Dogmatique pour la catholicité évangélique
Sous-titre :
III/1. III. L'affirmation de la foi 1. Cosmologie théologique : Science et théologie de la nature
ISBN :
9782830908114
Editeur :
Auteur :
Info :
300
pages -
Broché -
1996
-
Prix 35,20 €
Thèmes :
4e de couverture :
Avec ce cinquième volume de sa « Dogmatique pour la catholicité
évangélique », Gérard Siegwalt, après avoir abordé dans les précédents volumes « les fondements de la foi et la réalisation de la foi », commence à développer « l'affirmation de la foi ». Celle-ci concerne trois sujets indissolublement liés entre eux : l'homme, le monde, Dieu. On trouve ici la premièÂre partie consacrée à l'affirmation de la foi concernant le monde (cosmos et nature). La Cosmologie théologique comÂportera une deuxième partie, sur la théologie de la création.
La scission entre les sciences et la théologie à l'époque modérne entretient la crise contemporaine des fondements. Celle-ci invite à déceler la « question de Dieu » au ras de l'approche scientifique du réel lui-même, et appelle la théoloÂgie à conjuguer le concept théologique de « création » avec les concepts de « cosmos » et de « nature ». Aussi trouve-t-on dans ce volume d'une part une réflexion critique sur les sciences de la nature – la physique et la biologie et aussi l'économie qui les sous-tend et les prolonge -, d'autre part une esquisse de philoÂsophie de la nature. C'est seulement ainsi que devient possible le « dialogue entre les sciences et la philosophie de la nature » d'une part, et la « théologie de la création » d'autre part.
Ce dialogue est nécessaire parce que les enjeux impliqués dans la Cosmologie sont tels pour toute l'humanité qu'ils n'autorisent l'auto-suffisance et, partant, la démission d'aucuÂne des parties prenantes.
La scission entre les sciences et la théologie à l'époque modérne entretient la crise contemporaine des fondements. Celle-ci invite à déceler la « question de Dieu » au ras de l'approche scientifique du réel lui-même, et appelle la théoloÂgie à conjuguer le concept théologique de « création » avec les concepts de « cosmos » et de « nature ». Aussi trouve-t-on dans ce volume d'une part une réflexion critique sur les sciences de la nature – la physique et la biologie et aussi l'économie qui les sous-tend et les prolonge -, d'autre part une esquisse de philoÂsophie de la nature. C'est seulement ainsi que devient possible le « dialogue entre les sciences et la philosophie de la nature » d'une part, et la « théologie de la création » d'autre part.
Ce dialogue est nécessaire parce que les enjeux impliqués dans la Cosmologie sont tels pour toute l'humanité qu'ils n'autorisent l'auto-suffisance et, partant, la démission d'aucuÂne des parties prenantes.
Avec ce cinquième volume de sa « Dogmatique pour la catholicité
évangélique », Gérard Siegwalt, après avoir abordé dans les précédents volumes « les fondements de la foi et la réalisation de la foi », commence à développer « l'affirmation de la foi ». Celle-ci concerne trois sujets indissolublement liés entre eux : l'homme, le monde, Dieu. On trouve ici la premièÂre partie consacrée à l'affirmation de la foi concernant le monde (cosmos et nature). La Cosmologie théologique comÂportera une deuxième partie, sur la théologie de la création.
La scission entre les sciences et la théologie à l'époque modérne entretient la crise contemporaine des fondements. Celle-ci invite à déceler la « question de Dieu » au ras de l'approche scientifique du réel lui-même, et appelle la théoloÂgie à conjuguer le concept théologique de « création » avec les concepts de « cosmos » et de « nature ». Aussi trouve-t-on dans ce volume d'une part une réflexion critique sur les sciences de la nature – la physique et la biologie et aussi l'économie qui les sous-tend et les prolonge -, d'autre part une esquisse de philoÂsophie de la nature. C'est seulement ainsi que devient possible le « dialogue entre les sciences et la philosophie de la nature » d'une part, et la « théologie de la création » d'autre part.
Ce dialogue est nécessaire parce que les enjeux impliqués dans la Cosmologie sont tels pour toute l'humanité qu'ils n'autorisent l'auto-suffisance et, partant, la démission d'aucuÂne des parties prenantes.
La scission entre les sciences et la théologie à l'époque modérne entretient la crise contemporaine des fondements. Celle-ci invite à déceler la « question de Dieu » au ras de l'approche scientifique du réel lui-même, et appelle la théoloÂgie à conjuguer le concept théologique de « création » avec les concepts de « cosmos » et de « nature ». Aussi trouve-t-on dans ce volume d'une part une réflexion critique sur les sciences de la nature – la physique et la biologie et aussi l'économie qui les sous-tend et les prolonge -, d'autre part une esquisse de philoÂsophie de la nature. C'est seulement ainsi que devient possible le « dialogue entre les sciences et la philosophie de la nature » d'une part, et la « théologie de la création » d'autre part.
Ce dialogue est nécessaire parce que les enjeux impliqués dans la Cosmologie sont tels pour toute l'humanité qu'ils n'autorisent l'auto-suffisance et, partant, la démission d'aucuÂne des parties prenantes.