cinéma ne la figent en western aux invincibles surhommes sans faim ni fatigue, sans hésitations ni faiblesse, comme les aime le public, Aimé sait qu'il doit rendre témoignage de ce que fut la vraie, l'authentique et âpre lutte de ses frères de combat. Et chacune de ses œuvres, s'ajoutant à la précédente, préservera pour les générations à venir une tranche de la Résistance.
C'est cela, sa Fidélité à ceux qui sont tombés…
— Heureusement, il y a Aimé. J'ai tous ses livres, vous pensez bien.
Aimé, c'est Vielzeuf : « …Et la Cévennes s'embrasa », « Les Bandits », « Au temps des longues nuits », « Demain du sang noir... », « Ardente Cévennes », « Compagnons de la liberté », etc. C'est le pédagogue consciencieux, au geste rapide et précis, à l'œil vif et scrutateur qui, avec la patience de ses ancêtres cévenols s'acharnant sur leur terre rebelle, arrache aux hommes, aux lieux et aux documents leur vérité pour en recomposer la geste de la Résistance en Pays d'Oc. C'est cet honnête homme que les succès littéraires et la notoriété croissante n'ont pas gâté, qui a su garder intacte la fraîcheur de son cœur et sincère la modestie de son âme, qui a veillé à préserver ses amitiés comme la simplicité de sa vie. Et si les personnages de ses récits ont cette densité de chair et de sang, ils la doivent à son souci de l'exactitude et de la vérité historique. Il se hâte, sacrifiant au devoir qu'il s'est imposé repos et loisirs : les rangs des témoins s'éclaircissent au fil des années.
Car, avant que la littérature et le cinéma ne la figent en western aux invincibles surhommes sans faim ni fatigue, sans hésitations ni faiblesse, comme les aime le public, Aimé sait qu'il doit rendre témoignage de ce que fut la vraie, l'authentique et âpre lutte de ses frères de combat. Et chacune de ses œuvres, s'ajoutant à la précédente, préservera pour les générations à venir une tranche de la Résistance.
C'est cela, sa Fidélité à ceux qui sont tombés…
…Mais voilà : sur des événements importants, un nom, une date, la mémoire flanche. Nous nous en apercevons à tout instant, et en faisons la remarque. Son geste de nous servir à boire reste en suspens, tandis que son visage s'éclaire :
— Heureusement, il y a Aimé. J'ai tous ses livres, vous pensez bien.
Aimé, c'est Vielzeuf : « …Et la Cévennes s'embrasa », « Les Bandits », « Au temps des longues nuits », « Demain du sang noir... », « Ardente Cévennes », « Compagnons de la liberté », etc. C'est le pédagogue consciencieux, au geste rapide et précis, à l'œil vif et scrutateur qui, avec la patience de ses ancêtres cévenols s'acharnant sur leur terre rebelle, arrache aux hommes, aux lieux et aux documents leur vérité pour en recomposer la geste de la Résistance en Pays d'Oc. C'est cet honnête homme que les succès littéraires et la notoriété croissante n'ont pas gâté, qui a su garder intacte la fraîcheur de son cœur et sincère la modestie de son âme, qui a veillé à préserver ses amitiés comme la simplicité de sa vie. Et si les personnages de ses récits ont cette densité de chair et de sang, ils la doivent à son souci de l'exactitude et de la vérité historique. Il se hâte, sacrifiant au devoir qu'il s'est imposé repos et loisirs : les rangs des témoins s'éclaircissent au fil des années.
Car, avant que la littérature et le cinéma ne la figent en western aux invincibles surhommes sans faim ni fatigue, sans hésitations ni faiblesse, comme les aime le public, Aimé sait qu'il doit rendre témoignage de ce que fut la vraie, l'authentique et âpre lutte de ses frères de combat. Et chacune de ses œuvres, s'ajoutant à la précédente, préservera pour les générations à venir une tranche de la Résistance.
C'est cela, sa Fidélité à ceux qui sont tombés…
— Heureusement, il y a Aimé. J'ai tous ses livres, vous pensez bien.
Aimé, c'est Vielzeuf : « …Et la Cévennes s'embrasa », « Les Bandits », « Au temps des longues nuits », « Demain du sang noir... », « Ardente Cévennes », « Compagnons de la liberté », etc. C'est le pédagogue consciencieux, au geste rapide et précis, à l'œil vif et scrutateur qui, avec la patience de ses ancêtres cévenols s'acharnant sur leur terre rebelle, arrache aux hommes, aux lieux et aux documents leur vérité pour en recomposer la geste de la Résistance en Pays d'Oc. C'est cet honnête homme que les succès littéraires et la notoriété croissante n'ont pas gâté, qui a su garder intacte la fraîcheur de son cœur et sincère la modestie de son âme, qui a veillé à préserver ses amitiés comme la simplicité de sa vie. Et si les personnages de ses récits ont cette densité de chair et de sang, ils la doivent à son souci de l'exactitude et de la vérité historique. Il se hâte, sacrifiant au devoir qu'il s'est imposé repos et loisirs : les rangs des témoins s'éclaircissent au fil des années.
Car, avant que la littérature et le cinéma ne la figent en western aux invincibles surhommes sans faim ni fatigue, sans hésitations ni faiblesse, comme les aime le public, Aimé sait qu'il doit rendre témoignage de ce que fut la vraie, l'authentique et âpre lutte de ses frères de combat. Et chacune de ses œuvres, s'ajoutant à la précédente, préservera pour les générations à venir une tranche de la Résistance.
C'est cela, sa Fidélité à ceux qui sont tombés…